Place aux femmes !
Exposition virtuelle
10 - 17 Avril 2021
Image : 110 x 160 cm
Figure pentagonale est le titre d'un ensemble de six photographies, en apparence similaires, mais qui présentent chacune de subtiles différences. Chaque image met en scène la même femme dans deux positions différentes, juxtaposant ainsi deux temporalités: l'une dessine un pentacle au sol à l'aide d'une craie, alors que l'autre manipule le tapis qui recouvre la scène d'un théâtre. Appelant au registre de la magie, le livre situé sur la photo suppose pouvoir influer sur le cours du temps en modifiant la fortune par le hasard, et notamment la probabilité de gagner aux jeux.
Cette série propose une réflexion sur la causalité, et notamment sur l'existence du hasard et de la fortune. Chaque petite particularité propre à chaque photographie reflète des causalités différentes, qui laisse entendre dans une conception pascalienne que le hasard n'existerait pas. Seule la causalité qui puise sa source dans le futur - la fortune - est une clé pour expliquer l'événement présent.
Photographie couleur
Image : 80 x 63 cm
Encadrement : 83,5 x 66,5 cm
L'homme perçoit le relief et se repère dans l'espace grâce à la coordination de ses deux yeux. Cette assertion simple est en jeu dans la série Télé-vision, pensée comme une représentation du voir sous la forme d'un portrait photographique. À la manière d'une vision stéréoscopique dans laquelle la combinaison de deux images est essentielle à l'appréhension de l'espace et du volume. Chaque photographie incarne le point de vue d'un oeil unique, à la fois pour le regardeur et le modèle. La série propose ainsi quatre portraits semblables mais uniques, présentés par paires, à l'image du regard qui se porte sur eux. En plaçant le spectateur face à la décomposition du regard, la série souligne la manière dont l'omniprésence des images modifie notre rapport au monde. A la transmission de l'expérience sensible par la parole se substitue lentement un monde tronqué en deux dimensions construit par les images.
Photographie couleur
Image : 80 x 63 cm
Encadrement : 83,5 x 66,5 cm
L'homme perçoit le relief et se repère dans l'espace grâce à la coordination de ses deux yeux. Cette assertion simple est en jeu dans la série Télé-vision, pensée comme une représentation du voir sous la forme d'un portrait photographique. À la manière d'une vision stéréoscopique dans laquelle la combinaison de deux images est essentielle à l'appréhension de l'espace et du volume. Chaque photographie incarne le point de vue d'un oeil unique, à la fois pour le regardeur et le modèle. La série propose ainsi quatre portraits semblables mais uniques, présentés par paires, à l'image du regard qui se porte sur eux. En plaçant le spectateur face à la décomposition du regard, la série souligne la manière dont l'omniprésence des images modifie notre rapport au monde. A la transmission de l'expérience sensible par la parole se substitue lentement un monde tronqué en deux dimensions construit par les images.
30 x 35,5 cm
Les œuvres de Massinissa Selmani trouvent leur origine dans les actualités politiques et sociales, issues de coupures de presse qu'il collectionne depuis de nombreuses années. En confrontant et juxtaposant sans cohérence logique ces éléments, l'artiste crée des scènes énigmatiques et ambiguës, soulignant le caractère ironique, voire tragique des situations absurdes et étranges représentées dans ses dessins.
57 x 77 cm
Signé et daté en bas à droite
Les œuvres de Massinissa Selmani trouvent leur origine dans les actualités politiques et sociales, issues de coupures de presse qu’il collectionne depuis de nombreuses années. En confrontant et juxtaposant sans cohérence logique ces éléments, l’artiste crée des scènes énigmatiques et ambiguës, soulignant le caractère ironique, voire tragique des situations absurdes et étranges représentées dans ses dessins.
42 x 59,4 cm
signé au dos sur le carton en bas à droite
Dans cette série, Valérie Mréjen a agrandi des détails de cartes postales issues des Archives de la ville de Vienne. À partir de ces vues avec un ou plusieurs personnages, elle propose de courts récits de fiction qui s'inspirent des images en repensant leurs contextes, tantôt amusants, sensibles ou désenchantés. Créant un lien entre image et récit, elle redonne vie à ces cartes postales, rappelant leur fonction première, celle de support d'échanges épistolaires.
42 x 59,4 cm
Dans cette série, Valérie Mréjen a agrandi des détails de cartes postales issues des Archives de la ville de Vienne. À partir de ces vues avec un ou plusieurs personnages, elle propose de courts récits de fiction qui s'inspirent des images en repensant leurs contextes, tantôt amusants, sensibles ou désenchantés. Créant un lien entre image et récit, elle redonne vie à ces cartes postales, rappelant leur fonction première, celle de support d'échanges épistolaires.
42 x 59,4 cm
signé au dos en bas à droite
Dans cette série, Valérie Mréjen a agrandi des détails de cartes postales issues des Archives de la ville de Vienne. À partir de ces vues avec un ou plusieurs personnages, elle propose de courts récits de fiction qui s'inspirent des images en repensant leurs contextes, tantôt amusants, sensibles ou désenchantés. Créant un lien entre image et récit, Valérie Mréjen redonne vie à ces cartes postales, rappelant leur fonction première, celle de support d'échanges épistolaires.
42 x 59,4 cm
signé au dos en bas à droite
Dans cette série, Valérie Mréjen a agrandi des détails de cartes postales issues des Archives de la ville de Vienne. À partir de ces vues avec un ou plusieurs personnages, elle propose de courts récits de fiction qui s'inspirent des images en repensant leurs contextes, tantôt amusants, sensibles ou désenchantés. Créant un lien entre image et récit, Valérie Mréjen redonne vie à ces cartes postales, rappelant leur fonction première, celle de support d'échanges épistolaires.
110 x 160 cm
Morpheus's bed représente une femme nue couchée sur son lit dans la pénombre. La pièce, de même que son corps sont à peine distinguables, se fondant successivement dans les motifs des draps de couleurs. Ainsi, Florin Stefan dépeint l'intimité du sommeil de cette femme. Et c'est la peinture qui devient importante : les couleurs chaudes attirent l'œil et emportent le regardeur dans le calme de cette chambre silencieuse.
110 x 140 cm
Dans Russian Geisha, Florin Stefan reprend des thématiques qui lui sont chères : le nu féminin et la réinterprétation de scènes picturales classiques. Ici, on reconnaît une revisite du Déjeuner sur l'herbe mais avec une touche et une mise en scène résolument modernes. Et comme souvent chez Florin Stefan, le sujet passe finalement au second plan. L'oeil est alors attiré par la peinture elle-même, ici la nature morte à la bouteille en plastique au premier plan ou encore cette grande tapisserie kitsch et florale qui sert de toile de fond.
140 x 100 cm
Dans Camera Obscura, Florin Stefan instaure un jeu de perspective à travers les formes architecturales dans un mouvement d'enfilade comme une mise en abîme de l'idée du cadre. Le nu féminin, thème cher à l'artiste, s'exprime dans un jeu sur la lumière renforcé par le titre qui rappelle l'importance du cadrage cinématographique dans la peinture de l'artiste roumain.
En attendant la réouverture des galeries et le plaisir de venir découvrir l'exposition personnelle de Massinissa Selmani, nous avons décidé de vous proposer régulièrement des expositions thématiques virtuelles.
Pour cette seconde exposition, Place aux femmes ! et aux représentations féminines dans les ?uvres de nos artistes, qu?elles soient observatrices, pensives, sensuelles, actives ou révoltées.
Avec des ?uvres de Laurent Montaron, Valérie Mréjen, Massinissa Selmani et Florin Stefan.