Mimosa Echard
Lampe, perles, coquilles d'oeuf, coquilles d'oursins, coquilles d'escargots, noyaux de cerises, feuilles d'or, stickers fluorescents, graines d'acacia, pétales de pavot, noyau de pêche, noyau de prune, allumette, corille, larmes de Job, paillettes, abeille en plastique, anneaux métalliques, billes d'argile, impressions offset, orchidée séchée, colle acr
31 x 32,5 x 11 cm
Lampe, perles, coquilles d'oeuf, coquilles d'oursins, coquilles d'escargots, noyaux de cerises, feuilles d'or, stickers fluorescents, graines d'acacia, pétales de pavot, noyau de pêche, noyau de prune, allumette, corille, larmes de Job, paillettes, abeille en plastique, anneaux métalliques, billes d'argile, impressions offset, orchidée séchée, colle acrylique, peinture acrylique et latex
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
"J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Coquilles d'oeufs, faux ongles, orchidée séchée, feuilles d'or, paillettes, collier pendentif, perles en verre, anneaux métalliques, impressions offset, colle acrylique, peinture acrylique et latex
17,5 x 11, 5 x 6 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
"J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Perles en verre, anneaux métalliques, améthyste, pétales de pavot, stickers fluorescents, feuilles d'amarante, kombucha, impressions offset, colle acrylique, peinture acrylique et latex
28,5 x 22,5 x 15 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Perles, coquilles d'oeuf, paillettes, noyau de pêche, colle acrylique, peinture acrylique, impressions offset
42,3 x 41,5 x 25 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Perles, coquilles d'oeuf, paillettes, noyau de pêche, colle acrylique, peinture acrylique, impressions offset
42,3 x 41,5 x 25 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
40,5 x 40,5 x 6 cm
Perles en verre, billes de verre, billes d'argile, noyaux de cerises, noyaux de prunes, noyaux d'abricots, kombucha, datura, pétale de pavot, fougères, oeuf en plastique, trilobite en plastique, collier pendentif, dent de requin, faux ongles, orgonite, impressions offset, colle acrylique, peinture acrylique et latex.
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Perles en verre, anneaux métalliques, paillettes, impressions offset, pièce de puzzle, orchidée séchée, feuille de capucine, fleur de bougainvillier, fleur de lavande, faux ongles, colle acrylique, peinture acrylique et latex
23 x 17,5 x 17 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Lichen, perles en verre, fleur d'amarante, perles en verre, anneaux métallique, colle acrylique
27 x 13 x 4 cm chaque
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Carte "species", perles, anneaux métalliques, colle acrylique
11,5 x 6 x 4 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018