Chourouk Hriech
100 x 81 cm
-
232 x 197 x 3,5 cm
Dans A day to draw #1, Chourouk Hriech dépeint un paysage luxuriant sans véritable profondeur, et où les perspectives s'entrecroisent, mêlant le monde végétal au monde animal. Dans ce contexte, l'artiste s'intéresse aux oiseaux situés en bas à gauche de la toile, qui semblent chercher leur chemin avant de s'envoler dans ce monde autant rêvé que composé d'éléments de notre époque. Considérant le dessin comme une trajectoire, elle dresse ici un état des lieux de l'histoire de l'humanité à travers la pratique du regard de ces oiseaux, et propose une réflexion sur la dénaturation des éléments par notre époque.
231 x 197 x 3,5 cm
Exposition:
- Exposition personnelle, Art Dubai 2019, Section Bawwaba, commissariat: Elise Atangana, Dubai, Emirats arabes unis, 2019
Encre de chine sur papier
75 x 105 cm
Encre de chine sur papier
75 x 105 cm
-
Encre de chine sur papier
29,5 x 42 cm
La série « Byblos » a été produite à l'occasion de l'exposition collective « Voyages immobiles », à La Poste du Louvre à Paris en 2021, sous le commissariat de Jérôme Sans. L'ensemble de dessins à l'encre de Chine évoque une cartographie onirique et une flânerie nomade ou imaginaire dans les mondes fantasmés de Byblos au Liban, une des plus vieilles villes du monde à être continuellement habitée. La série est conçue à partir d'histoires et d'images, dans une réécriture d'un environnement fantasmé à l'aune du regard de l'artiste lorsqu'elle découvrit le site antique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Encre de chine sur papier
29,5 x 42 cm
La série « Byblos » a été produite à l'occasion de l'exposition collective « Voyages immobiles », à La Poste du Louvre à Paris en 2021, sous le commissariat de Jérôme Sans. L'ensemble de dessins à l'encre de Chine évoque une cartographie onirique et une flânerie nomade ou imaginaire dans les mondes fantasmés de Byblos au Liban, une des plus vieilles villes du monde à être continuellement habitée. La série est conçue à partir d'histoires et d'images, dans une réécriture d'un environnement fantasmé à l'aune du regard de l'artiste lorsqu'elle découvrit le site antique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Encre de chine sur papier
29,5 x 42 cm
La série « Byblos » a été produite à l'occasion de l'exposition collective « Voyages immobiles », à La Poste du Louvre à Paris en 2021, sous le commissariat de Jérôme Sans. L'ensemble de dessins à l'encre de Chine évoque une cartographie onirique et une flânerie nomade ou imaginaire dans les mondes fantasmés de Byblos au Liban, une des plus vieilles villes du monde à être continuellement habitée. La série est conçue à partir d'histoires et d'images, dans une réécriture d'un environnement fantasmé à l'aune du regard de l'artiste lorsqu'elle découvrit le site antique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Encre de chine sur papier
29,5 x 42 cm
La série « Byblos » a été produite à l'occasion de l'exposition collective « Voyages immobiles », à La Poste du Louvre à Paris en 2021, sous le commissariat de Jérôme Sans. L'ensemble de dessins à l'encre de Chine évoque une cartographie onirique et une flânerie nomade ou imaginaire dans les mondes fantasmés de Byblos au Liban, une des plus vieilles villes du monde à être continuellement habitée. La série est conçue à partir d'histoires et d'images, dans une réécriture d'un environnement fantasmé à l'aune du regard de l'artiste lorsqu'elle découvrit le site antique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.
280 x 70 cm
Titré, daté, signé au dos
Pour construire cette oeuvre, Chourouk Hriech reprend des oiseaux tirés de l'inventaire dressé par l'ornithologue John James Audubon entre 1827 et 1839. Elle place ces animaux colorés dans une architecture verticale, brutaliste et moderniste pour créer un contraste temporel entre les deux objets. Ainsi, l'artiste s'intéresse à l'appropriation du savoir et de l'image de ces oiseaux, en questionnant la perte de sens que nos sociétés modernes entraînent par rapport aux intentions initiales du naturaliste.
280 x 70 cm
Titré, daté, signé au dos
Pour construire cette oeuvre, Chourouk Hriech reprend des oiseaux tirés de l'inventaire dressé par l'ornithologue John James Audubon entre 1827 et 1839. Elle place ces animaux colorés dans une architecture verticale, brutaliste et moderniste pour créer un contraste temporel entre les deux objets. Ainsi, l'artiste s'intéresse à l'appropriation du savoir et de l'image de ces oiseaux, en questionnant la perte de sens que nos sociétés modernes entraînent par rapport aux intentions initiales du naturaliste.
250 x 140 cm
-
6'
5'30''
6'
29,7 x 12,7 cm
Titré, signé, daté au dos
Les oiseaux sont un motif récurrent dans le travail de Chourouk Hriech, symboles pour elle du spirituel et de la matérialisation du dessin comme une trajectoire. Travaillant exclusivement en noir et blanc, l'artiste choisi de dessiner pour la première fois en couleur ces animaux éclatants et fantasmés. En effet, face à la disparition des espèces elle cherche à sortir de ses habitudes artistiques pour retranscrire l'urgence de leur situation.
29,7 x 12,7 cm
Titré, signé, daté au dos
Les oiseaux sont un motif récurrent dans le travail de Chourouk Hriech, symboles pour elle du spirituel et de la matérialisation du dessin comme une trajectoire. Travaillant exclusivement en noir et blanc, l'artiste choisi de dessiner pour la première fois en couleur ces animaux éclatants et fantasmés. En effet, face à la disparition des espèces elle cherche à sortir de ses habitudes artistiques pour retranscrire l'urgence de leur situation.
29,7 x 12,7 cm
Titré, signé, daté au dos
Les oiseaux sont un motif récurrent dans le travail de Chourouk Hriech, symboles pour elle du spirituel et de la matérialisation du dessin comme une trajectoire. Travaillant exclusivement en noir et blanc, l'artiste choisi de dessiner pour la première fois en couleur ces animaux éclatants et fantasmés. En effet, face à la disparition des espèces elle cherche à sortir de ses habitudes artistiques pour retranscrire l'urgence de leur situation.
29,7 x 12,7 cm
Titré, signé, daté au dos
Les oiseaux sont un motif récurrent dans le travail de Chourouk Hriech, symboles pour elle du spirituel et de la matérialisation du dessin comme une trajectoire. Travaillant exclusivement en noir et blanc, l'artiste choisi de dessiner pour la première fois en couleur ces animaux éclatants et fantasmés. En effet, face à la disparition des espèces elle cherche à sortir de ses habitudes artistiques pour retranscrire l'urgence de leur situation.
29,7 x 12,7 cm
Titré, signé, daté au dos
Les oiseaux sont un motif récurrent dans le travail de Chourouk Hriech, symboles pour elle du spirituel et de la matérialisation du dessin comme une trajectoire. Travaillant exclusivement en noir et blanc, l'artiste choisi de dessiner pour la première fois en couleur ces animaux éclatants et fantasmés. En effet, face à la disparition des espèces elle cherche à sortir de ses habitudes artistiques pour retranscrire l'urgence de leur situation.
photographie en noir et blanc
Image : 42 x 30 cm
Encadrement : 46,2 x 34, 3 x 2,5 cm
Dans Le Monde entre leurs mains, Chourouk Hriech présente une série de photographies en noir et blanc qui prend comme sujet la jeunesse tatouée. Chaque modèle tient une mappemonde entre ses mains, déployant une gestuelle particulière. Ici, l’artiste cherche à produire un dialogue entre les images imprimées sur le globe, et ces dessins gravés sur la peau, ramenant aux aventures de vie, rêves et ambitions de chaque jeune modèle. Ces représentations du monde leur échappent inévitablement car les figures comme les symboles évoluent selon les époques. Néanmoins, en choisissant de s’affirmer par le biais du tatouage, cette jeunesse défie le temps, l’avenir et le réel. Le chiffre cinq apparaît en fil rouge de ces photographies : cinq continents, cinq doigts… Ainsi, Chourouk Hriech pousse toujours plus loin la pratique du dessin en multipliant les médiums pour en explorer ses potentialités et ses matérialisations.
photographie en noir et blanc
Image : 90 x 75 cm
Encadrement : 96,6 x 70,7 x 3,1 cm
Dans Le Monde entre leurs mains, Chourouk Hriech présente une série de photographies en noir et blanc qui prend comme sujet la jeunesse tatouée. Chaque modèle tient une mappemonde entre ses mains, déployant une gestuelle particulière. Ici, l'artiste cherche à produire un dialogue entre les images imprimées sur le globe, et ces dessins gravés sur la peau, ramenant aux aventures de vie, rêves et ambitions de chaque jeune modèle. Ces représentations du monde leur échappent inévitablement car les figures comme les symboles évoluent selon les époques. Néanmoins, en choisissant de s'affirmer par le biais du tatouage, cette jeunesse défie le temps, l'avenir et le réel. Le chiffre cinq apparaît en fil rouge de ces photographies : cinq continents, cinq doigts? Ainsi, Chourouk Hriech pousse toujours plus loin la pratique du dessin en multipliant les médiums pour en explorer ses potentialités et ses matérialisations.
70 x 55 cm
signé, titré, daté
Dans ce dessin, Chourouk Hriech crée un monde flottant, proche d'un paysage japonais, où se mélangent des figures florales, bestiaires et géométriques dans un travail conjuguant l'ornement à une forme de technique proche de la peinture rupestre. Suggérant l'envol d'oiseaux sans les représenter vraiment, elle conçoit une continuité entre le tissu d'un kimono et les ailes déployées de l'animal.
70 x 55 cm
signé, titré, date
Dans ce dessin, Chourouk Hriech crée un monde flottant, proche d'un paysage japonais, où se mélangent des figures florales, bestiaires et géométriques dans un travail conjuguant l'ornement à une forme de technique proche de la peinture rupestre. Suggérant l'envol d'oiseaux sans les représenter vraiment, elle conçoit une continuité entre le tissu d'un kimono et les ailes déployées de l'animal.
70 x 55 cm
signé, titré, daté
Dans ce dessin, Chourouk Hriech crée un monde flottant, proche d'un paysage japonais, où se mélangent des figures florales, bestiaires et géométriques dans un travail conjuguant l'ornement à une forme de technique proche de la peinture rupestre. Suggérant l'envol d'oiseaux sans les représenter vraiment, elle conçoit une continuité entre le tissu d'un kimono et les ailes déployées de l'animal.
50 x 65 cm
Signé, titré, daté au dos
Dans ces dessins, Chourouk Hriech représente des lieux où se mêlent des éléments architecturaux et végétaux appelant à une grande sérénité, comme des endroits idylliques du quotidien. Comme souvent dans sa pratique elle mêle des éléments réels desquels elle s'inspire lors d'un voyage et des éléments imaginaires et fantasmés. Dans ces intérieurs dessinés en noir et blanc, chaque ouverture sur le dehors laisse apparaître des paysages profonds, composés d'une nature verdoyante. Ainsi, elle superpose des architectures urbaines, ici inspirées de Madrid (une salle du Palais de l'Alcazar, une ruelle encombrée,...), et des horizons bucoliques impossibles. De cette manière, elle installe un jeu dans la perspective qui invite à une ouverture, un possible, une nouvelle façon de concevoir l'espace pour aller vers un monde rêvé.
42 x 29,7 cm
Signé et daté au dos
Cette série est composée de treize dessins réalisés à l'encre de Chine lors d'un voyage à Dubaï en 2019. Ici, Chourouk Hriech alterne les perspectives et enchevêtre divers éléments. Elle mêle des architectures traditionnelles et modernes avec des objets du quotidien ou irréels, des cartes et des paysages végétaux. Les temporalités et les espaces se brouillent : la ville historique et les éléments plus modernistes fusionnent dans une version futuriste rythmée d'objets poétiques et symboliques de l'imaginaire du pays.
42 x 29,7 cm
Signé et daté au dos
Cette série est composée de treize dessins réalisés à l'encre de Chine lors d'un voyage à Dubaï en 2019. Ici, Chourouk Hriech alterne les perspectives et enchevêtre divers éléments. Elle mêle des architectures traditionnelles et modernes avec des objets du quotidien ou irréels, des cartes et des paysages végétaux. Les temporalités et les espaces se brouillent : la ville historique et les éléments plus modernistes fusionnent dans une version futuriste rythmée d'objets poétiques et symboliques de l'imaginaire du pays.
29,7 x 42 cm
Signé et daté au dos
Cette série est composée de treize dessins réalisés à l'encre de Chine lors d'un voyage à Dubaï en 2019. Dans ces dessins, Chourouk Hriech alterne les perspectives et enchevêtre divers éléments. Elle mêle des architectures traditionnelles et modernes avec des objets du quotidien ou irréels, des cartes et des paysages végétaux. Les temporalités et les espaces se brouillent : la ville historique et les éléments plus modernistes fusionnent dans une version futuriste rythmée d'objets poétiques et symboliques de l'imaginaire du pays.
Encre de chine sur papier
22 x 18 cm
Daté et signé au dos
A l'occasion d'une exposition au Centre d'Art Contemporain en 2018, Chourouk Hriech s'est rendue à Tel Aviv. Comme souvent lors de ses voyages, elle en a ramené une série intitulée « Tel Aviv’s lines ». Ces dessins en noir et blanc sont le fruit de ses découvertes au fil de son exploration de la ville. Les bâtiments flambants neufs côtoient les vieux immeubles délabrés, soulignant la constante métamorphose de la ville. On y retrouve l'architecture méditerranéenne mais aussi l'influence du Bauhaus et les grandes avenues à la californienne dans de fascinants jeux d'ombres et de lumières. Dans ce panorama architectural, Chourouk Hriech fait ressortir le contraste entre les lignes parfois austères des bâtiments et la végétation désordonnée.
Encre de Chine sur papier
22 x 18 cm
Daté et signé au dos
A l'occasion d'une exposition au Centre d'Art Contemporain en 2018, Chourouk Hriech s'est rendue à Tel Aviv. Comme souvent lors de ses voyages, elle en a ramené une série intitulée « Tel Aviv’s lines ». Ces dessins en noir et blanc sont le fruit de ses découvertes au fil de son exploration de la ville. Les bâtiments flambants neufs côtoient les vieux immeubles délabrés, soulignant la constante métamorphose de la ville. On y retrouve l'architecture méditerranéenne mais aussi l'influence du Bauhaus et les grandes avenues à la californienne dans de fascinants jeux d'ombres et de lumières. Dans ce panorama architectural, Chourouk Hriech fait ressortir le contraste entre les lignes parfois austères des bâtiments et la végétation désordonnée.
Encre de Chine sur papier
22 x 18 cm
A l'occasion d'une exposition au Centre d'Art Contemporain en 2018, Chourouk Hriech s'est rendue à Tel Aviv. Comme souvent lors de ses voyages, elle en a ramené une série intitulée « Tel Aviv’s lines ». Ces dessins en noir et blanc sont le fruit de ses découvertes au fil de son exploration de la ville. Les bâtiments flambants neufs côtoient les vieux immeubles délabrés, soulignant la constante métamorphose de la ville. On y retrouve l'architecture méditerranéenne mais aussi l'influence du Bauhaus et les grandes avenues à la californienne dans de fascinants jeux d'ombres et de lumières. Dans ce panorama architectural, Chourouk Hriech fait ressortir le contraste entre les lignes parfois austères des bâtiments et la végétation désordonnée.
Encre de Chine sur papier
22 x 18 cm
Daté et signé au dos
A l'occasion d'une exposition au Centre d'Art Contemporain en 2018, Chourouk Hriech s'est rendue à Tel Aviv. Comme souvent lors de ses voyages, elle en a ramené une série intitulée « Tel Aviv’s lines ». Ces dessins en noir et blanc sont le fruit de ses découvertes au fil de son exploration de la ville. Les bâtiments flambants neufs côtoient les vieux immeubles délabrés, soulignant la constante métamorphose de la ville. On y retrouve l'architecture méditerranéenne mais aussi l'influence du Bauhaus et les grandes avenues à la californienne dans de fascinants jeux d'ombres et de lumières. Dans ce panorama architectural, Chourouk Hriech fait ressortir le contraste entre les lignes parfois austères des bâtiments et la végétation désordonnée.
Encre de Chine sur papier
22 x 18 cm
Daté et signé au dos
A l'occasion d'une exposition au Centre d'Art Contemporain en 2018, Chourouk Hriech s'est rendue à Tel Aviv. Comme souvent lors de ses voyages, elle en a ramené une série intitulée Tel Aviv's lines. Ces dessins en noir et blanc sont le fruit de ses découvertes au fil de son exploration de la ville. Les bâtiments flambants neufs côtoient les vieux immeubles délabrés, soulignant la constante métamorphose de la ville. On y retrouve l'architecture méditerranéenne mais aussi l'influence du Bauhaus et les grandes avenues à la californienne dans de fascinants jeux d'ombres et de lumières. Dans ce panorama architectural, Chourouk Hriech fait ressortir le contraste entre les lignes parfois austères des bâtiments et la végétation désordonnée.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l’œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l’œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l'œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l’œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l'œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l'oeuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l'œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l’œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l'œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
300 x 100 cm
© Gaëlle Deleflie
Chourouk Hriech s'inspire ici de l'art japonais, tant par le motif de l'eau qui y revient régulièrement que par le format du kakémono. Elle fusionne influences étrangères et savoir-faire français en faisant appel aux techniques traditionnelles de tissage d'Aubusson pour réaliser son œuvre sous forme de tapisserie. Avec quelques traits évocateurs et un aplat bleu (la seule couleur), l'artiste représente une cascade. L’environnement autour est suggéré par des éléments végétaux éparses. Le titre évocateur de l'œuvre vient renforcer la poésie qui s'en dégage.
vidéo
12'15''
Dans sa pratique du dessin, Chourouk Hriech utilise divers outils et médiums. En effet, sa pratique ne s’arrête pas au dessin pur, mais elle exploite toutes ses formes y compris la performance. Dans Effeuillages, l’artiste se met en scène dans une piscine où elle dessine de mémoire des fleurs en posant son carnet sur sa tête. Une fois terminées, elle les détache et les laisse flotter à la surface de l’eau. Considérant le dessin avant tout comme une trajectoire, elle poursuit une réflexion, dans cette performance et plus généralement dans l’ensemble de son travail, sur la disparition des trajectoires et sur l’empreinte que l’on peut en garder. Ainsi, en représentant à partir du souvenir du geste, et en laissant s’évader ces fleurs dessinées dans l’eau, Chourouk Hriech effectue un double appel à la mémoire des formes et des éléments.
Lien de la vidéo : https://vimeo.com/330743813
Mdp : Effeuillages
Gouache sur Canson
30 x 21 cm
Gouache sur Canson
30 x 21 cm
Gouache sur Canson
18 x 24 cm
Encre de Chine sur papier Vinci
80 x 120 cm
Dans cette série de dessins à l'encre de Chine, Chourouk Hriech représente différentes perspectives d'un même assemblage d'objets. Ce sont des cruches, des livres ou des draps qui ont servi à la réalisation d'une de ses oeuvres vidéos. Ces dessins sont en noir et blanc, géométriques et contrastés mais des détails comme les motifs des cruches ou les drapés se dégagent. Le titre évocateur de la série confirme la volonté de l'artiste de capturer avec ces natures mortes un moment qui lui est particulier.
Encre de Chine sur papier Vinci
80 x 120 cm
Dans cette série de dessins à l'encre de Chine, Chourouk Hriech représente différentes perspectives d'un même assemblage d'objets. Ce sont des cruches, des livres ou des draps qui ont servi à la réalisation d'une de ses oeuvres vidéos. Ces dessins sont en noir et blanc, géométriques et contrastés mais des détails comme les motifs des cruches ou les drapés se dégagent. Le titre évocateur de la série confirme la volonté de l'artiste de capturer avec ces natures mortes un moment qui lui est particulier.
4'16
Dans Bird’s fountain, une femme porte une cruche qui se remplit par une source inconnue et déborde sur sa toge blanche immaculée. Cette dernière tourne sur elle-même et nous fixe, le regard de plus en plus intense, alors que l'eau noircit progressivement.
Évoquant le proverbe populaire : "Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse", cette vidéo fait de multiples références à "La pluie" de Marcel Broodthaers (1969), aux corps des femmes dans "Rebecca et Eliezer" de Nicolas Poussin (1643), et enfin au tour du potier suggéré ici par le modèle qui tourne sur lui-même, et dont l'eau et l'encre façonne ses expressions au fur et mesure qu'ils se déversent sur lui.
Lien vimeo: http://vimeo.com/215862408
mdp: fountain
4'16
Dans Bird’s fountain, une femme porte une cruche qui se remplit par une source inconnue et déborde sur sa toge blanche immaculée. Cette dernière tourne sur elle-même et nous fixe, le regard de plus en plus intense, alors que l'eau noircit progressivement.
Évoquant le proverbe populaire : "Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse", cette vidéo fait de multiples références à "La pluie" de Marcel Broodthaers (1969), aux corps des femmes dans "Rebecca et Eliezer" de Nicolas Poussin (1643), et enfin au tour du potier suggéré ici par le modèle qui tourne sur lui-même, et dont l'eau et l'encre façonne ses expressions au fur et mesure qu'ils se déversent sur lui.
Lien vimeo: http://vimeo.com/215862408
mdp: fountain
vidéo 4' /dessin 260 x 700 cm
©Annik-Wetter
Exposition:
- Le dessin, autrement, Galerie de l'Etrave, commissariat Philippe Piguet, Thonon-Les-Bains, France, du 23 juin au 23 septembre 2017
vidéo 4' /dessin 260 x 700 cm
©Annik-Wetter
Exposition:
- Le dessin, autrement, Galerie de l'Etrave, commissariat Philippe Piguet, Thonon-Les-Bains, France, du 23 juin au 23 septembre 2017
Vidéo HD, couleur, son
4'1''
©Annik-Wetter
« Dans ces vidéos, les enfants de l'école de New Bell Aviation (Douala, Cameroun) deviennent des conteurs d'histoires. Les contes sont improvisés à partir de cette grammaire empreinte à mon répertoire : architecture, vagues, rivages, des étoiles et des bateaux, des cartes et des oiseaux, des plantes. Ainsi, devant un dessin choisi, sans filtre comme ils savent l'être de leur non savoir, ils sont de véritables portraits de la société camerounaise.
Ma traversée ici à Douala est une histoire de traces et de tracés, de trajectoires et de trajets. Un territoire dans lequel j'ai cherché à décrypter par la force du trait les mécanismes et les enjeux de ce que l'art pouvait prendre comme sens ici face au réel ».
Chourouk Hriech, 2017
Lien vidéo : https://vimeo.com/259864276
mdp : Douala1
Vidéo HD, couleur, son
6'28''
« Dans ces vidéos, les enfants de l'école de New Bell Aviation (Douala, Cameroun) deviennent des conteurs d'histoires. Les contes sont improvisés à partir de cette grammaire empreinte à mon répertoire : architecture, vagues, rivages, des étoiles et des bateaux, des cartes et des oiseaux, des plantes. Ainsi, devant un dessin choisi, sans filtre comme ils savent l'être de leur non savoir, ils sont de véritables portraits de la société camerounaise.
Ma traversée ici à Douala est une histoire de traces et de tracés, de trajectoires et de trajets. Un territoire dans lequel j'ai cherché à décrypter par la force du trait les mécanismes et les enjeux de ce que l'art pouvait prendre comme sens ici face au réel ».
Chourouk Hriech, 2017
https://vimeo.com/259855963
mdp: Douala4
Encre de chine sur papier
18 x 24,5 cm
Invitée au Salon Urbain de Douala en 2017, Chourouk Hriech a emporté avec elle son carnet de dessin. La série « 1ère rencontre avec Douala », composée de vingt-deux dessins à l’encre de Chine, est le résultat de ce voyage et de son exploration de la capitale économique du Cameroun. Armée de son trait vif et franc, Chourouk Hriech se promène au gré des rues et capture les architectures comme les scènes de vie du quotidien, guidée par son intérêt toujours aigu pour le lien entre la rigueur de l’architecture et le chaos poétique de la vie et de la végétation.
Encre de chine sur papier
18 x 24, 5 cm
Invitée au Salon Urbain de Douala en 2017, Chourouk Hriech a emporté avec elle son carnet de dessin. La série « 1ère rencontre avec Douala », composée de vingt-deux dessins à l’encre de Chine, est le résultat de ce voyage et de son exploration de la capitale économique du Cameroun. Armée de son trait vif et franc, Chourouk Hriech se promène au gré des rues et capture les architectures comme les scènes de vie du quotidien, guidée par son intérêt toujours aigu pour le lien entre la rigueur de l’architecture et le chaos poétique de la vie et de la végétation.
Encre de chine sur papier
17,5 x 24 cm
Invitée au Salon Urbain de Douala en 2017, Chourouk Hriech a emporté avec elle son carnet de dessin. La série « 1ère rencontre avec Douala », composée de vingt-deux dessins à l'encre de Chine, est le résultat de ce voyage et de son exploration de la capitale économique du Cameroun. Armée de son trait vif et franc, Chourouk Hriech se promène au gré des rues et capture les architectures comme les scènes de vie du quotidien, guidée par son intérêt toujours aigu pour le lien entre la rigueur de l'architecture et le chaos poétique de la vie et de la végétation.
Encre de chine sur papier
18 x 24,5 cm
Invitée au Salon Urbain de Douala en 2017, Chourouk Hriech a emporté avec elle son carnet de dessin. La série « 1ère rencontre avec Douala », composée de vingt-deux dessins à l’encre de Chine, est le résultat de ce voyage et de son exploration de la capitale économique du Cameroun. Armée de son trait vif et franc, Chourouk Hriech se promène au gré des rues et capture les architectures comme les scènes de vie du quotidien, guidée par son intérêt toujours aigu pour le lien entre la rigueur de l’architecture et le chaos poétique de la vie et de la végétation.
220 x 122 x 70 cm
Crédit photo Blaise Adilon
Non sans rappeler le principe de la table d'observation ou du mobilier de musée d'histoire naturelle, La conférence des oiseaux est une poésie de lignes et d'objets.
Entre relevés minutieux et cartographie, le réel est le point de départ des oeuvres de l'artiste, qui s'étoffent ensuite d'autres motifs, d'observations et d'objets collectés au cours de voyages, de références historiques ou littéraires et de figures réitérées, présentes dans d'autres dessins, qui sont en somme des compagnons de route de Chourouk Hriech.
L'amphithéâtre du muséum d'histoire naturelle de la ville de Paris dessiné sur bois ce fait la tribune d'oiseaux sur lithographies. La figure de l'oiseau récurrente nous invite à réfléchir au voyage, à la migration, au souvenir que l'on rapporte de nos découvertes en terre inconnue. L'oiseau, peuplant les airs, les arbres, toujours en mouvement et les coquillages, mystérieux monde intérieur à eux seuls, se perçoivent ici comme les acteurs et témoins d'une lettre aux visiteurs. Une lettre où les mots changeraient selon que nous ayons 8 ans ou 77.
Dessin sur terre cuite
Diam: 19 cm / Haut: 52 cm/ profondeur: 16 cm
Avec sa série de vases Les puits du ciel, Chourouk Hriech continue son exploration de la pratique du dessin à travers l'utilisation de vases dont les formes font référence à des époques anciennes. A l'intérieur de ces objets quotidiens, elle place des oiseaux, pour elle synonymes de spiritualité, comme manifestations d'un ailleurs inaccessible et sans fin. En ouvrant le vase, l'artiste nous invite à la découverte de cet écosystème caché et renverse les réalités. De banals objets prennent une fonction nouvelle, comme un puit donnant une fenêtre vers un nouveau possible. A l'image de l'oxymore du titre, l'artiste fait de son oeuvre un paradoxe : les vases abritent un autre ciel, et l'espace creux devient infini.
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Dessin sur terre cuite
Diam: 19 cm / Haut: 58 cm/ profondeur: 14 cm
Avec sa série de vases Les puits du ciel, Chourouk Hriech continue son exploration de la pratique du dessin à travers l'utilisation de vases dont les formes font référence à des époques anciennes. A l'intérieur de ces objets quotidiens, elle place des oiseaux, pour elle synonymes de spiritualité, comme manifestations d'un 'ailleurs' inaccessible et sans fin. En ouvrant le vase, l'artiste nous invite à la découverte de cet écosystème caché et renverse les réalités. De banals objets prennent une fonction nouvelle, comme un puit donnant une fenêtre vers un nouveau possible. A l'image de l'oxymore du titre, l'artiste fait de son œuvre un paradoxe : les vases abritent un autre ciel, et l'espace creux devient infini.
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70 x 50 cm
Signée et numérotée en bas à droite
55 x 70 cm
Dans ces dessins, Chourouk Hriech représente un monde divisé, qu'elle tente d'harmoniser. En jouant des perspectives, l’artiste suggère une confrontation entre la nature et l’urbain. Elle met en avant le contraste entre l’architecture nette, parfaite et la végétation luxuriante. Les traits noirs, semblables à des trajectoires, tentent d’ordonner l’espace et font le lien entre les œuvres.
55 x 65 cm
Dans ces dessins, Chourouk Hriech représente un monde divisé, qu'elle tente d'harmoniser. En jouant des perspectives, l’artiste suggère une confrontation entre la nature et l’urbain. Elle met en avant le contraste entre l’architecture nette, parfaite et la végétation luxuriante. Les traits noirs, semblables à des trajectoires, tentent d’ordonner l’espace et font le lien entre les œuvres.
40 x 32 cm
Dans Dehors #1, Chourouk Hriech s'intéresse aux détails d'un bâtiment, a priori d’une porte. Elle joue sur les ombres et les motifs pour attirer le regard du spectateur sur un contraste : les murs portent des ornements végétaux stylisés alors que la végétation sauvage s'installe sur le toit.
80 x 120 cm
80 x 120 cm
Collection MAC VAL, Vitry-Sur-Seine, France
80 x 76 cm
Dans cette série de dessin, Chourouk Hriech crée des chimères à partir de formes géométriques enchevêtrées, semblables à des origamis. Elle décore ces compositions d’éléments fauniques, de têtes d'animaux ou de squelettes qui contrastent avec des motifs travaillés. Le format original des dessins, un trapèze, accentue leur aspect insolite.
80 x 76 cm
Dans cette série de dessin, Chourouk Hriech crée des chimères à partir de formes géométriques enchevêtrées, semblables à des origamis. Elle décore ces compositions d’éléments fauniques, de têtes d'animaux ou de squelettes qui contrastent avec des motifs travaillés. Le format original des dessins, un trapèze, accentue leur aspect insolite.
dimensions variables
Cette œuvre de Chourouk Hriech est une installation de bois et de métal, un medium inédit chez cette artiste puisqu'elle crée cette sculpture à partir d'objets de récupération : une rame peinte en noir et des faisans ouvragés. Elle représente des oiseaux, un sujet récurrent dans son travail, mais les place ici face à face, sur cette rame en suspension, dans une situation aussi absurde que poétique qui n’est pas sans rappeler certaines associations des surréalistes.
dimensions variables
Chourouk Hriech, Vue de l'exposition « De quoi ce monde est-il le miroir » au CACC 2017 ©Nicolas Giraud-Cacc
Cette œuvre de Chourouk Hriech est une installation de bois et de métal, un medium inédit chez cette artiste puisqu'elle crée cette sculpture à partir d'objets de récupération : une rame peinte en noir et des faisans ouvragés. Elle représente des oiseaux, un sujet récurrent dans son travail, mais les place ici face à face, sur cette rame en suspension, dans une situation aussi absurde que poétique qui n’est pas sans rappeler certaines associations des surréalistes.
80 x 120 cm
Ce dessin en noir et blanc est caractéristique de la démarche de Chourouk Hriech. Face à nous, le trait sûr de l'artiste dessine peu à peu un amalgame de structures urbaines, des éléments centraux dans son oeuvre, et d'éléments végétaux. Elle joue avec les perspectives et les motifs pour construire une ville fantasmée, irréelle, voire même utopique. Avec cette oeuvre, Chourouk Hriech nous invite à l'imagination, à un voyage dans ce qui pourrait être dans une autre temporalité. Le titre étrange et poétique ajoute encore du mystère à l'oeuvre.
© Jair Lanes
Chourouk Hriech pratique le dessin comme une promenade dans l'espace et le temps. Ses oeuvres, sur papier, sur les murs, sur les objets qui nous entourent, appellent à la contemplation d'architectures anciennes et récentes, réelles et imaginaires, de personnages, d'animaux, de végétaux et de chimères. Ses dessins articulent et entrechoquent des motifs urbains, du quotidien, en suivant sereinement la course folle du monde, comme un désir de résistance et d'utopie.
Chourouk Hriech est née en 1977, elle vit et travaille à Marseille, France.