On n'y voit rien
25 Janvier - 28 Mars 2020
80 x 110 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Sitcom fait partie d'un ensemble de peintures issues de photographies de sweat-shirts. Très caractéristique de son travail, l'artiste transforme le cliché en jouant sur le rapport d'échelle pour lui donner un angle différent. En portant la focale sur un plan très serré et en agrandissant énormément, Mireille Blanc tend à faire échapper le sujet de l'image, et crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve en face d'elle. En brouillant les inscriptions et le contexte de l'image souvent démodés et kitsch, elle se focalise sur l'indétermination des éléments traités, et joue sur le caractère énigmatique des sujets qu'elle rencontre.
23 x 40 x 24 cm
Les sculptures Mitate ont été produites dans le cadre de l'installation L'oubli des formes, l'empreinte demeure. Cette installation s'inspire directement de l'art du jardin japonais, et plus précisément, des jardins dits « secs ». À l'instar de ceux que l'on peut trouver au Japon, Julien Discrit reprend ce principe de pierres levées émergeant d'un plan observable depuis un point légèrement surélevé, propre à la méditation zen.
Si le projet ne prétend pas recréer fidèlement un temple japonais, les monolithes colorés sont en revanche les reproductions de roches composant le Komyo-in, temple bouddhiste situé à Kyoto. L'artiste a en effet réalisé des scans 3D de ces pierres qui, par un travail d'usinage et de moulage en résine, ont pu trouver ici une sorte d'itération. Si les formes ont été déplacées du Japon à Paris, l'aspect graphique de ces pierres devenues sculptures est le résultat d'une recherche sur le flux, le fluide et les marbrures.
39,5 x 60 x 40 cm
Les sculptures Mitate ont été produites dans le cadre de l'installation L'oubli des formes, l'empreinte demeure. Cette installation s'inspire directement de l'art du jardin japonais, et plus précisément, des jardins dits « secs ». À l'instar de ceux que l'on peut trouver au Japon, Julien Discrit reprend ce principe de pierres levées émergeant d'un plan observable depuis un point légèrement surélevé, propre à la méditation zen.
Si le projet ne prétend pas recréer fidèlement un temple japonais, les monolithes colorés sont en revanche les reproductions de roches composant le Komyo-in, temple bouddhiste situé à Kyoto. L'artiste a en effet réalisé des scans 3D de ces pierres qui, par un travail d'usinage et de moulage en résine, ont pu trouver ici une sorte d'itération. Si les formes ont été déplacées du Japon à Paris, l'aspect graphique de ces pierres devenues sculptures est le résultat d'une recherche sur le flux, le fluide et les marbrures.
61,5 x 84 x 59 cm
Les sculptures Mitate ont été produites dans le cadre de l'installation L'oubli des formes, l'empreinte demeure. Cette installation s'inspire directement de l'art du jardin japonais, et plus précisément, des jardins dits « secs ». À l'instar de ceux que l'on peut trouver au Japon, Julien Discrit reprend ce principe de pierres levées émergeant d'un plan observable depuis un point légèrement surélevé, propre à la méditation zen.
Si le projet ne prétend pas recréer fidèlement un temple japonais, les monolithes colorés sont en revanche les reproductions de roches composant le Komyo-in, temple bouddhiste situé à Kyoto. L'artiste a en effet réalisé des scans 3D de ces pierres qui, par un travail d'usinage et de moulage en résine, ont pu trouver ici une sorte d'itération. Si les formes ont été déplacées du Japon à Paris, l'aspect graphique de ces pierres devenues sculptures est le résultat d'une recherche sur le flux, le fluide et les marbrures.
33 x 27 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Daguerréotype (1) fait partie d'un ensemble d'oeuvres créées à partir d'anciens daguerréotypes originaux provenant de la collection d'Emmanuelle Fructus. Ici, l'artiste s'intéresse au caractère fantomatique des images disparues que contenaient les plaques de cuivre représentées sur ces peintures. Très caractéristique de son travail, on retrouve la volonté de l'artiste de tendre vers l'abstraction du sujet traité au cours du traitement de l'image et de sa mise peinture.
33 x 27 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Daguerréotype (2) fait partie d'un ensemble d'oeuvres créées à partir d'anciens daguerréotypes originaux provenant de la collection d'Emmanuelle Fructus. Ici, l'artiste s'intéresse au caractère fantomatique des images disparues que contenaient les plaques de cuivre représentées sur ces peintures. Très caractéristique de son travail, on retrouve la volonté de l'artiste de tendre vers l'abstraction du sujet traité au cours du traitement de l'image et de sa mise peinture.
120 x 90 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Petit sweat bleu fait partie d'un ensemble de peintures issues de photographies de sweat-shirts. Très caractéristique de son travail, l'artiste transforme le cliché en jouant sur le rapport d'échelle pour lui donner un angle différent. En portant la focale sur un plan très serré et en agrandissant énormément, Mireille Blanc tend à faire échapper le sujet de l'image, et crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve en face d'elle. En brouillant les inscriptions et le contexte de l'image souvent démodés et kitsch, elle se focalise sur l'indétermination des éléments traités, et joue sur le caractère énigmatique des sujets qu'elle rencontre.
200 x 150 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Sweat (Dauphins) fait partie d'un ensemble de peintures issues de photographies de sweat-shirts. Très caractéristique de son travail, l'artiste transforme le cliché en jouant sur le rapport d'échelle pour lui donner un angle différent. En portant la focale sur un plan très serré et en agrandissant énormément, Mireille Blanc tend à faire échapper le sujet de l'image, et crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve en face d'elle. En brouillant les inscriptions et le contexte de l'image souvent démodés et kitsch, elle se focalise sur l'indétermination des éléments traités, et joue sur le caractère énigmatique des sujets qu'elle rencontre.
20 x 30 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Dans Jonquille (2), Mireille Blanc explore le rapport au reflet et à la pénétration des matières. Pour cela, elle part d'une photographie de jonquille dans un vase située devant un papier absorbant en rouleau. En retravaillant le cliché et en jouant sur l'échelle, elle se focalise sur le rapport entre le rouleau et le vase coloré, de manière à perdre le regardeur dans l'image et brouiller son contexte. Cette oeuvre est une variation de Jonquille, dotée d'un focus différent qui renforce d'autant plus l'abstraction du sujet.
40 x 30 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Dans Jonquille, Mireille Blanc explore le rapport au reflet et à la pénétration des matières. Pour cela, elle part d'une photographie de jonquille dans un vase située devant un papier absorbant en rouleau. En retravaillant le cliché et en jouant sur l'échelle, elle se focalise sur le rapport entre le rouleau et le vase coloré, de manière à perdre le regardeur dans l'image et brouiller son contexte.
180 x 124 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Motif fait partie d'un ensemble de peintures issues de photographies de sweat-shirts. Très caractéristique de son travail, l'artiste transforme le cliché en jouant sur le rapport d'échelle pour lui donner un angle différent. En portant la focale sur un plan très serré et en agrandissant énormément, Mireille Blanc tend à faire échapper le sujet de l'image, et crée un filtre entre l'oeuvre et celui qui se trouve en face d'elle. En brouillant les inscriptions et le contexte de l'image souvent démodés et kitsch, elle se focalise sur l'indétermination des éléments traités, et joue sur le caractère énigmatique des sujets qu'elle rencontre.
Aquarelle, encre, acrylique, impression sur papier
58 x 41 cm
Dans la lignée de son travail sur la recherche d'horizon et de pénétration du paysage, Eva Nielsen a produit la série Aklat spécialement pour l'exposition en explorant un geste nouveau qui compose toute la singularité de ces oeuvres.
Cette série tire son nom d'un dialecte philippin, et signifie « feuillets réunis ensemble ». En assemblant différentes strates d'impression et de dessin (à l'encre, acrylique et aquarelle) l'artiste renverse ainsi le geste traditionnel et crée un trompe l'oeil qui s'interpose entre l'image et le spectateur. Ce dispositif vient heurter l'apparence du pinceau, de telle sorte que les techniques se confondent et s'inversent dans la perception du regardeur entre ce qui relève de l'impression ou du travail manuel de l'artiste. Ce jeu conceptuel d'agencement de puzzle de strates retranscrit notamment les enjeux historiques et politiques liés à l'architecture des habitations périurbaines représentés sur l'image. Mais au-delà, le procédé artistique se métaphorise avec son sujet pour souligner la poésie triviale de notre environnement.
Aquarelle, encre, acrylique, impression sur papier
58 x 41 cm
Dans la lignée de son travail sur la recherche d’horizon et de pénétration du paysage, Eva Nielsen a produit la série Aklat spécialement pour l’exposition en explorant un geste nouveau qui compose toute la singularité de ces œuvres.
Cette série tire son nom d’un dialecte philippin, et signifie « feuillets réunis ensemble ». En assemblant différentes strates d’impression et de dessin (à l’encre, acrylique et aquarelle) l’artiste renverse ainsi le geste traditionnel et crée un trompe l’œil qui s’interpose entre l’image et le spectateur. Ce dispositif vient heurter l’apparence du pinceau, de telle sorte que les techniques se confondent et s’inversent dans la perception du regardeur entre ce qui relève de l’impression ou du travail manuel de l'artiste. Ce jeu conceptuel d’agencement de puzzle de strates retranscrit notamment les enjeux historiques et politiques liés à l’architecture des habitations périurbaines représentés sur l’image. Mais au-delà, le procédé artistique se métaphorise avec son sujet pour souligner la poésie triviale de notre environnement.
Aquarelle, encre, acrylique, impression sur papier
58 x 41 cm
Dans la lignée de son travail sur la recherche d'horizon et de pénétration du paysage, Eva Nielsen a produit la série Aklat spécialement pour l'exposition en explorant un geste nouveau qui compose toute la singularité de ces oeuvres.
Cette série tire son nom d'un dialecte philippin, et signifie « feuillets réunis ensemble ». En assemblant différentes strates d'impression et de dessin (à l'encre, acrylique et aquarelle) l'artiste renverse ainsi le geste traditionnel et crée un trompe l'oeil qui s'interpose entre l'image et le spectateur. Ce dispositif vient heurter l'apparence du pinceau, de telle sorte que les techniques se confondent et s'inversent dans la perception du regardeur entre ce qui relève de l'impression ou du travail manuel de l'artiste. Ce jeu conceptuel d'agencement de puzzle de strates retranscrit notamment les enjeux historiques et politiques liés à l'architecture des habitations périurbaines représentés sur l'image. Mais au-delà, le procédé artistique se métaphorise avec son sujet pour souligner la poésie triviale de notre environnement.
aquarelle, encre, acrylique, impression sur papier
58 x 41 cm
Dans la lignée de son travail sur la recherche d'horizon et de pénétration du paysage, Eva Nielsen a produit la série Aklat spécialement pour l'exposition en explorant un geste nouveau qui compose toute la singularité de ces œuvres.
Cette série tire son nom d'un dialecte philippin, et signifie « feuillets réunis ensemble ». En assemblant différentes strates d'impression et de dessin (à l'encre, acrylique et aquarelle) l'artiste renverse ainsi le geste traditionnel et crée un trompe l'œil qui s'interpose entre l'image et le spectateur. Ce dispositif vient heurter l'apparence du pinceau, de telle sorte que les techniques se confondent et s'inversent dans la perception du regardeur entre ce qui relève de l'impression ou du travail manuel de l'artiste. Ce jeu conceptuel d'agencement de puzzle de strates retranscrit notamment les enjeux historiques et politiques liés à l'architecture des habitations périurbaines représentés sur l'image. Mais au-delà, le procédé artistique se métaphorise avec son sujet pour souligner la poésie triviale de notre environnement.
Exposition:
- On n'y voit rien, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2020
Image : 60 x 60 cm
Papier : 60 x 60 cm
Seton Smith a réalisé de nombreuses photographies d’intérieurs de musée. Dans le cas de Blue Ground With Stone, il s’agit d’éléments archéologiques en Italie. Très caractéristique de son travail, cette oeuvre prend le parfait contre-pied des habituelles photographies muséales censées mettre en valeur les objets. Ici en effet, en jouant sur le flou de la mise au point et sur une perspective très proche de l’objet photographié, l’artiste produit une image proche d’un monochrome qui coupe les structures habituelles. On ne sait plus ce qui est photographié et l’enjeu principal de l’oeuvre n’est plus tant l’objet lui-même que l’émotion et la sensation qui s’en dégagent. Elle confronte ainsi le spectateur à ses propres représentations et interroge la notion d’espace et d’objet d'art au sein du musée.
27 x 21 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Cakeboy est une peinture issue d'une photographie capturée lors d'un anniversaire d'enfant. Comme souvent chez Mireille Blanc, le choix du sujet s'impose à elle avec un rapport d'attraction/répulsion propre au caractère instinctif de son travail. Les détails travaillés en peinture représentent les accidents d'atelier lors du développement de la photographie, comme avec les tâches d'eau présentes sur la toile. Ce travail sur les éléments de détail vise à perdre le regardeur et brouiller le contexte de l'oeuvre pour créer une réalité nouvelle liée au contexte de fabrication de l'image.
60 x 44 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Dans Fleur 1, Mireille Blanc s'intéresse au motif de la fleur pour le travailler de manière détournée. En partant de l'envers d'un canevas représentant une rose, elle déforme d'autant plus l'image et met en avant ce travail de transformation dans sa peinture. De cette manière, l'artiste crée une œuvre laissant entrevoir une nouvelle réalité, avec la présence de traces noirs et blanches qui brouillent le sujet initial.
Résine polyuréthane, mousse P.U, Peinture acrylique
145 x 91,7 x 8,5 cm
Ces moulages en résine résultent du lent écoulement de l'eau à travers un lit de silice, présentant l'image figée d'un continuum liquide. Les formes subtiles tout autant que les lignes tracées semblent être l'émanation d'une intelligence de l'eau, un réseau profond de neurones, une sculpture auto-générée et répondant à sa propre logique. Prenant également l'attrait de la miniature et de la maquette, l'oeuvre poursuit une recherche initiée dans des oeuvres plus anciennes comme par exemple États Inversés ou Inframince Mont-Blanc.