Eva Nielsen
aquarelle, encre, acrylique, impression sur papier
58 x 41 cm
Dans la lignée de son travail sur la recherche d'horizon et de pénétration du paysage, Eva Nielsen a produit la série Aklat spécialement pour l'exposition en explorant un geste nouveau qui compose toute la singularité de ces œuvres.
Cette série tire son nom d'un dialecte philippin, et signifie « feuillets réunis ensemble ». En assemblant différentes strates d'impression et de dessin (à l'encre, acrylique et aquarelle) l'artiste renverse ainsi le geste traditionnel et crée un trompe l'œil qui s'interpose entre l'image et le spectateur. Ce dispositif vient heurter l'apparence du pinceau, de telle sorte que les techniques se confondent et s'inversent dans la perception du regardeur entre ce qui relève de l'impression ou du travail manuel de l'artiste. Ce jeu conceptuel d'agencement de puzzle de strates retranscrit notamment les enjeux historiques et politiques liés à l'architecture des habitations périurbaines représentés sur l'image. Mais au-delà, le procédé artistique se métaphorise avec son sujet pour souligner la poésie triviale de notre environnement.
Exposition:
- On n'y voit rien, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2020
Aquarelle, encre, acrylique, impression sur papier
58 x 41 cm
Dans la lignée de son travail sur la recherche d'horizon et de pénétration du paysage, Eva Nielsen a produit la série Aklat spécialement pour l'exposition en explorant un geste nouveau qui compose toute la singularité de ces oeuvres.
Cette série tire son nom d'un dialecte philippin, et signifie « feuillets réunis ensemble ». En assemblant différentes strates d'impression et de dessin (à l'encre, acrylique et aquarelle) l'artiste renverse ainsi le geste traditionnel et crée un trompe l'oeil qui s'interpose entre l'image et le spectateur. Ce dispositif vient heurter l'apparence du pinceau, de telle sorte que les techniques se confondent et s'inversent dans la perception du regardeur entre ce qui relève de l'impression ou du travail manuel de l'artiste. Ce jeu conceptuel d'agencement de puzzle de strates retranscrit notamment les enjeux historiques et politiques liés à l'architecture des habitations périurbaines représentés sur l'image. Mais au-delà, le procédé artistique se métaphorise avec son sujet pour souligner la poésie triviale de notre environnement.
Aquarelle, encre, acrylique, impression sur papier
58 x 41 cm
Dans la lignée de son travail sur la recherche d’horizon et de pénétration du paysage, Eva Nielsen a produit la série Aklat spécialement pour l’exposition en explorant un geste nouveau qui compose toute la singularité de ces œuvres.
Cette série tire son nom d’un dialecte philippin, et signifie « feuillets réunis ensemble ». En assemblant différentes strates d’impression et de dessin (à l’encre, acrylique et aquarelle) l’artiste renverse ainsi le geste traditionnel et crée un trompe l’œil qui s’interpose entre l’image et le spectateur. Ce dispositif vient heurter l’apparence du pinceau, de telle sorte que les techniques se confondent et s’inversent dans la perception du regardeur entre ce qui relève de l’impression ou du travail manuel de l'artiste. Ce jeu conceptuel d’agencement de puzzle de strates retranscrit notamment les enjeux historiques et politiques liés à l’architecture des habitations périurbaines représentés sur l’image. Mais au-delà, le procédé artistique se métaphorise avec son sujet pour souligner la poésie triviale de notre environnement.
Aquarelle, encre, acrylique, impression sur papier
58 x 41 cm
Dans la lignée de son travail sur la recherche d'horizon et de pénétration du paysage, Eva Nielsen a produit la série Aklat spécialement pour l'exposition en explorant un geste nouveau qui compose toute la singularité de ces oeuvres.
Cette série tire son nom d'un dialecte philippin, et signifie « feuillets réunis ensemble ». En assemblant différentes strates d'impression et de dessin (à l'encre, acrylique et aquarelle) l'artiste renverse ainsi le geste traditionnel et crée un trompe l'oeil qui s'interpose entre l'image et le spectateur. Ce dispositif vient heurter l'apparence du pinceau, de telle sorte que les techniques se confondent et s'inversent dans la perception du regardeur entre ce qui relève de l'impression ou du travail manuel de l'artiste. Ce jeu conceptuel d'agencement de puzzle de strates retranscrit notamment les enjeux historiques et politiques liés à l'architecture des habitations périurbaines représentés sur l'image. Mais au-delà, le procédé artistique se métaphorise avec son sujet pour souligner la poésie triviale de notre environnement.