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Elise Peroi

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Vent dominant, 2024
Vent dominant, 2024
Lin, soie peinte, bois
400 x 169 x 300 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024005

Comme une ode à la nature, Vent dominant joue avec l'étroitesse du lien entre le textile et l'architecture, le support et la surface, ainsi que son déploiement dans l'espace. Dans le prolongement de sa pratique, Elise Peroi s'appuie sur l'ouvrage Histoire de l'habitat idéal, De l'Orient vers l'Occident d'Augustin Berque et son idée de cabane comme habitat naturel. Réalisée dans le cadre de sa résidence à la fondation Thalie à Arles en 2024, cette oeuvre s'inscrit dans son projet Nouer une cabane dans lequel elle s'inspire des maisons de gardian en Camargue. Originellement construites avec du bois et des roseaux cousus au fil de fer, ces abris dont la forme arrondie permet d'affronter le vent du Mistral, se fondent et se lient naturellement à leur environnement. La structure architecturale se mêle ainsi au paysage par les formes qui y sont apposées et l'utilisation du vide comme poésie du vent, le tout ne faisant qu'un.  « La cabane est pour moi une manière de représenter le textile comme architecture nomade et respirante, en travaillant sur des textiles aux inclinaisons diverses. » – Elise Peroi

Elise Peroi
Vent dominant, 2024
Lin, soie peinte, bois
400 x 169 x 300 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024005

Comme une ode à la nature, Vent dominant joue avec l'étroitesse du lien entre le textile et l'architecture, le support et la surface, ainsi que son déploiement dans l'espace. Dans le prolongement de sa pratique, Elise Peroi s'appuie sur l'ouvrage Histoire de l'habitat idéal, De l'Orient vers l'Occident d'Augustin Berque et son idée de cabane comme habitat naturel. Réalisée dans le cadre de sa résidence à la fondation Thalie à Arles en 2024, cette oeuvre s'inscrit dans son projet Nouer une cabane dans lequel elle s'inspire des maisons de gardian en Camargue. Originellement construites avec du bois et des roseaux cousus au fil de fer, ces abris dont la forme arrondie permet d'affronter le vent du Mistral, se fondent et se lient naturellement à leur environnement. La structure architecturale se mêle ainsi au paysage par les formes qui y sont apposées et l'utilisation du vide comme poésie du vent, le tout ne faisant qu'un.  « La cabane est pour moi une manière de représenter le textile comme architecture nomade et respirante, en travaillant sur des textiles aux inclinaisons diverses. » – Elise Peroi

Elise Peroi
Vent dominant, 2024
Lin, soie peinte, bois
400 x 169 x 300 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024005

Comme une ode à la nature, Vent dominant joue avec l'étroitesse du lien entre le textile et l'architecture, le support et la surface, ainsi que son déploiement dans l'espace. Dans le prolongement de sa pratique, Elise Peroi s'appuie sur l'ouvrage Histoire de l'habitat idéal, De l'Orient vers l'Occident d'Augustin Berque et son idée de cabane comme habitat naturel. Réalisée dans le cadre de sa résidence à la fondation Thalie à Arles en 2024, cette oeuvre s'inscrit dans son projet Nouer une cabane dans lequel elle s'inspire des maisons de gardian en Camargue. Originellement construites avec du bois et des roseaux cousus au fil de fer, ces abris dont la forme arrondie permet d'affronter le vent du Mistral, se fondent et se lient naturellement à leur environnement. La structure architecturale se mêle ainsi au paysage par les formes qui y sont apposées et l'utilisation du vide comme poésie du vent, le tout ne faisant qu'un.  « La cabane est pour moi une manière de représenter le textile comme architecture nomade et respirante, en travaillant sur des textiles aux inclinaisons diverses. » – Elise Peroi

Attrape-brouillard, 2024
Attrape-brouillard, 2024
Soie, feuille d'argent, lin, bois
166 x 140 x 15 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024001

Attrape-brouillard s'inspire des filets de collecte d'eau installés au Maroc, permettant d'approvisionner les populations locales et de pallier aux pénuries. Grâce à une technique de maillage, le brouillard est ainsi capturé et transformé. Tel “un nuage à peindre”, Élise Peroi pense son propre dispositif, jouant avec les volumes et la lumière. Le mouvement, renforcé par l'utilisation des feuilles d'argent comme un véritable langage plastique, donne corps aux formes et à l'idée d'une eau miroitante. Par un jeu subtil de transparence matérialisé par les vides, elle laisse apparaître le dessin d'arbustes jaunes, le Sophora denudata, une espèce naturellement capable de capter l'eau du brouillard.

Elise Peroi
Attrape-brouillard, 2024
Soie, feuille d'argent, lin, bois
166 x 140 x 15 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024001

Attrape-brouillard s'inspire des filets de collecte d'eau installés au Maroc, permettant d'approvisionner les populations locales et de pallier aux pénuries. Grâce à une technique de maillage, le brouillard est ainsi capturé et transformé. Tel “un nuage à peindre”, Élise Peroi pense son propre dispositif, jouant avec les volumes et la lumière. Le mouvement, renforcé par l'utilisation des feuilles d'argent comme un véritable langage plastique, donne corps aux formes et à l'idée d'une eau miroitante. Par un jeu subtil de transparence matérialisé par les vides, elle laisse apparaître le dessin d'arbustes jaunes, le Sophora denudata, une espèce naturellement capable de capter l'eau du brouillard.

Sans titre, 2025
Sans titre, 2025
Soie peinte, lin, bois
42 x 140 x 15 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2025001
Elise Peroi
Sans titre, 2025
Soie peinte, lin, bois
42 x 140 x 15 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2025001
Herbier, 2025
Herbier, 2025
Soie peinte, lin
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2025000
Elise Peroi
Herbier, 2025
Soie peinte, lin
Dimensions variables
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2025000
Herbier 3, 2025
Herbier 3, 2025
Soie peinte, lin
33 x 27 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2025004
Herbier 2, 2025
Herbier 2, 2025
Soie peinte, lin
33 x 27 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2025003
Herbier 1, 2025
Herbier 1, 2025
Soie peinte, lin
33 x 27 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2025002
S'attarder en surface I, 2022
S'attarder en surface I, 2022
Lin, soie peinte, argent
63 x 44 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2022001

La série S'attarder en surface trouve son origine dans l'ouvrage Les villes invisibles d'Italo Calvino, lequel porte un regard poétique et utopique sur notre monde moderne. Élise Peroi développe ainsi sa propre cartographie textile qu'elle décompose en 7 oeuvres uniques et définit sa propre esthétique du fragment. Son travail s'articule autour de la question de la présence par l'absence, signifiée à travers l'utilisation du vide comme forme et matière. L'application de feuilles d'argent, dont l'oxydation propose une évolution naturelle des couleurs vers le rouge, mêlé aux motifs de fleurs peints rappelant celles des miniatures persanes, questionne la notion du temps qui passe. Chacun des fragments provient d'une même toile de soie peinte puis découpée, lesquels sont ensuite tissés avec des fils de lin. La superposition délicate de ces dernières, comme un archipel, permet alors la construction d'une oeuvre nouvelle.

S'attarder en surface III, 2022
S'attarder en surface III, 2022
Lin, soie peinte, argent
63 x 44 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2022003

La série S'attarder en surface trouve son origine dans l'ouvrage Les villes invisibles d'Italo Calvino, lequel porte un regard poétique et utopique sur notre monde moderne. Élise Peroi développe ainsi sa propre cartographie textile qu'elle décompose en 7 oeuvres uniques et définit sa propre esthétique du fragment. Son travail s'articule autour de la question de la présence par l'absence, signifiée à travers l'utilisation du vide comme forme et matière. L'application de feuilles d'argent, dont l'oxydation propose une évolution naturelle des couleurs vers le rouge, mêlé aux motifs de fleurs peints rappelant celles des miniatures persanes, questionne la notion du temps qui passe. Chacun des fragments provient d'une même toile de soie peinte puis découpée, lesquels sont ensuite tissés avec des fils de lin. La superposition délicate de ces dernières, comme un archipel, permet alors la construction d'une oeuvre nouvelle.

S'attarder en surface II, 2022
S'attarder en surface II, 2022
Lin, soie peinte, argent
63 x 44 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2022002

La série S'attarder en surface trouve son origine dans l'ouvrage Les villes invisibles d'Italo Calvino, lequel porte un regard poétique et utopique sur notre monde moderne. Élise Peroi développe ainsi sa propre cartographie textile qu'elle décompose en 7 oeuvres uniques et définit sa propre esthétique du fragment. Son travail s'articule autour de la question de la présence par l'absence, signifiée à travers l'utilisation du vide comme forme et matière. L'application de feuilles d'argent, dont l'oxydation propose une évolution naturelle des couleurs vers le rouge, mêlé aux motifs de fleurs peints rappelant celles des miniatures persanes, questionne la notion du temps qui passe. Chacun des fragments provient d'une même toile de soie peinte puis découpée, lesquels sont ensuite tissés avec des fils de lin. La superposition délicate de ces dernières, comme un archipel, permet alors la construction d'une oeuvre nouvelle.

S'attarder en surface IV, 2022
S'attarder en surface IV, 2022
Lin, soie peinte, argent
63 x 44 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2022004

La série S'attarder en surface trouve son origine dans l'ouvrage Les villes invisibles d'Italo Calvino, lequel porte un regard poétique et utopique sur notre monde moderne. Élise Peroi développe ainsi sa propre cartographie textile qu'elle décompose en 7 oeuvres uniques et définit sa propre esthétique du fragment. Son travail s'articule autour de la question de la présence par l'absence, signifiée à travers l'utilisation du vide comme forme et matière. L'application de feuilles d'argent, dont l'oxydation propose une évolution naturelle des couleurs vers le rouge, mêlé aux motifs de fleurs peints rappelant celles des miniatures persanes, questionne la notion du temps qui passe. Chacun des fragments provient d'une même toile de soie peinte puis découpée, lesquels sont ensuite tissés avec des fils de lin. La superposition délicate de ces dernières, comme un archipel, permet alors la construction d'une oeuvre nouvelle.

S'attarder en surface V, 2022
S'attarder en surface V, 2022
Lin, soie peinte, argent
63 x 44 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2022005

La série S'attarder en surface trouve son origine dans l'ouvrage Les villes invisibles d'Italo Calvino, lequel porte un regard poétique et utopique sur notre monde moderne. Élise Peroi développe ainsi sa propre cartographie textile qu'elle décompose en 7 oeuvres uniques et définit sa propre esthétique du fragment. Son travail s'articule autour de la question de la présence par l'absence, signifiée à travers l'utilisation du vide comme forme et matière. L'application de feuilles d'argent, dont l'oxydation propose une évolution naturelle des couleurs vers le rouge, mêlé aux motifs de fleurs peints rappelant celles des miniatures persanes, questionne la notion du temps qui passe. Chacun des fragments provient d'une même toile de soie peinte puis découpée, lesquels sont ensuite tissés avec des fils de lin. La superposition délicate de ces dernières, comme un archipel, permet alors la construction d'une oeuvre nouvelle.

S'attarder en surface VII, 2022
S'attarder en surface VII, 2022
Lin, soie peinte, argent
63 x 44 cm
© Romain Darnaud
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2022007

La série S'attarder en surface trouve son origine dans l'ouvrage Les villes invisibles d'Italo Calvino, lequel porte un regard poétique et utopique sur notre monde moderne. Élise Peroi développe ainsi sa propre cartographie textile qu'elle décompose en 7 oeuvres uniques et définit sa propre esthétique du fragment. Son travail s'articule autour de la question de la présence par l'absence, signifiée à travers l'utilisation du vide comme forme et matière. L'application de feuilles d'argent, dont l'oxydation propose une évolution naturelle des couleurs vers le rouge, mêlé aux motifs de fleurs peints rappelant celles des miniatures persanes, questionne la notion du temps qui passe. Chacun des fragments provient d'une même toile de soie peinte puis découpée, lesquels sont ensuite tissés avec des fils de lin. La superposition délicate de ces dernières, comme un archipel, permet alors la construction d'une œuvre nouvelle.

Objet végétal, 2024
Objet végétal, 2024
Lin, soie peinte, bois
63,3 x 46,5 x 8 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024002
Objet 4, 2024
Objet 4, 2024
Lin, soie peinte, bois
63,3 x 46,5 x 8 cm
©Salah Boutayeb
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024003

La série Objet s'inscrit dans la continuité de la recherche artistique d'Elise Peroi autour des cabanes, thème développé lors de sa résidence à la fondation Thalie à Arles en 2024. Pensés comme de véritables objets en soi, le support, structure modulable dans l'espace, et la surface communiquent. L'artiste y fait écho au matériel du quotidien que l'on retrouve dans les maisons de gardian en Camargue : un filtre à eau, une cage ou encore un lavabo. Chacun entretient un lien étroit avec son oeuvre Vent dominant. 

Objet 5, 2024
Objet 5, 2024
Lin, soie peinte, bois
63,3 x 46,5 x 8 cm
©Salah Boutayeb
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024004

La série Objet s'inscrit dans la continuité de la recherche artistique d'Elise Peroi autour des cabanes, thème développé lors de sa résidence à la fondation Thalie à Arles en 2024. Pensés comme de véritables objets en soi, le support, structure modulable dans l'espace, et la surface communiquent. L'artiste y fait écho au matériel du quotidien que l'on retrouve dans les maisons de gardian en Camargue : un filtre à eau, une cage ou encore un lavabo. Chacun entretient un lien étroit avec son oeuvre Vent dominant. 

Objet 6, 2024
Objet 6, 2024
Lin, soie peinte, bois
63,3 x 48,5 x 8 cm
©Salah Boutayeb
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024008

La série Objet s'inscrit dans la continuité de la recherche artistique d'Elise Peroi autour des cabanes, thème développé lors de sa résidence à la fondation Thalie à Arles en 2024. Pensés comme de véritables objets en soi, le support, structure modulable dans l'espace, et la surface communiquent. L'artiste y fait écho au matériel du quotidien que l'on retrouve dans les maisons de gardian en Camargue : un filtre à eau, une cage ou encore un lavabo. Chacun entretient un lien étroit avec son oeuvre Vent dominant. 

Sans titre, 2024
Sans titre, 2024
Lin, soie, coton peint
45 x 55 cm
©Adrien Thibault
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024009
Elise Peroi
Sans titre, 2024
Lin, soie, coton peint
45 x 55 cm
©Adrien Thibault
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024009
Sans titre, 2024
Sans titre, 2024
Lin, soie, coton peint
45 x 55 cm
©Adrien Thibault
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024011
Elise Peroi
Sans titre, 2024
Lin, soie, coton peint
45 x 55 cm
©Adrien Thibault
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024011
Langage des oiseaux, 2024
Langage des oiseaux, 2024
Soie, coton, lin, lurex, bois
Dimensions variables
© Jules Toulet
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024007
Elise Peroi
Langage des oiseaux, 2024
Soie, coton, lin, lurex, bois
Dimensions variables
© Jules Toulet
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024007
Elise Peroi
Langage des oiseaux, 2024
Soie, coton, lin, lurex, bois
Dimensions variables
© Jules Toulet
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2024007
Les villes invisibles, 2023
Les villes invisibles, 2023
Lins, soies peintes, hêtre
Dimensions Variables
©Andrea Rossetti
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2023001

Les villes invisibles, 2023, est une installation composée de plusieurs pièces :

Lalage, 2022, 95 x 138 x 11 cm
Ereme, 2022, 95 x 124 x 11 cm
Songes II, 2022, 140 x 198 x 15 cm
Nageur, 2022, 95 x 124 x 11 cm

Exposition collective, Un lac inconnu, 2023, Bally foundation, Lugano, Suisse

Sous-tendre, 2023
Sous-tendre, 2023
Soie peinte, lin, bois
Dimensions variables
© Sarah Duby
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2023003
Elise Peroi
Sous-tendre, 2023
Soie peinte, lin, bois
Dimensions variables
© Sarah Duby
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2023003
Elise Peroi
Sous-tendre, 2023
Soie peinte, lin, bois
Dimensions variables
© Sarah Duby
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2023003
Anachorèse - villa, 2022
Anachorèse - villa, 2022
Lin, soie peinte, bois
300 x 300 x 30 cm
© Margot Montigny
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2022008
Champs, 2022
Champs, 2022
Lin, soie peinte, argent
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2022010
Clairière, 2021
Clairière, 2021
Lin, soie peinte, hêtre de la forêt de Sojanes
235 x 141 x 25 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2021001
Furoshiki variation, 2020
Furoshiki variation, 2020
Papier, lin
90 x 90 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2020005
Jardin Suspendu, 2020
Jardin Suspendu, 2020
Lin, soie peinte, bois
120 x 160 x 320 cm
©Jules Toulet
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2020001
Elise Peroi
Jardin Suspendu, 2020
Lin, soie peinte, bois
120 x 160 x 320 cm
©Jules Toulet
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2020001
Mal peignée, 2020
Mal peignée, 2020
graminées, lin
140 x 90 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2020002
Pour faire une prairie, 2020
Pour faire une prairie, 2020
Lin, graminés
28 x 17 x 37 cm
© Thomas Jean Henri
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2020004
Equilibre incertain, 2018
Equilibre incertain, 2018
Coton, polyester, laine, lurex, bouleau
200 x 340 x 170 cm
Demande à  propos de l'oeuvre N Inv. EP2018001

Née à Nantes en 1990, Élise Peroi vit et travaille entre Bruxelles (Belgique) et Arles (France). Elle est diplômée d'un Master en Design textile de l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles en 2015.
Par son travail de tissage et du vide, Élise Peroi cherche à traduire ce qui traverse, le souffle, l'atmosphère. Inspirée du livre Vivre de paysage ou L'impensé de la Raison de François Jullien, elle cherche à traduire une vision englobante du monde, où tout ce qui nous entoure « n'est plus affaire de “vue”, mais du vivre ». Son travail, qui laisse paraître des espaces suspendus, renvoie également à la notion du temps, de l'atelier et de l'outil. Traduire ce qui précède la réalisation d'une œuvre renvoie au texte de Paul Valéry, La philosophie de la danse, et conduit à prendre conscience de l'aspect poétique des gestes. En 2016, soutenue par les Halles de Schaerbeek à Bruxelles, elle commence à développer des performances qui se nourrissent du tissage.

Élise Peroi a participé à de nombreuses expositions personnelles et collectives depuis 2015, Un lac inconnu, Bally Foundation (CH) ; Roma, a portrait, Palazzo delle Esposizioni (IT) ; House of Dreamers, Fondation Boghossian (BE) ; The Sowers, Fondation Thalie (BE) ; Là où se trouve la forêt, Botanique (BE) ; Foresta, Le Bel Ordinaire (FR) ; Inspire, Iselp (BE), etc. Elle est régulièrement invitée pour des résidences : Fondation Thalie (FR) Academia Belgica (IT) ; La Serre – arts vivants (CA) ; Le Hong Kong Arts Centre (HK) ; La Bellone (BE) ; Fédération Wallonie- Bruxelles, Île de Comacina (IT), etc.


45 rue Chapon 75003 Paris - T. +33 (0)1 44 93 91 48 - galerie@annesarahbenichou.com