Calisté
23 Mai - 12 Juillet 2025

166 x 140 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus.

166 x 140 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste. Ici « Carmen » fait référence à la tempête qui a touché la France en 2017 et au grand Ballet créé par Roland Petit en 1949.

166 x 140 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste. Ici « Mae J. » fait référence à Mae Jemison, la première femme afro-américaine astronaute a être allé dans l'espace en 1992.

166 x 140 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle tranLa séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste.

92 x 68 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste.

92 x 68 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste.

92 x 68 cm
Signé et daté au dos
La séquence d'oeuvres présentée dans l'exposition s'inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d'une centrale nucléaire. Laura Garcia Garras zoome dans ces plantes atomiques qu'elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d'échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus. Chacun des tableaux de l'exposition est nommé en hommage à une figure féminine fondamentale pour l'artiste.

92 x 68 cm
Signé et daté au dos

41 x 33 cm
Signé et daté au dos

24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
24 x 19 cm
Signé et daté au dos
Exposition personnelle du 24 mai au 12 juillet 2025
Vernissage le samedi 24 mai 2025, de 13h à 20h à l'occasion du Paris Gallery Weekend
La séquence d’oeuvres présentée dans l’exposition s’inspire du jardin de Derek Jarman dont les fleurs sont cultivées sur un sol toxique près d’une centrale nucléaire. Laura Garcia Karras zoome dans ces plantes atomiques qu’elle transforme en fleurs sauvages, presque dévoratrices. Elle mixe ainsi une esthétique parfaite renvoyant aux canons de beauté antiques à une folie presque abstraite, offrant une peinture vertigineuse et sensationnelle. Avec une puissance volcanique intérieure, l'artiste joue sur les rapports d’échelle et la lumière artificielle. Ainsi elle redéfinit la frontière entre artifice et réalité en créant une ambiguïté explosive dans la perception des oeuvres. « Calisté » traduit par « le plus beau » en grec évoque le nom de la nymphe transformée en constellation par Zeus.