1432
Diptyque, 185 x 310 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans Casus Belli, Yann Lacroix réinvestit les codes de la peinture d'histoire avec un regard contemporain. Le format monumental, agencé à la manière d'un diptyque, fait penser aux grandes scènes de bataille de la Renaissance mais il s'agit davantage ici d'une latence, d'une tension dans l'attente de quelque chose qui se prépare. La spectacularisation du combat et du chaos laisse ainsi place à des silhouettes évanescentes et immobiles de chevaliers sans visage sur leurs montures. De cette impassibilité émergent des armoiries héraldiques et des étendards écarlates, vestiges d'un passé fantasmé.
150 x 125 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans cette série, Yann Lacroix dépeint un univers ancestral, rêvé et fantasmé, d’où surgissent des silhouettes fantomatiques de chevaliers et de forteresses entourés de végétation. Ils deviennent autant de motifs historiques d’un temps révolu, ressuscités par une réinterprétation de la peinture d’histoire en proie à l’onirisme et l’imaginaire.
185 x 155 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans cette série, Yann Lacroix dépeint un univers ancestral, rêvé et fantasmé, d'où surgissent des silhouettes fantomatiques de chevaliers et de forteresses entourés de végétation. Ils deviennent autant de motifs historiques d'un temps révolu, ressuscités par une réinterprétation de la peinture d'histoire en proie à l'onirisme et l'imaginaire.
150 x 130 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans cette série, Yann Lacroix dépeint un univers ancestral, rêvé et fantasmé, d'où surgissent des silhouettes fantomatiques de chevaliers et de forteresses entourés de végétation. Ils deviennent autant de motifs historiques d'un temps révolu, ressuscités par une réinterprétation de la peinture d'histoire en proie à l'onirisme et l'imaginaire.
125 x 150 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans cette série, Yann Lacroix dépeint un univers ancestral, rêvé et fantasmé, d'où surgissent des silhouettes fantomatiques de chevaliers et de forteresses entourés de végétation. Ils deviennent autant de motifs historiques d'un temps révolu, ressuscités par une réinterprétation de la peinture d'histoire en proie à l'onirisme et l'imaginaire.
125 x 150 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans cette série, Yann Lacroix dépeint un univers ancestral, rêvé et fantasmé, d'où surgissent des silhouettes fantomatiques de chevaliers et de forteresses entourés de végétation. Ils deviennent autant de motifs historiques d'un temps révolu, ressuscités par une réinterprétation de la peinture d'histoire en proie à l'onirisme et l'imaginaire.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Inspiré par les représentations d'écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d'histoire, ces toiles s'attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Inspiré par les représentations d’écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d’histoire, ces toiles s’attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Inspiré par les représentations d’écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d’histoire, ces toiles s’attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Inspiré par les représentations d'écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d'histoire, ces toiles s'attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Inspiré par les représentations d'écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d'histoire, ces toiles s'attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
Inspiré par les représentations d’écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d’histoire, ces toiles s’attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
50 x 50 cm
Titré, daté et signé au dos
Inspiré par les représentations d’écus héraldiques et les peintures médiévales de champs de bataille, cette série est consacrées aux figures des chevaliers. À contre-courant des grandes peintures d’histoire, ces toiles s’attardent sur des figures de chevaliers isolés, proposant des représentations intimes dans des formats carrés. Formant des silhouettes sans visages, ils apparaissent à la surface de la toile marquée par des jeux de transparence, comme des fantômes émergents de souvenirs lointains et flottants dans des paysages inexistants.
Les nouvelles œuvres de Yann Lacroix, pensées comme un ensemble pour l’exposition, ont pour point de départ esthétique le Grand Armorial équestre de la Toison d’or, manuscrit héraldique du milieu du 15ème siècle. Le titre de l’exposition : 1432, fait quant à lui référence à une date, celle de la Bataille de San Romano qui donna lieu à la victoire des troupes Florentine sur celles de Sienne. Cette même bataille qui avait inspiré Paolo Ucello en son temps. Les figures humaines et équestres qui apparaissent partiellement sur les toiles, sont pour Yann Lacroix tels « des spectres en parade, des fantômes, des formes ambiguës revenantes des imaginaires populaires, mémoriels et rassembleurs qui reprendraient le cours de l’histoire. » Échos à la période contemporaine, ces figures réminiscentes du passé provenant d’anciennes batailles médiévales entre différentes puissances Européennes, renvoient à celles du présent et aux nouveaux enjeux de pouvoirs auxquels nous sommes aujourd’hui confrontés.
Au delà de la thématique, cette série présente une évolution de la peinture de Yann Lacroix dans laquelle les figures humaines prennent une importance nouvelle. A travers ses chevaliers, il rend visibles des références plus ou moins explicites à l’histoire de l’art, mais souligne surtout le fort impact de la peinture d’Histoire sur nos imaginaires. Les éléments naturels et architecturaux caractéristiques des séries précédentes sont toujours présents en filigrane, laissant également la place à des représentations de drapeaux et costumes qui introduisent sur la surface picturale des motifs très vifs et colorés, constitutifs de cet imaginaire médiéval onirique.