Cyrielle Gulacsy
80 x 60 cm
40 x 30 cm
140 x 107 cm
140 x 107 cm
156 x 118 cm
156 x 117 cm
180 x 150 cm
Signé, titré et daté au dos
180 x 150 cm
Signé, titré et daté au dos
180 x 150 cm
Signé, titré et daté au dos
180 x 150 cm
Signé, titré et daté au dos
180 x 150 cm
Signé, titré et daté au dos
40 x 60 cm
Signé, titré et daté au dos
Image : 39 x 53 cm chaque
Encadrement : 40 x 54 cm chaque
Depuis l'origine de l'univers la matière s'assemble grâce à la lumière, formant ainsi des objets de plus en plus complexes, des étoiles, des galaxies, engendrant ainsi toujours plus de lumière. La lumière est ce qui nous lie au cosmos, depuis l'origine de l'univers jusqu'à l'apparition de la vie. Il se trouve que la vie elle-même compte parmi les formes complexes les plus lumineuses que l'univers ait engendré. Cette idée, développée et calculée par l'astrophysicien David Elbaz dans son livre ”la plus belle ruse de la lumière” est à l'origine la série “lumière terrestre”. Dans cette série de photos, on peut distinguer une multitude de points lumineux répartis dans l'espace comme les constellations d'un ciel étoilé. Ces sources de lumière sont pourtant bien plus proches de nous, sur terre. Il s'agit de la signature thermique des abeilles. La chaleur qu'elles émettent rayonne en lumière infrarouge et est ensuite capturée par une caméra thermique. En utilisant la technique du cyanotype mise au point par l'astronome William Herschel en 1842 pour imprimer ces photos, la lumière invisible de la chaleur des abeilles est rendue visible par la lumière du jour, nécessaire au cyanotype pour se révéler.
Le génie humain envoie dans l'espace des télescopes de plus en plus perfectionnés dotés de caméras infrarouge pour observer dans l'infiniment lointain des objets célestes, souvent invisibles, qui s'éloignent de nous du fait de l'expansion de l'univers. Dans cette série, l'artiste utilise les mêmes caméras infrarouge pour regarder cette fois dans notre environnement proche des objets qui pourtant loin d'être invisible, disparaissent peu à peu du champ de notre attention collective. Cette série marque un tournant dans la recherche de l'artiste qui introduit pour la première fois le vivant dans son travail, tout en poursuivant son exploration de la lumière, mais cette fois, de la lumière terrestre.
Image : 39 x 53 cm
Encadrement : 40 x 54 cm
Signé, titré, daté au dos
Depuis l'origine de l'univers la matière s'assemble grâce à la lumière, formant ainsi des objets de plus en plus complexes, des étoiles, des galaxies, engendrant ainsi toujours plus de lumière. La lumière est ce qui nous lie au cosmos, depuis l'origine de l'univers jusqu'à l'apparition de la vie. Il se trouve que la vie elle-même compte parmi les formes complexes les plus lumineuses que l'univers ait engendré. Cette idée, développée et calculée par l'astrophysicien David Elbaz dans son livre ”la plus belle ruse de la lumière” est à l'origine la série “lumière terrestre”. Dans cette série de photos, on peut distinguer une multitude de points lumineux répartis dans l'espace comme les constellations d'un ciel étoilé. Ces sources de lumière sont pourtant bien plus proches de nous, sur terre. Il s'agit de la signature thermique des abeilles. La chaleur qu'elles émettent rayonne en lumière infrarouge et est ensuite capturée par une caméra thermique. En utilisant la technique du cyanotype mise au point par l'astronome William Herschel en 1842 pour imprimer ces photos, la lumière invisible de la chaleur des abeilles est rendue visible par la lumière du jour, nécessaire au cyanotype pour se révéler.
Le génie humain envoie dans l'espace des télescopes de plus en plus perfectionnés dotés de caméras infrarouge pour observer dans l'infiniment lointain des objets célestes, souvent invisibles, qui s'éloignent de nous du fait de l'expansion de l'univers. Dans cette série, l'artiste utilise les mêmes caméras infrarouge pour regarder cette fois dans notre environnement proche des objets qui pourtant loin d'être invisible, disparaissent peu à peu du champ de notre attention collective. Cette série marque un tournant dans la recherche de l'artiste qui introduit pour la première fois le vivant dans son travail, tout en poursuivant son exploration de la lumière, mais cette fois, de la lumière terrestre.
Image : 39 x 53 cm
Encadrement : 40 x 54 cm
Signé, titré, daté au dos
Depuis l'origine de l'univers la matière s'assemble grâce à la lumière, formant ainsi des objets de plus en plus complexes, des étoiles, des galaxies, engendrant ainsi toujours plus de lumière. La lumière est ce qui nous lie au cosmos, depuis l'origine de l'univers jusqu'à l'apparition de la vie. Il se trouve que la vie elle-même compte parmi les formes complexes les plus lumineuses que l'univers ait engendré. Cette idée, développée et calculée par l'astrophysicien David Elbaz dans son livre ”la plus belle ruse de la lumière” est à l'origine la série “lumière terrestre”. Dans cette série de photos, on peut distinguer une multitude de points lumineux répartis dans l'espace comme les constellations d'un ciel étoilé. Ces sources de lumière sont pourtant bien plus proches de nous, sur terre. Il s'agit de la signature thermique des abeilles. La chaleur qu'elles émettent rayonne en lumière infrarouge et est ensuite capturée par une caméra thermique. En utilisant la technique du cyanotype mise au point par l'astronome William Herschel en 1842 pour imprimer ces photos, la lumière invisible de la chaleur des abeilles est rendue visible par la lumière du jour, nécessaire au cyanotype pour se révéler.
Le génie humain envoie dans l'espace des télescopes de plus en plus perfectionnés dotés de caméras infrarouge pour observer dans l'infiniment lointain des objets célestes, souvent invisibles, qui s'éloignent de nous du fait de l'expansion de l'univers. Dans cette série, l'artiste utilise les mêmes caméras infrarouge pour regarder cette fois dans notre environnement proche des objets qui pourtant loin d'être invisible, disparaissent peu à peu du champ de notre attention collective. Cette série marque un tournant dans la recherche de l'artiste qui introduit pour la première fois le vivant dans son travail, tout en poursuivant son exploration de la lumière, mais cette fois, de la lumière terrestre.
Image : 39 x 53 cm
Encadrement : 40 x 54 cm
Signé, titré, daté au dos
Dans cette série, on distingue une multitude de points lumineux répartis dans l'espace comme les constellations d'un ciel étoilé. Ces sources de lumière sont pourtant bien plus proches de nous, sur terre. Il s'agit de la signature thermique des abeilles. La chaleur qu'elles émettent rayonne en lumière infrarouge et est ensuite capturée par une caméra thermique. En utilisant la technique du cyanotype mise au point par l'astronome William Herschel en 1842 pour imprimer ces photos, la lumière invisible de la chaleur des abeilles est rendue visible par la lumière du jour, nécessaire au cyanotype pour se révéler.
60 x 42,5 cm
Signé, titré, daté au dos
24,5 x 27 cm
Bois de chêne, socle en métal
141 x 45 cm
Signée et datée
Spacetime Warp est un ensemble de sculptures en bois qui présente une métaphore de la relativité générale. Les arbres contiennent en eux un témoignage du passage du temps. La distance qui se forme entre chaque anneau du bois au cours d'un laps de temps spécifique matérialise une forme d'espace-temps. Ici, chaque morceau de bois est sculpté selon la manière dont les étoiles courbent l'espace-temps par leur masse. Spacetime Warp opère ainsi une inversion symbolique entre le visible et l'invisible. L'acte de sculpter fait disparaître la matière et donne forme au vide : l'espace-temps devient alors palpable et visible à travers les motifs laissés par les anneaux, comme l'étoile se devine grâce à la lumière que l'on aperçoit au fond de la cavité sculptée.
Bois de chêne, socle en métal
124 x 43 cm
Signée et datée
Spacetime Warp est un ensemble de sculptures en bois qui présente une métaphore de la relativité générale. Les arbres contiennent en eux un témoignage du passage du temps. La distance qui se forme entre chaque anneau du bois au cours d'un laps de temps spécifique matérialise une forme d'espace-temps. Ici, chaque morceau de bois est sculpté selon la manière dont les étoiles courbent l'espace-temps par leur masse. Spacetime Warp opère ainsi une inversion symbolique entre le visible et l'invisible. L'acte de sculpter fait disparaître la matière et donne forme au vide : l'espace-temps devient alors palpable et visible à travers les motifs laissés par les anneaux, comme l'étoile se devine grâce à la lumière que l'on aperçoit au fond de la cavité sculptée.
Dimensions variables
Spacetime Warp est un ensemble de sculptures en bois qui présente une métaphore de la relativité générale. Les arbres contiennent en eux un témoignage du passage du temps. La distance qui se forme entre chaque anneau du bois au cours d'un laps de temps spécifique matérialise une forme d'espace-temps. Ici, chaque morceau de bois est sculpté selon la manière dont les étoiles courbent l'espace-temps par leur masse. Spacetime Warp opère ainsi une inversion symbolique entre le visible et l'invisible. L'acte de sculpter fait disparaître la matière et donne forme au vide : l'espace-temps devient alors palpable et visible à travers les motifs laissés par les anneaux, comme l'étoile se devine grâce à la lumière que l'on aperçoit au fond de la cavité sculptée.
Dimensions variables
Spacetime Warp est un ensemble de sculptures en bois qui présente une métaphore de la relativité générale. Les arbres contiennent en eux un témoignage du passage du temps. La distance qui se forme entre chaque anneau du bois au cours d'un laps de temps spécifique matérialise une forme d'espace-temps. Ici, chaque morceau de bois est sculpté selon la manière dont les étoiles courbent l'espace-temps par leur masse. Spacetime Warp opère ainsi une inversion symbolique entre le visible et l'invisible. L'acte de sculpter fait disparaître la matière et donne forme au vide : l'espace-temps devient alors palpable et visible à travers les motifs laissés par les anneaux, comme l'étoile se devine grâce à la lumière que l'on aperçoit au fond de la cavité sculptée.
25 cm de diam.
93 x 121,7 cm
©thomascerato
155 x 155 cm
120 x 100 cm
Signé, titré et daté au dos
50,5 x 36 cm chaque
50,5 x 36 cm
Signé, titré et daté au dos
50,5 x 36 cm
Signé, titré et daté au dos
50,5 x 36 cm
Signé, titré et daté au dos
64 x 92 cm
Titré, signé et daté au dos
45,5 x 35,5 cm
Titré, signé et daté au dos
45,5 x 35,5 cm
Titré, signé et daté au dos
45,5 x 35,5 cm
Titré, signé et daté au dos
16 x 20,5 cm
Signé, titré et daté au dos
La série Solar dynamics s'intéresse à la représentation du soleil à travers un filtre à hydrogène (H alpha) appliqué sur un télescope - ici le Solar Dynamics Observatory - permettant notamment d'observer avec beaucoup de précision les détails de la chromosphère, couche peu dense mais très active de l'atmosphère solaire.
Les 24 dessins composant cette série correspondent à la décomposition du mouvement de rotation du soleil sur 24 heures. Le point devient ici un outil de mise en abîme où le gros cercle blanc du soleil est lui-même une composition d'une infinité de points.
16 x 20,5 cm
Signé, titré et daté au dos
La série Solar dynamics s'intéresse à la représentation du soleil à travers un filtre à hydrogène (H alpha) appliqué sur un télescope - ici le Solar Dynamics Observatory - permettant notamment d'observer avec beaucoup de précision les détails de la chromosphère, couche peu dense mais très active de l'atmosphère solaire.
Les 24 dessins composant cette série correspondent à la décomposition du mouvement de rotation du soleil sur 24 heures. Le point devient ici un outil de mise en abîme où le gros cercle blanc du soleil est lui-même une composition d'une infinité de points.
16 x 20,5 cm
Signé, titré et daté au dos
La série Solar dynamics s'intéresse à la représentation du soleil à travers un filtre à hydrogène (H alpha) appliqué sur un télescope - ici le Solar Dynamics Observatory - permettant notamment d'observer avec beaucoup de précision les détails de la chromosphère, couche peu dense mais très active de l'atmosphère solaire.
Les 24 dessins composant cette série correspondent à la décomposition du mouvement de rotation du soleil sur 24 heures. Le point devient ici un outil de mise en abîme où le gros cercle blanc du soleil est lui-même une composition d'une infinité de points.
Acrylique sur toile
160 x 115 cm
Signé, titré, daté au dos
La série Composantes spectrales s'inscrit dans la continuité du travail de l'artiste sur la diffraction de la lumière par l'atmosphère terrestre par l'utilisation du point et de la couleur. Elle constitue une évolution dans ses recherches de représentation de la lumière. L'échelle de chaque particule y est comme agrandie afin de mieux décrire ce phénomène de diffusion et laisse apparaitre toutes les couleurs que notre oeil est incapable de percevoir.
Acrylique sur toile
160 x 115 cm
Signé, titré, daté au dos
La série Composantes spectrales s'inscrit dans la continuité du travail de l'artiste sur la diffraction de la lumière par l'atmosphère terrestre par l'utilisation du point et de la couleur. Elle constitue une évolution dans ses recherches de représentation de la lumière. L'échelle de chaque particule y est comme agrandie afin de mieux décrire ce phénomène de diffusion et laisse apparaitre toutes les couleurs que notre oeil est incapable de percevoir.
Acrylique sur toile
160 x 115 cm
Signé, titré, daté au dos
La série Composantes spectrales s'inscrit dans la continuité du travail de l'artiste sur la diffraction de la lumière par l'atmosphère terrestre par l'utilisation du point et de la couleur. Elle constitue une évolution dans ses recherches de représentation de la lumière. L'échelle de chaque particule y est comme agrandie afin de mieux décrire ce phénomène de diffusion et laisse apparaitre toutes les couleurs que notre oeil est incapable de percevoir.
Acrylique sur toile
160 x 115 cm
Signé, titré, daté au dos
La série Composantes spectrales s'inscrit dans la continuité du travail de l'artiste sur la diffraction de la lumière par l'atmosphère terrestre par l'utilisation du point et de la couleur. Elle constitue une évolution dans ses recherches de représentation de la lumière. L'échelle de chaque particule y est comme agrandie afin de mieux décrire ce phénomène de diffusion et laisse apparaitre toutes les couleurs que notre oeil est incapable de percevoir.
Acrylique sur toile
80 x 100 cm
Signé, titré, daté au dos
Light diffusion est une série de peintures qui fait le lien entre la lumière blanche et la lumière visible. À travers l'articulation de la couleur et des points au pinceau, l'artiste tente d'interpréter le passage de la lumière blanche à travers l'atmosphère terrestre. Ce phénomène a la particularité de diffuser la lumière de telle sorte qu'elle parait prioritairement bleue.
93 x 122 cm
Signé, titré, daté au dos
Dans la série Exosphère, Cyrielle Gulacsy poursuit son investigation picturale en s'appuyant sur des phénomènes naturels, ici l'essence même de la lumière.
« L'Exosphère » désigne la couche externe de l'atmosphère, qui touche le vide de l'espace intersidéral. Malgré l'apparence noire à la surface de la toile, c'est bien la lumière qui est retranscrite par la diversité des points peints par l'artiste. L'atmosphère ayant pratiquement disparue dans cet espace, la lumière ne peut pratiquement pas se diffuser, d'où ce rendu sombre, presque noir.
16 x 22 cm
Signé, titré, daté au dos
-
16 x 20,5 cm
Signé, titré et daté au dos
La série Solar dynamics s'intéresse à la représentation du soleil à travers un filtre à hydrogène (H alpha) appliqué sur un télescope - ici le Solar Dynamics Observatory - permettant notamment d'observer avec beaucoup de précision les détails de la chromosphère, couche peu dense mais très active de l'atmosphère solaire.
Les 24 dessins composant cette série correspondent à la décomposition du mouvement de rotation du soleil sur 24 heures. Le point devient ici un outil de mise en abîme où le gros cercle blanc du soleil est lui-même une composition d'une infinité de points.
16 x 20,5 cm
Signé, titré et daté au dos
La série Solar dynamics s'intéresse à la représentation du soleil à travers un filtre à hydrogène (H alpha) appliqué sur un télescope - ici le Solar Dynamics Observatory - permettant notamment d'observer avec beaucoup de précision les détails de la chromosphère, couche peu dense mais très active de l'atmosphère solaire.
Les 24 dessins composant cette série correspondent à la décomposition du mouvement de rotation du soleil sur 24 heures. Le point devient ici un outil de mise en abîme où le gros cercle blanc du soleil est lui-même une composition d'une infinité de points.
16 x 20,5 cm
Signé, titré et daté au dos
La série Solar dynamics s'intéresse à la représentation du soleil à travers un filtre à hydrogène (H alpha) appliqué sur un télescope - ici le Solar Dynamics Observatory - permettant notamment d'observer avec beaucoup de précision les détails de la chromosphère, couche peu dense mais très active de l'atmosphère solaire.
Les 24 dessins composant cette série correspondent à la décomposition du mouvement de rotation du soleil sur 24 heures. Le point devient ici un outil de mise en abîme où le gros cercle blanc du soleil est lui-même une composition d'une infinité de points.
50 x 70 cm
Signé, daté au dos
-
Encre acrylique sur toile en coton
130 x 85 cm
Signé, titré, daté au dos
La série Composantes spectrales s'inscrit dans la continuité du travail de l'artiste sur la diffraction de la lumière par l'atmosphère terrestre par l'utilisation du point et de la couleur. Elle constitue une évolution dans ses recherches de représentation de la lumière. L'échelle de chaque particule y est comme agrandie afin de mieux décrire ce phénomène de diffusion et laisse apparaitre toutes les couleurs que notre oeil est incapable de percevoir.
156 x 118 x 3,5 cm
118 x 156 x 3,5 cm
Encre acrylique sur toile en coton
160 x 115 cm
22,86 x 30,58 cm
Acrylique sur papier coton
34 x 40,5 cm
100 x 120 x 3,5 cm
60 x 44 cm
18 x 21 cm
92,7 x 135,9 cm
53 x 73 cm
Encre acrylique sur papier
112 x 77 cm
46 x 38 cm
46 x 38 cm
Cyrielle Gulacsy est née en région Parisienne en 1994. Elle vit et travaille à Paris.
Son travail évolue sous l'influence des sciences modernes, vers la représentation d'un réel imperceptible de l'ordre de l'abstraction, recelant les lois invisibles de la nature. L'espace-temps, l'électromagnétisme ou encore la diffraction de la lumière sont autant de champs de recherches et d'expérimentations qui lui permettent d'explorer de nouvelles représentations de la réalité. Dans son travail, elle explore notre perception de la lumière à travers l'espace et le temps et nous dévoile la matière qui la compose. Chaque point, qu'il soit la mesure d'une particule ou d'un objet céleste, donne corps à une réalité inaccessible et offre un point de vue à la fois intime et vertigineux du monde qui nous entoure.