Galerie Anne-Sarah Bénichou Galerie Anne-Sarah Bénichou
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Maxime Verdier

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L'échappée belle, 2021
L'échappée belle, 2021
Crayons de couleur sur papier
45 x 32 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021016
La parabole des amis, 2023
La parabole des amis, 2023
Graphite sur papier
Daté et signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2023001
L'empire des sens, 2022
L'empire des sens, 2022
Graphite sur papier
Signé et daté au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2022003
L'apparition, 2021
L'apparition, 2021
Crayons de couleur sur papier
45 x 32 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021014
L'Azur endormi, 2021
L'Azur endormi, 2021
Crayons de couleur sur papier
45 x 32 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021015
Nighthawk, 2021
Nighthawk, 2021
Graphite sur papier
32 x 24 cm
Signature au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021013
Les sables mouvants, 2021
Les sables mouvants, 2021
Graphite sur papier
32 x 24 cm
Signature au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021012
Les griffes de la nuit, 2021
Les griffes de la nuit, 2021
Graphite sur papier
32 x 24 cm
Signature au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021007
Melancholia, 2022
Melancholia, 2022
Crayons de couleur sur papier
96 x 64 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2022001


Tout est flou !, 2021
Tout est flou !, 2021
Crayons de couleur sur papier
100 x 65 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021002

Dans Tout est flou !, Maxime Verdier évoque la manière dont la myopie a influencé sa manière de voir les formes qui l'entourent depuis son adolescence. Découvert tardivement, ce défaut de la vision a entrainé chez lui l'habitude d'imaginer le monde autrement. L'artiste s'amuse à juxtaposer des éléments autobiographiques à des formes étranges dans un paysage chimérique qui se déploie sur l'espace de la feuille.

Le réconfort des lucioles, 2021
Le réconfort des lucioles, 2021
Crayons de couleur, pastels secs et pastels gras sur papier
120 x 80 cm
Signé et daté au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021009
Spotlight, 2021
Spotlight, 2021
Crayons de couleur sur papier
100 x 65 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021003

Spotlight porte sur les possibilités d'évocation des choses derrière les apparences, le "pourquoi pas" des objets, des êtres et des instants dès lors qu'ils sont soumis aux seules règles de l'imagination. Sur le mur d'une maison, l'ombre d'une forme monstrueuse se dessine alors que deux doigts semblent coincés sous un volet, laissant deviner une présence qui observe la scène. Son enfance à la campagne a permis à Maxime Verdier de peupler son esprit de créatures et de fantômes qu'il croyait percevoir dans les poutres des plafonds et le feuillage des arbres.

Le sentiment du pissenlit, 2021
Le sentiment du pissenlit, 2021
Peinture acrylique sur bois
60 x 44 cm
signé, titré, daté au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021001

Dans un esprit proche du surréalisme, Le Sentiment du Pissenlit, peinture acrylique sur bois réalisée spécialement pour les cinq ans de la galerie, s’offre aux spectateurs comme une énigme, un rébus à déchiffrer. Maxime Verdier invoque avec humour l’idée de la cinquième roue du carrosse en s’interrogeant sur la place à donner à l’inutile dans notre société actuelle. En effet, que se passe-t-il lorsque l’on décide de sortir de la finalité pratique ou profitable des choses qui nous entourent ? Lorsque l’on offre une chance à ce qui nous déplait, à ce qui est accessoire ou futile ? Peut-être que l’on ouvre alors une part de rêve, de nouveaux possibles, de nouvelles perspectives. Ce sentiment du pissenlit, c'est celui de la mauvaise herbe, celle qu'on arrache, qu'on jette alors qu'elle garde au fond d'elle-même de nombreuses vertus qui apparaissent lorsqu'on lui offre de l’attention.

Au fond du terrier, 2021
Au fond du terrier, 2021
Bois, résine polyuréthane, tige métallique, tissu, peinture acrylique, aimants
67,5 x 40 x 25 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021005

Au fond du terrier s'inscrit dans une série de maquettes composées de matériaux hétéroclites faisant référence à des lieux réels ou fictifs qui traversent l'imaginaire et les souvenirs de Maxime Verdier. L'oeuvre fait référence au conte de Lewis Caroll, Alice aux pays des merveilles et au terrier qu'Alice emprunte pour entrer dans un monde où les règles qui régissent l'espace sont bouleversées. Mais le terrier n'est autre que l'ancien atelier de l'artiste incarnant pour lui le lieu de tous les possibles où le réel se transforme au grès de ses pensées et de ses mains. Reprenant le rideau qui abritait l'atelier voisin et les mesures exactes des murs de la pièce de travail, l'artiste le transforme en un espace mystérieux.

L'océan du possible, 2021
L'océan du possible, 2021
Bois, résine acrylique, résine polyuréthane, métal, chainette, pâte à modeler teintée, peinture acrylique
100 x 40 x 32 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2021004

L'océan du possible s'inscrit dans une série de maquettes composées de matériaux hétéroclites faisant référence à des lieux réels ou fictifs qui traversent l'imaginaire et les souvenirs de Maxime Verdier. L'oeuvre offre une version contemporaine du genre traditionnel de la Marine. Sous la forme d'un cocktail servi dans une noix de coco, l'artiste fait s'entrechoquer formes et matières pour inventer un espace de liberté où règnent le jeu et les rêves.

La fête est finie, 2020
La fête est finie, 2020
Bois, résine polyuréthane, plexiglas, LED, tubes plastiques, métal, brumisateur, peinture acrylique, fil électrique, miroir
55,5 x 72,5 x 36 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020003

La fête est finie s'inscrit dans une série de maquettes composées de matériaux hétéroclites faisant référence à des lieux réels ou fictifs qui traversent l'imaginaire et les souvenirs de Maxime Verdier. Ici se mêlent plusieurs éléments issus d'architectures inspirées du quotidien de l'artiste : le béton d'un préau de lycée, le carrelage des piscines publics, le banc d'une salle d'attente d'un secrétariat, les couleurs maussades d'une salle des fêtes. Dos au ciel, un fantôme, peut-être celui de l'artiste, peuple ce non-lieu, soucieux de devoir choisir une voie à suivre à la sortie de l'adolescence.

Incipit, 2020
Incipit, 2020
Bois, résine polyuréthane, résine acrylique, verre, peinture acrylique
102,7 x 41,5 x 28,5 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020002

Incipit s'inscrit dans une série de maquettes composées de matériaux hétéroclites faisant référence à des lieux réels ou fictifs qui traversent l'imaginaire et les souvenirs de Maxime Verdier. L'oeuvre évoque les premiers mots d'un livre qui introduisent les perspectives d'un récit plus grand. L'artiste plonge les spectateurs dans ses souvenirs d'enfance à l'école : le couloir au crépi beige qui menait à la salle de classe et où les manteaux s'entreposaient, l'imposante porte et la gigantesque fenêtre impossible à ouvrir. C'est à cette époque que Maxime Verdier peuple son imaginaire d'histoires, de rêves et de créatures qu'il traduit aujourd'hui dans son travail plastique.

Hadal, 2020
Hadal, 2020
Crayons de couleur sur papier
14,5 x 18 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020011

Dans Hadal, Maxime Verdier livre une version détournée du nu traditionnel de l'art classique. La peau du personnage étendu sur le lit n'est autre que la mer dont les vagues se mêlent aux plis des draps. Le titre de l'oeuvre désigne les fonds océaniques les plus profonds où règnent une obscurité totale et une pression écrasante. C'est un corps évanoui et transporté dans un autre lieu, prêt à plonger dans les abysses de lui-même comme pour voyager au-delà de la trappe qui ouvre l'exposition.

Le refuge, 2020
Le refuge, 2020
Crayons de couleur sur papier
18 x 14,5 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020007

Le refuge est la reproduction de la photographie d'un lampadaire situé devant la maison dans laquelle Maxime Verdier a grandi. Dans la nuit noire et sur une route de campagne déserte, la lumière flamboyante apparait comme un phare rassurant et chaleureux. Le dessin est aussi le souvenir d'un endroit où l'artiste aimait venir réfléchir, allongé dans l'herbe grasse qui se déploie au pied du lampadaire.

Paradisier, 2020
Paradisier, 2020
Crayons de couleur sur papier
14,5 x 18 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020008

Paradisier est une allégorie de la tête comme un nid sur lequel un oeuf se tient prêt à éclore avant de s'envoler vers l'étendue du ciel. Le titre fait référence aux oiseaux asiatiques connus pour leur plumage fabuleux et leur inventivité lors des parades de séduction. L'artiste assimile l'oeuf posé sur son crâne à une idée plastique qui germerait et se déploierait sur différents supports et à travers diverses techniques de création.

Le silence des ados, 2020
Le silence des ados, 2020
Crayons de couleur sur papier
14,5 x 18 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020009

Le silence des ados fait référence avec humour au thriller de Thomas Harris, Le silence des agneaux, et à l'affiche de son adaptation cinématographique qui a rendu célèbre l'espèce du papillon sphynx tête de mort. Dans ce dessin, Maxime Verdier évoque le rapport des adolescents à l'univers des adultes et questionne le poids des règles et des obligations. En remplaçant les ailes du papillon par un geste de rébellion à l'ordre établi, l'artiste exprime la puissance de l'art pour remettre en place ou au contraire troubler une vision univoque du monde.

Cosmic Dancer, 2020
Cosmic Dancer, 2020
Crayons de couleur sur papier
18 x 14,5 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020010

Cosmic Dancer représente un personnage perché sur des échasses qui lui servent de longues vues pour explorer la stratosphère. Le titre de l'oeuvre est inspiré de la plus célèbre chanson du groupe de rock T.REX qui a marqué l'adolescence de l'artiste et qu'il s'approprie dans son oeuvre. Maxime Verdier se présente comme un explorateur parcourant des espaces irréels. Son travail plastique lui permet d'étendre sa vision, de se projeter au-delà des limites.

Les Garçons de l'aurore, 2020
Les Garçons de l'aurore, 2020
Bois, résine polyuréthane, métal, crayons de couleur, peinture acrylique
55 x 100,2 x 32,5 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020004

Les Garçons de l’aurore s’inscrit dans une série de maquettes composées de matériaux hétéroclites faisant référence à des lieux réels ou fictifs qui traversent l’imaginaire et les souvenirs de Maxime Verdier. Dans cette sculpture, l’artiste rend hommage aux balades nocturnes entre amis aux quatre coins de sa Normandie natale : ses villages, ses chemins et ses champs. L’artiste poursuit également sa recherche sur la lumière, celle de l’aurore ici, où s’entremêlent les vapeurs de la nuit et la lueur d’un jour nouveau dans une certaine nostalgie.

La lueur de l'air, 2020
La lueur de l'air, 2020
Bois, résine acrylique, résine polyuréthane, métal, tissu, LED, peinture acrylique
146,5 x 40 x 34,5 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2020001

La lueur de l’air s’inscrit dans une série de maquettes composées de matériaux hétéroclites qui font référence à des lieux réels ou fictifs qui traversent l’imaginaire et les souvenirs de Maxime Verdier.  L’artiste s’inspire ici d’une trappe située dans la cave de la maison dans laquelle il a grandi. Il imagine qu’il la déverrouille pour donner aux spectateurs l’accès aux entrailles de cette maison et de sa vie où se mêlent fiction et réalité, rêves et cauchemars. Le titre fait référence à la lumière du ciel nocturne, propagée par l’atmosphère de la Terre et qui empêche la nuit d’être entièrement noire, illustrant la manière dont l’artiste travaille et voit le monde, à la recherche d’apparitions et de formes cachées dans les recoins de ses souvenirs.

Le plaisir coupable, 2019
Le plaisir coupable, 2019
Acrylique sur bois
18 x 14 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019013
L'eau dans mon vin, 2019
L'eau dans mon vin, 2019
Acrylique sur bois
18 x 14 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019012
Les éclats diurnes, 2019
Les éclats diurnes, 2019
Crayons de couleur sur papier
40 x 30 cm
Titré, daté et signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019002

Oeuvre intime et auto-référencée, Les éclats diurnes représente un dos constellé de taches de rousseur. Par l'utilisation de la couleur doré dans leur représentation, l'artiste fait de cette particularité un motif de sublimation du corps et non plus de stigmatisation, tout en lui insufflant une dimension surnaturelle.

Sous le vernis, 2019
Sous le vernis, 2019
Crayons de couleur sur papier
32 x 25 cm
Titré, daté et signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019003

Sous le vernis ravive une vision propre à l'enfance de l'artiste à la campagne: le petit garçon imaginait derrière les phénomènes acoustiques typiques des maisons anciennes une présence cachée. L'oeuvre joue ainsi sur la mince frontière entre l'imaginaire et le réel, l'inexistant et le non visible, ainsi qu'entre l'inquiétant et le fascinant.

La conquête des peines, 2019
La conquête des peines, 2019
Crayons de couleur sur papier
40 x 30 cm
Titré, daté et signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019004

La conquête des peines est une réflexion personnelle sur l'échec et la souffrance. Les épreuves, loin de susciter l'effondrement, deviennent ici la source d'un jardin luxuriant, comme une manière de figurer un épanouissement puisé dans le labeur et le dépassement de soi.

L'homme-silex, 2019
L'homme-silex, 2019
Crayons de couleur sur papier
32 x 25 cm
Titré, daté et signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019005
La couronne, 2019
La couronne, 2019
Crayons de couleur sur papier
32 x 25 cm
Titré, daté et signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019006
La prière du soir, 2019
La prière du soir, 2019
Crayons de couleur sur papier
40 x 30 cm
Titré, daté et signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019007
Portrait de mon père, 2019
Portrait de mon père, 2019
Acrylique sur bois
18 x 14 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019014
Le cours des choses, 2019
Le cours des choses, 2019
Acrylique sur bois
18 x 14cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019008
Dans la peau, 2019
Dans la peau, 2019
Acrylique sur bois
18 x 14cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019009
La cadence des chimères, 2019
La cadence des chimères, 2019
crayons de couleur sur papier
32 x 25 cm
Titré, daté et signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019001

Référence à l’adolescence tout comme aux jeux d’enfants, La cadence des chimères figure un personnage en mouvement, sur les jambes duquel deux escargots à la taille démesurée viennent s’enrouler. À la manière d’une allégorie de la pensée, ils ralentissent la cadence de la marche, faisant de celle-ci le lieu d’égarements et d’errances aussi bien physiques que psychiques.

Humeur parisienne, 2019
Humeur parisienne, 2019
Acrylique sur bois
18 x 14 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019010
La frontière, 2019
La frontière, 2019
Acrylique sur bois
18 x 14 cm
Signé au dos
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. MV2019011

Maxime Verdier est né à Dieppe en 1991. Il vit et travaille à Paris.
Après l’obtention de son diplôme à L'École Supérieure d'Art et Design Le Havre-Rouen, il intègre les Beaux-Arts de Paris dont il est diplômé en 2017 avec les félicitations du jury. Remarqué lors de la 64ème édition du Salon de Montrouge, Maxime Verdier a participé à de nombreuses expositions collectives en France. En 2021, il est résident au Drawing Lab à Paris.

Son œuvre est l’incarnation en sculptures et en dessins d’un panel de souvenirs, d’émotions, d’évènements tout aussi marquants qu’anecdotiques. De ces combinaisons de références et de significations résultent des chimères, aussi bien féeriques qu’inquiétantes, exhumant des récits intimes en rendant visible l’invisible.
Par la juxtaposition et la confrontation du réel et de l’onirisme, du vécu et du fantasmagorique, ou encore du rêve et du cauchemar, son œuvre convoque des univers multiples et s’accompagne dès lors d’une certaine étrangeté. 


Télécharger le dossier de presse de Maxime Verdier (pdf)

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