Marion Baruch
120 x 128 cm
Lorsque Marion Baruch a récupéré la chute de tissu qui deviendra l'oeuvre Ponte-Cattedrale, elle a tout de suite pensé à une sorte de forme hybride entre une cathédrale et un pont. En connectant ces deux éléments, l'artiste produit un parallèle entre les formes aléatoires du tissu et l'architecture, qui rappellent toutes les deux des constructions à taille humaine. À la manière des surréalistes, elle conçoit avec humour une architecture composite qui appelle à un monde poétique et imaginaire.
80,5 x 94,5 cm
Après une longue période de pratique d'un art conceptuel puis relationnel, Marion Baruch a été confrontée à certaines limites physiques liées à son âge. Elle opère ainsi un tournant majeur dans sa carrière à la fin des années 2000, en retournant vers un art formel, et découvre le potentiel pictural des chutes de tissu produites par l'industrie textile. Son premier geste dans ce nouveau cycle artistique est de lier son travail sur cette matière destinée à l'oubli, avec les grands maîtres modernes qui l'ont influencée. Ainsi, l'artiste commence à consacrer ses sculptures en les dédiant à des artistes qu'elle aime et qu'elle a aimé, comme des citations libres et spontanées de l'histoire de l'art qui défile sous ses yeux dans ces espaces de vide.
100 x 154 cm
49 x 42 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
297 x 154 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
4 parties - 300 x 320 cm (environ), dimensions variables
©Noah Stolz
Il est rare que Marion Baruch réalise des fleurs, car elle n'aime pas particulièrement leur motif bucolique. À l'origine, La vitesse des fleurs devait représenter des cerfs-volants. Cependant, l'artiste n'était pas très convaincue par cette idée. Ainsi, en les accrochant, elle a découvert que ces chutes de tissu se comportaient comme des fleurs qui, sans réellement bouger, gardent tout de même un côté mouvant, éphémère et aérien. Venant accentuer l'aspect fugitif de ces plantes, le titre ajoute cette notion de fragilité et de vie, de croissance et d'évolution.
165 x 155 cm
©Margot Montigny
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
51 x 87 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
60 x 117 cm
© Noah Stolz
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
160 x 162 cm
Noah Stolz
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
335 x 136 cm
Oeuvre de gauche
Noah Stolz
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
77 x 29 cm
Depuis les années 2010, Marion Baruch élabore des oeuvres à partir de chutes de tissu de l'industrie textile italienne, qui deviennent sculptures tout autant que compositions picturales. Elle opère une sélection des formes et des matières, tout en travaillant sur la manière dont le tissu va habiter et recomposer l'espace. I piccoli sicuri di sé, littéralement « les petits sûrs d'eux-mêmes », est une pièce qui ne lui évoquait rien de spécifique lorsqu'elle l'a vue pour la première fois. Néanmoins, à force de l'observer, sa forme et sa petite taille l'ont attirée, en lui inspirant ce titre, comme si elle ne pouvait refuser cette assurance de la présence qu'elle dégageait.
330 x 183 cm
crédit Noah Stolz
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
169 x 138 cm
Cristalli di carta appartient à la série des Citta di carta, traduit littéralement par « les villes de papier ». En trouvant cette chute de tissu blanc, Marion Baruch y a retrouvé la carte d'une ville, qui semblait éphémère et fragile de par sa couleur et ses formes délicates. Le titre, en plus d'évoquer son sujet, fait référence à un procédé en géographie qui consiste à ajouter une ville fictive sur une carte pour la protéger d'un éventuel plagiat. Ainsi, Cristalli di carta représente matériellement une ville fictive et éphémère, connectant ainsi ses formes avec un espace physique imaginaire.
550 cm x 330 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
140 x 107 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
Tissu synthétique double-face
175 x 286 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
Coton
258 x 206 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
355 x 155 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
Soie
145 x 145 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
185 x 200 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
250 x 150 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
160 x 60 cm (chaque)
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
92 x 53 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
95 x 64 cm
© Margot Montigny
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
95 x 155 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
199 x 186,5 cm
Le travail de Marion Baruch sur les rebuts de l'industrie textile évoque un certain nomadisme qui s'appliquerait à la matière. Les sculptures de l'artiste se saisissent du négatif des vêtements dessinés à taille humaine pour être ensuite consommés. Pourtant, ce négatif prend un chemin différent et voyage dans un tout autre univers que ce à quoi il était initialement destiné. Le vide et le plein sont intimement complémentaires pour l'artiste. Dans Mon corps où es-tu ?, l'artiste fait référence à l'une des performances du même nom réalisée en 2009 lorsqu'elle pratiquait l'art relationnel. Elle avait vidé l'intégralité de son appartement pour y accueillir des inconnus, et ainsi le remplir autrement. Un peu plus tard, elle avait comblé l'espace de boites de médicaments marquant une évolution dans son rapport à son propre corps vieillissant. Dans l'oeuvre de Marion Baruch, il est ainsi toujours question de rapport à l'autre et au corps.
240 x 151 cm
©Alexander Hana
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
180 x 160 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
160 x 74 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
202 x 46 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
98 x 157 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
87 x 107 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
44 x 167 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
88 x 106 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
73 x 152 cm
Crédit photo Yann Haeberlin
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses œuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
242 x 145 cm
©Margot Montigny
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
420 x 130 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
48 x 119 cm
Le triptyque Tre Ovali réalisé en 2015 pour une exposition en Italie se compose de trois chutes de tissu comportant en leur centre des ovales vides. Marion Baruch a imaginé ces formes comme de petits objets destinés à la vente, créant conceptuellement une petite boutique. Comme souvent chez l'artiste, ce rapport entre le vide - ici ces trois trous - et sa matérialité imaginaire viennent ironiquement dialoguer pour faire de ces rebuts destinés à l'oubli, des produits de consommation; ou comment se moquer de la surconsommation en vendant du « rien ».
223 x 226 cm
©Alexander Hana
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
Collections du Musée d'Art Moderne de la ville de Paris
133 x 55 cm
En revenant vers un art formel suite à une longue période d'art relationnel, Marion Baruch a opéré un changement majeur dans sa carrière à partir de la fin des années 2000. Réalisant des oeuvres à partir de chutes de tissu qu'elle récupère de l'industrie textile milanaise, elle a commencé ce nouveau cycle par des citations de l'histoire de l'art et des artistes qui l'ont touchée. À la suite de cette période, elle s'est tournée vers des portraits et des références à la musique. La série des Arpa crée une résonance entre les dessins du tissu et ces instruments à corde, venant ainsi insister sur l'analogie entre l'architecture et la musique.
155 x 100 cm
Depuis une dizaine d'années Marion Baruch intervient sur des chutes de tissus, provenant de l'industrie textile milanaise. Rebuts de la société industrielle et urbaine, Marion Baruch trie, sélectionne et arrange ces matériaux, jusqu'à obtenir des formes à la géométrie flexible. Suspendues au plafond ou épinglées au mur, ses oeuvres décrivent une histoire tant sociale et politique qu'individuelle et sensible.
37,5 x 157 cm
Après une longue période de pratique d'un art conceptuel puis relationnel, Marion Baruch a été confrontée à certaines limites physiques liées à son âge. Elle opère ainsi un tournant majeur dans sa carrière à la fin des années 2000, en retournant vers un art formel, et découvre le potentiel pictural des chutes de tissu produites par l'industrie textile. Son premier geste dans ce nouveau cycle artistique est de lier son travail sur cette matière destinée à l'oubli, avec les grands maîtres modernes qui l'ont influencée. Ainsi, l'artiste commence à consacrer ses sculptures en les dédiant à des artistes qu'elle aime et qu'elle a aimé, comme des citations libres et spontanées de l'histoire de l'art qui défile sous ses yeux dans ces espaces de vide.
185 x 50 x 12,5 cm
©Elena Perlino
Dimensions variables
110,5 x 177,2 x 12,5 cm
©Elena Perlino
177, 5 x 90 x 48 cm
243 x 93,5 x 10,5 cm
40 x 40 cm
137 x 158 x 2,5 cm
78,7 x 63,5 x 24,1 cm
©Elena Perlino
78,7 x 63,5 x 24,1 cm
©Elena Perlino
Page de livret imprimé en couleurs
21 x 15 cm
Page de livret imprimé en couleurs
21 x 15 cm
Image : 21 x 33 cm chaque
Abito-Contenitore, réalisé en 1970, fait partie des travaux de début de carrière de Marion Baruch. Cette série de neuf photographies argentiques disposées sur trois cartons souligne l'étroite relation entre le tissu et le corps féminin. Elle s'intéresse ici au rapport du corps à la société, dans un contexte marqué de libération de la femme. L'artiste porte son regard sur la manière dont le textile se construit en boite de dialogue avec l'extérieur, introduisant une conception artistique aux formes féminines.
Le corps dissimulé sous l'étoffe oscille entre sculpture et performance, mettant en lumière le mouvement féminin au contact du tissu, et son importance au sein d'une société marquée par l'objectivation et l'instrumentalisation du corps des femmes. Ainsi, Marion Baruch dans cette oeuvre décrit une époque, en s'inscrivant dans la lignée de l'art féministe des années 1970.
18 x 24 cm
© Gianni Berengo Gardin
Provenance: atelier de l'artiste
Expositions :
- Marion Baruch, Retrospektive-Innenausseninnen, Kunstmuseum Luzern, Luzern, Suisse, 2020.
- Gigantisme - Art et Industrie, Triennale 2019, Frac Grand Large - Hauts de France, commissariat : Keren Detton, Grégory Lang, Géraldine Courbe et Sophie Warlop, Dunkerque, France, 2019-2020.
- Life A User's Manual, Art Encounters, Biennale d'art contemporain ,Timisoara, Roumanie, du 30 septembre au 5 novembre 2017.
Bibliographie :
- Gigantisme, Art et industrie, Frac Grand Large, Dunkerque, éditions BeauxArts, 2019, p.21.
- Artreview, Mai 2017, p. 80 - 81.
Photographies argentiques originales
Image : Dimensions variables ( environ 18 x 24 cm chaque)
Le travail de Marion Baruch se caractérise à la fin des années 60 par une recherche conceptuelle autour de la forme, s'incarnant dans des architectures de grandes dimensions avec lesquelles le corps dialogue, par la contrainte ou par le jeu. Centrée sur une pratique relationnelle, l'artiste combine ainsi matériaux de l'industrie et gestuelle humaine pour expérimenter des combinaisons formelles et un moyen de repenser l'individu dans son environnement.
Expositions :
- Marion Baruch, Retrospektive-Innenausseninnen, Kunstmuseum Luzern, Luzern, Suisse, 2020.
- « Le pressentiment de mon indiscipline »/ dialogue autour de la ligne avec Bernar Venet, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019.
- Life A User's Manual, Art Encounters, Biennale d'art contemporain, Timisoara, Roumanie, 2017.
Photographies argentiques originales
Image : Dimensions variables ( environ 18 x 24 cm chaque)
Le travail de Marion Baruch se caractérise à la fin des années 60 par une recherche conceptuelle autour de la forme, s'incarnant dans des architectures de grandes dimensions avec lesquelles le corps dialogue, par la contrainte ou par le jeu. Centrée sur une pratique relationnelle, l'artiste combine ainsi matériaux de l'industrie et gestuelle humaine pour expérimenter des combinaisons formelles et un moyen de repenser l'individu dans son environnement.
Expositions :
- Marion Baruch, Retrospektive-Innenausseninnen, Kunstmuseum Luzern, Luzern, Suisse, 2020.
- « Le pressentiment de mon indiscipline »/ dialogue autour de la ligne avec Bernar Venet, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019.
- Life A User's Manual, Art Encounters, Biennale d'art contemporain, Timisoara, Roumanie, 2017.
Photographies argentiques originales
Image : Dimensions variables ( environ 18 x 24 cm chaque)
Le travail de Marion Baruch se caractérise à la fin des années 60 par une recherche conceptuelle autour de la forme, s'incarnant dans des architectures de grandes dimensions avec lesquelles le corps dialogue, par la contrainte ou par le jeu. Centrée sur une pratique relationnelle, l'artiste combine ainsi matériaux de l'industrie et gestuelle humaine pour expérimenter des combinaisons formelles et un moyen de repenser l'individu dans son environnement.
Expositions :
- Marion Baruch, Retrospektive-Innenausseninnen, Kunstmuseum Luzern, Luzern, Suisse, 2020.
- « Le pressentiment de mon indiscipline »/ dialogue autour de la ligne avec Bernar Venet, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019.
- Life A User's Manual, Art Encounters, Biennale d'art contemporain, Timisoara, Roumanie, 2017.
Photographies argentiques originales
Image : Dimensions variables ( environ 18 x 24 cm chaque)
Le travail de Marion Baruch se caractérise à la fin des années 60 par une recherche conceptuelle autour de la forme, s'incarnant dans des architectures de grandes dimensions avec lesquelles le corps dialogue, par la contrainte ou par le jeu. Centrée sur une pratique relationnelle, l'artiste combine ainsi matériaux de l'industrie et gestuelle humaine pour expérimenter des combinaisons formelles et un moyen de repenser l'individu dans son environnement.
Expositions :
- Marion Baruch, Retrospektive-Innenausseninnen, Kunstmuseum Luzern, Luzern, Suisse, 2020.
- « Le pressentiment de mon indiscipline »/ dialogue autour de la ligne avec Bernar Venet, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019.
- Life A User's Manual, Art Encounters, Biennale d'art contemporain, Timisoara, Roumanie, 2017.
Photographies argentiques originales
Image : Dimensions variables ( environ 18 x 24 cm chaque)
Le travail de Marion Baruch se caractérise à la fin des années 60 par une recherche conceptuelle autour de la forme, s'incarnant dans des architectures de grandes dimensions avec lesquelles le corps dialogue, par la contrainte ou par le jeu. Centrée sur une pratique relationnelle, l'artiste combine ainsi matériaux de l'industrie et gestuelle humaine pour expérimenter des combinaisons formelles et un moyen de repenser l'individu dans son environnement.
Expositions :
- Marion Baruch, Retrospektive-Innenausseninnen, Kunstmuseum Luzern, Luzern, Suisse, 2020.
- « Le pressentiment de mon indiscipline »/ dialogue autour de la ligne avec Bernar Venet, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2019.
- Life A User's Manual, Art Encounters, Biennale d'art contemporain, Timisoara, Roumanie, 2017.
Marion Baruch est une artiste historique de 90 ans dont le travail a été récemment redécouvert à sa juste valeur. Il a récemment fait l'objet d'une rétrospective internationale qui a débuté au Kunstmuseum de Lucerne et s'est poursuivi en France au Magasin de Grenoble et aux Abattoirs de Toulouse, en Norvège, en Roumanie, en Italie et en Israël.
Née en 1929 en Roumanie, Marion Baruch vit et travaille aujourd'hui en Italie. Elle propose une oeuvre au féminin, socialement engagée, et audacieuse, qui cherche constamment la remise en question de son statut en s'ouvrant toujours vers de nouvelles dimensions, parfois en marge du milieu de l'art par le biais de performances, d'installations et de sculptures au caractère contestataire à la fois politique et poétique. Son travail récent poursuit cette recherche dialectique entre l'oeuvre d'art et la société. Créées à partir de chutes de tissu de l'industrie textile, ces sculptures introduisent un dialogue entre deux forces immatérielles : l'espace et la mémoire. Le dialogue en tant que forme de création, le déchet en tant que forme potentielle, le vide en tant que forme du possible et la médiation comme acte de création, sont quelques-unes des règles du jeu que Marion Baruch a depuis toujours fidèlement respectées. Ce faisant, l'artiste se confronte aux thématiques du corps, du monde productif, et de la consommation de ressources.