Juliette Minchin
200 x 120 x 65 cm
100 x 100 x 32 cm
Romain Darnaud
51 x 72 x 14 cm
©Romain Darnaud
110 x 120 x 120 cm
Romain Darnaud
544 x 144 x 80 cm
160 x 50 x 100 cm
160 x 50 x 100 cm
143 x 150 x 20 cm
©Romain Darnaud
143 x 150 x 20 cm
©Romain Darnaud
115 x 120 cm
© Romain Darnaud
115 x 120 cm
© Romain Darnaud
70 x 30 cm
©Romain Darnaud
70 x 30 cm
©Romain Darnaud
36 x 20 cm
©Romain Darnaud
36 x 20 cm
©Romain Darnaud
36 x 10 cm
©Romain Darnaud
44 x 37 x 5 cm
16 x 13 x 6 cm
65 x 55 cm
65 x 55 cm
Daté, signé au dos
Collection MAC VAL – Musée d'art contemporain du Val-de-Marne
65 x 55 cm
65 x 55 cm
55 x 65 cm
55 x 65 cm
95 x 80 cm
135 x 41 cm
70 x 36 x 20 cm
70 x 36 x 20 cm
70 x 40 x 15 cm
70 x 40 x 15 cm
70 x 40 x 15 cm
33 x 27,5 cm
33 x 27,5 cm
75 x 25 x 20 cm
35 x 11 x 85 cm
©Nicolas Brasseur
Les laiteuses peaux de porcelaine de la série Relique drapent des structures de laiton, plomb et bois, inspirées par des systèmes d'étayage de bâtiments en cours de restauration aperçus par Juliette Minchin en Sicile. La recherche sur les drapés, sur l'équilibre fragile de leurs plis et de leur tombé, est au coeur du travail de Juliette Minchin. L'artiste utilise habituellement la cire pour réaliser ses drapés translucides, ici, elle a cherché à obtenir des effets similaires en travaillant la porcelaine.
20 x 20 cm
30 x 20 cm
70,5 x 39 x 14 cm
30 x 30 x 18 cm
©Nicolas Brasseur
Inspirées de lampes funéraires aperçues par l'artiste au Musée archéologique de Syracuse en Sicile, les lampes à huile anthropomorphes de la série Lucerna sont émaillées au raku, technique d'émaillage traditionnelle japonaise. A la cuisson, la pièce subit plusieurs chocs thermiques et chimiques, des craquelures et oxydations métalliques aléatoires apparaissent alors à la surface de la céramique.
45 x 34 x 23 cm
©Nicolas Brasseur
Inspirées de lampes funéraires aperçues par l'artiste au Musée archéologique de Syracuse en Sicile, les lampes à huile anthropomorphes de la série Lucerna sont émaillées au raku, technique d'émaillage traditionnelle japonaise. A la cuisson, la pièce subit plusieurs chocs thermiques et chimiques, des craquelures et oxydations métalliques aléatoires apparaissent alors à la surface.
20 x 20 x 45 cm
©Nicolas Brasseur
Inspirées de lampes funéraires aperçues par l'artiste au Musée archéologique de Syracuse en Sicile, les lampes à huile anthropomorphes de la série Lucerna sont émaillées au raku, technique d'émaillage traditionnelle japonaise. A la cuisson, la pièce subit plusieurs chocs thermiques et chimiques, des craquelures et oxydations métalliques aléatoires apparaissent alors à la surface.
29 x 35 x 25 cm
©Nicolas Brasseur
Inspirées de lampes funéraires aperçues par l'artiste au Musée archéologique de Syracuse en Sicile, les lampes à huile anthropomorphes de la série Lucerna sont émaillées au raku, technique d'émaillage traditionnelle japonaise. A la cuisson, la pièce subit plusieurs chocs thermiques et chimiques, des craquelures et oxydations métalliques aléatoires apparaissent alors à la surface.
35 x 45 x 24 cm
©Nicolas Brasseur
Inspirées de lampes funéraires aperçues par l'artiste au Musée archéologique de Syracuse en Sicile, les lampes à huile anthropomorphes de la série Lucerna sont émaillées au raku, technique d'émaillage traditionnelle japonaise. A la cuisson, la pièce subit plusieurs chocs thermiques et chimiques, des craquelures et oxydations métalliques aléatoires apparaissent alors à la surface.
22 x 25 x 50 cm
©Nicolas Brasseur
Inspirées de lampes funéraires aperçues par l'artiste au Musée archéologique de Syracuse en Sicile, les lampes à huile anthropomorphes de la série Lucerna sont émaillées au raku, technique d'émaillage traditionnelle japonaise. A la cuisson, la pièce subit plusieurs chocs thermiques et chimiques, des craquelures et oxydations métalliques aléatoires apparaissent alors à la surface.
326 x 125 cm
Signé et daté au dos
©Romain Darnaud
326 x 125 cm
Signé et daté au dos
326 x 125 cm
Signé et daté au dos
©Romain Darnaud
200 x 100 x 5 cm
©Romain Darnaud
200 x 100 x 5 cm
©Romain Darnaud
200 x 100 x 5 cm
©Romain Darnaud
320 x 280 x 80 cm
142 x 356 x 356 cm
© Wilfrid Gremillet
Juliette Minchin enveloppe partiellement la monumentale structure suspendue de sa Coupole de grands lambeaux de cire déposés alors qu'ils sont encore chauds et malléables. La structure métallique donne le mouvement et la volumétrie aux drapés de cire, comme une ossature qui soutient la peau. L'artiste manipule ainsi les modèles architecturaux comme elle rassemble les rites qui l'inspirent.
30 x 6 cm
30 x 6 cm
30 x 6 cm
30 x 6 cm chaque
Certaines œuvres de Juliette Minchin intègrent un processus cyclique de recréation permanente, ainsi la cire qui façonne ses différentes œuvres est recyclée et retourne dans les casseroles pour être refondue et réactivée. A chaque fin de fonte, la cire se fige et cristallise le dépôt de poussières et de résidus. Le refroidissement rétracte la matière, donnant lieu à des motifs aléatoires.
Pour créer les Fractales, ces fonds sont démoulés et rétroéclairés. La lumière irradie à travers le cylindre de cire révélant ainsi une image faite de poussière et de cire. Entre micro-organismes, vues du ciel et images du soleil, les échelles s’imbriquent.
100 x 50 x 160 cm
©Nicolas Brasseur
Collection MAC VAL – Musée d'art contemporain du Val-de-Marne
177 x 70 x 240 cm
©Romain Darnaud
Arcade apparaît comme une architecture sacrée, un sanctuaire imaginaire. Elle emprunte son imaginaire à l'architecture des mausolées, monuments commémoratifs dans différentes cultures. En référence aux bandelettes de laine qui protégeaient l'Omphalos dans l'Antiquité grecque, Juliette Minchin enveloppe partiellement la structure de grands lambeaux de cire déposés alors qu'ils sont encore chauds et malléables. La cire prend ici la forme d'un vêtement architectural. La structure métallique donne le mouvement et la volumétrie aux drapés de cire, comme une ossature qui soutient la peau. La "peau" reprend alors le sens de sa définition dans l'architecture où elle désigne la surface nue du bâti, la façade. L'artiste manipule ainsi les modèles architecturaux comme elle rassemble les rites qui l'inspirent.
100 x 200 x 230 cm
© ABAD
Solstice se présente comme un monolithe de cire et d'acier qui se consume tout au long de l'exposition à la manière d'un cierge monumental et jusqu'au complet dévoilement de sa structure en fer sous-jacente. L'œuvre reprend le motif des pierres gravées du Gavrinis en Bretagne, un des plus grands tumulus mégalithiques construit il y a près de 6000 ans. Le site est reconnu pour ses ornementations gravées dont le sens nous échappe encore aujourd'hui. Sur cet autel brûlant, des perles en céramique tombent aléatoirement sur le socle, offrant un spectacle sonore permanent et faisant écho aux perles calcaires retrouvées dans les sépultures et parures du Néolithique. L'intégralité de la cire sera ensuite récupérée, refondue et réactivée lors de la prochaine exposition.
225 x 250 x 250 cm
Incrustées de cent trente mèches, allumées et éteintes chaque jour, les quatre faces latérales de l'installation fondent tout au long de l'exposition à la manière d'un cierge monumental, jusqu'à la consumation de la matière première et au complet dévoilement d'une structure en fer sous-jacente, à motif géométrique. Entre le monument commémoratif, le sanctuaire magique et le temple religieux, l'œuvre apparaît comme une architecture sacrée, figurant la fragilité de la vie terrestre et l'inéluctabilité de la mort. Une fois que la cire est consumée, elle est entièrement récupérée pour être refondue et remoulée afin d'être activée : l'œuvre renaît d'elle-même.
46 x 32 x 27 cm
©Bonjour Garçon
Peau de terre fait partie d'une série de faïences qui s'inspire de la symbolique du pot en Inde. Matrices à la teinte diaprée, elles pourraient rendre hommage aux ancêtres. Les plis et sillons des membranes d'argile évoquent un changement d'état. Comme la mue rosée d'un organisme animal, ces peaux contiennent le souvenir d'une forme passée dont l'aspect évoque des êtres au stade embryonnaire. Les orifices nous invitent à deviner l'intérieur du corps, le contenant de la structure. En Inde, dans un rite de fertilité nommé "La danse des pots", le pot représente la femme et le monde aquatique. Chez les Sora, le pot d'argile devient "pot-esprit": pour rendre hommage aux divinités, il est constamment rechargé en liquide et nourriture, et ainsi habité le temps du rituel.
56 x 43 x 35 cm
©Bonjour Garçon
Peau de terre fait partie d'une série de faïences qui s'inspire de la symbolique du pot en Inde. Matrices à la teinte diaprée, les "peaux" de terre de Juliette Minchin pourraient rendre hommage aux ancêtres. Les plis et sillons des membranes d'argile qui s'affaissent évoquent un changement d'état. Comme la mue rosée d'un organisme animal, ces peaux laiteuses contiennent le souvenir d'une forme passée dont l'aspect évoque des êtres au stade embryonnaire. Les orifices nous invitent à deviner l'intérieur du corps, le contenant de la structure. En Inde, dans un rite de fertilité nommé "La danse des pots", le pot représente la femme et le monde aquatique. Chez les Sora, le pot d'argile devient "pot-esprit": pour rendre hommage aux divinités, il est constamment rechargé en liquide et nourriture, et ainsi habité le temps du rituel.
35 x 44 x 24 cm
© Nicolas Brasseur
Peau de terre fait partie d'une série de faïences qui s'inspire de la symbolique du pot en Inde. Matrices à la teinte diaprée, elles pourraient rendre hommage aux ancêtres. Les plis et sillons des membranes d'argile évoquent un changement d'état. Comme la mue rosée d'un organisme animal, ces peaux contiennent le souvenir d'une forme passée dont l'aspect évoque des êtres au stade embryonnaire. Les orifices nous invitent à deviner l'intérieur du corps, le contenant de la structure. En Inde, dans un rite de fertilité nommé "La danse des pots", le pot représente la femme et le monde aquatique. Chez les Sora, le pot d'argile devient "pot-esprit": pour rendre hommage aux divinités, il est constamment rechargé en liquide et nourriture, et ainsi habité le temps du rituel.
33 x 41 cm
38 x 28 cm
38 x 28 cm
38 x 28 cm
65 x 55 cm
70 x 39 x 15 cm
Juliette Minchin est née en 1992, elle vit et travaille à Paris.
Diplômée de l'Ecole nationale Supérieure des Arts Décoratifs en scénographie et des Beaux-Arts de Paris, Juliette Minchin pratique la sculpture, l'installation, la vidéo et le dessin. Elle met en scène ses œuvres en travaillant la matière, la lumière, la dimension olfactive et le son. Dans son travail, elle explore les concepts liés au temps cyclique et à la transformation, l'emploi de matériaux naturels (plâtre, terre, cire ou liquide) confère à ses sculptures une dimension organique dont la surface est proche dans son aspect de la peau.