Entre deux infinis
Galerie Anne-Sarah Bénichou
28 Octobre - 21 Décembre 2017
92 x 127 cm
Courtesy de l'artiste et Art: concept
La série des « Nouvelles amibes domestiques » s'inscrit dans la démarche de Michel Blazy sur le vivant, la matière et ses mutations. Les oeuvres qui en sont issues se composent d'une surface en plâtre modelée en relief recouverte d'un tissu de coton sur lequel des auréoles d'eau et de colorant alimentaire évoquent un de ces organismes monocellulaires. Cette série propose un nouveau mode d'exploration du vivant où chaque pièce reproduit la matière pour mieux épouser et reproduire ses processus de transformation et d'affranchissement. Avec poésie, les oeuvres de Michel Blazy démontrent que la matière artificielle appartient elle aussi à un cycle de vie en perpétuelle évolution.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
- Michel Blazy, Art : concept, Paris, France, 2017
pierre reconstituée
20 x 12 x 5, 5 cm
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
Pierre reconstituée
20 x 12 x 7, 5 cm
Avec cette nouvelle série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
Exposition:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France
Dimensions variables
L'oeuvre Présence est pensée comme un « cadran solaire d'intérieur ». L'ombre projetée sur un mur désigne un moment suspendu, un perpétuel présent, affirmé par le mot « NOW » (maintenant), où l'espace physique devient support de délimitation du temps.
Page de carnet estampée
21 x 13 cm
Chaque pièce de la série Diagrammes propose le récit d'un rêve, sélectionné parmi ceux de l'artiste, et matérialisé sur une page de carnet. Un léger enfoncement, obtenu grâce à une machine à écrire dénuée de ruban encreur, vient créer les lettres et les mots de ces scénarios invisibles.
Exposition:
-Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Diagramme n°020208-030208 - "Histoire de l'univers"
Noir. Un flash aveuglant. C'est le big bang.
Les images défilent comme devant un film documentaire. L'histoire de l'Univers défile sous mes yeux en accéléré; la formation des premières étoiles, des galaxies, des planètes, du système solaire. Le temps s'écoule à toute vitesse.
La Terre est maintenant visible, les continents se déplacent. Nous approchons.Comme vu d'un satellite on apercoit l'Europe, puis la Suisse, puis le Lac Léman. Le zoom se poursuit, de plus en plus rapide.
Nous voici dans la salle des commandes du CERN, à Genève, en 2009. Tous les scientifiques et les physiciens sont réunis pour procéder au lancement du grand accélérateur de particules. Le décompte est lancé, 10...9...8...
Tous les regards se portent vers les écrans de contrôle, la tension est palpable.
6...5...4...
L'opérateur s'apprête à appuyer sur le bouton, ...1...0.
Il appuie.
Noir. Un flash aveuglant. C'est le big bang.
40 x 40 cm
courtesy de l'artiste et galerie Chantal Crousel
Exposition:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
98,5 x 81,5 x 7 cm/ lanterne: 57 x 23,5 x 40 cm
Photo Julie Joubert © ADAGP Claude Lévêque
Courtesy de l'artiste, et galerie Kamel Mennour
Exposition:
-Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
98,5 x 81,5 x 7 cm/ lanterne: 57 x 23,5 x 40 cm
Photo Julie Joubert © ADAGP Claude Lévêque
Courtesy de l'artiste, et galerie Kamel Mennour
Exposition:
-Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
184 x 61 x 95 cm
Evans est un écho à bande placé dans une vitrine. Le spectateur ne peut entendre les sons enregistrés sur la bande lue en boucle. Un morceau de ruban adhésif placé sur la tête d'effacement empêche le son enregistré de disparaître et permet aux enregistrements de se superposer les uns aux autres à l'infini comme le principe de la mémoire.
184 x 61 x 95 cm
Evans est un écho à bande placé dans une vitrine. Le spectateur ne peut entendre les sons enregistrés sur la bande lue en boucle. Un morceau de ruban adhésif placé sur la tête d'effacement empêche le son enregistré de disparaître et permet aux enregistrements de se superposer les uns aux autres à l'infini comme le principe de la mémoire.
184 x 61 x 95 cm
Evans est un écho à bande placé dans une vitrine. Le spectateur ne peut entendre les sons enregistrés sur la bande lue en boucle. Un morceau de ruban adhésif placé sur la tête d'effacement empêche le son enregistré de disparaître et permet aux enregistrements de se superposer les uns aux autres à l'infini comme le principe de la mémoire.
2'
Des images de vacances tirées de catalogues de vente par correspondance alternent avec une série de questions que des parents posent à leurs enfants.
Photographie noir et blanc / impression jet d'encre
50 x 40 cm
© Melik Ohanian/ ADAGP, Paris 2017
Courtesy de l'artiste et Galerie Chantal Crousel
Cette série de photographies noir et blanc - 60 variations - extraites des expériences réalisées pour Portrait of Duration, révèle le changement d'état du Césium 133- élément chimique qui définit la seconde universelle dans les horloges atomiques - lors de son passage de l'état solide à l'état liquide. Au travers la représentation de la matière qui le défini, chaque photographie est unique et propose une figure du temps - à un instant T.
Expositions :
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
- Under Shadows, Prix Marcel Duchamp 2015, Centre Pompidou, Paris, France, 2016
Photographie noir et blanc/ impression jet d'encre sur papier
50 x 40 cm
© Melik Ohanian/ ADAGP, Paris 2017
Courtesy de l'artiste et galerie Chantal Crousel
Cette série de photographies noir et blanc - 60 variations - extraites des expériences réalisées pour Portrait of Duration, révèle le changement d'état du Césium 133- élément chimique qui définit la seconde universelle dans les horloges atomiques - lors de son passage de l'état solide à l'état liquide. Au travers la représentation de la matière qui le défini, chaque photographie est unique et propose une figure du temps - à un instant T.
Expositions :
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
- Under Shadows, Prix Marcel Duchamp 2015, Centre Pompidou, Paris, France, 2016
Photographie noir et blanc/ impression jet d'encre sur papier
50 x 40 cm
© Melik Ohanian/ ADAGP, Paris 2017
Courtesy de l'artiste et galerie Chantal Crousel
Cette série de photographies noir et blanc - 60 variations - extraites des expériences réalisées pour Portrait of Duration, révèle le changement d'état du Césium 133- élément chimique qui définit la seconde universelle dans les horloges atomiques - lors de son passage de l'état solide à l'état liquide. Au travers la représentation de la matière qui le défini, chaque photographie est unique et propose une figure du temps - à un instant T.
Expositions :
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
- Under Shadows, Prix Marcel Duchamp 2015, Centre Pompidou, Paris, France, 2016
Photographie noir et blanc
50 x 40 cm
© Melik Ohanian/ ADAGP, Paris 2017
Courtesy de l'artiste et galerie Chantal Crousel
Cette série de photographies noir et blanc - 60 variations - extraites des expériences réalisées pour Portrait of Duration, révèle le changement d'état du Césium 133- élément chimique qui définit la seconde universelle dans les horloges atomiques - lors de son passage de l'état solide à l'état liquide. Au travers la représentation de la matière qui le défini, chaque photographie est unique et propose une figure du temps - à un instant T.
Expositions :
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
- Under Shadows, Prix Marcel Duchamp 2015, Centre Pompidou, Paris, France, 2016
Photographie noir et blanc/ impression jet d'encre sur papier
50 x 40 cm
© Melik Ohanian/ ADAGP, Paris 2017
Courtesy de l'artiste et galerie Chantal Crousel
Cette série de photographies noir et blanc - 60 variations - extraites des expériences réalisées pour Portrait of Duration, révèle le changement d'état du Césium 133 - élément chimique qui définit la seconde universelle dans les horloges atomiques, lors de son passage de l'état solide à l'état liquide. Au travers la représentation de la matière qui le défini, chaque photographie est unique et propose une figure du temps à un instant T.
Expositions :
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
- Under Shadows, Prix Marcel Duchamp 2015, Centre Pompidou, Paris, France, 2016
20 x 52 x 12,5 cm
courtesy Dvir Gallery et Galerie Chantal Crousel
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
- Under Shadows, Prix Marcel Duchamp 2015, Centre Pompidou, Paris, France, 2016
20 x 52 x 12,5 cm
courtesy Dvir Gallery et Galerie Chantal Crousel
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
- Under Shadows, Prix Marcel Duchamp 2015, Centre Pompidou, Paris, France, 2016
40,8 x 46,4 cm (avec cadre)
Courtesy de l'artiste et Galerie Meessen de Clercq
Ramenée du quartier chinois de New York, Chinatown est une petite étiquette, représentant un paysage asiatique, initialement collée sur un emballage de poster à installer soi-même au mur (Do-it-yourself). Pendant quelques mois, Thu Van Tran a laissé cette vignette dans son atelier à un endroit régulièrement ensoleillé. Au fil du temps, le soleil a exécuté son lent travail d'effacement des couleurs. L'image s'est affadie, les particularités de celle-ci se sont atténuées comme s'estompe le souvenir du pays originel. Le rapport d'échelle entre petite vignette et grand poster est à transposer métaphoriquement dans le fait qu'un événement anodin peut remémorer en une fraction de seconde un lointain souvenir du pays quitté. Ce temps d'usure évoque aussi symboliquement le temps nécessaire à tout émigrant pour s'insérer dans un nouveau contexte ou une nouvelle culture.
Exposition:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point lumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas une tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
Papier thermique, lumière du jour
30 x 30 cm
Les artistes invitent chaque jour le soleil à dessiner grâce à un dispositif constitué d'un socle, d'une loupe, et de papier thermique. Durant le jour, les rayons du soleil passent à travers la loupe, pour se concentrer en un point mumineux, point qui laissera sa trace sur le papier thermique. Le déplacement du soleil en une journée forme, non pas ue tâche, mais un trait, composé de l'accumulation des tâches sur la papier, suivant la course du soleil, et l'environnement.
Expositions:
- Entre deux infinis, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2017
"ENTRE DEUX INFINIS"
Exposition collective du 28 octobre au 21 décembre 2017. Vernissage le samedi 28 octobre de 15h à 20h.
Avec: Michel Blazy, Julien Discrit, Pierre Huyghe, Claude Lévêque, Laurent Montaron, Valérie Mréjen, Melik Ohanian, Thu Van Tran, Jingfang Hao et Lingjie Wang
Second volet d'une réflexion thématique autour de la représentation des notions conceptuelles dans l'art contemporain, l'exposition collective « Entre deux infinis » interroge le temps au travers des oeuvres de dix artistes: Michel Blazy, Julien Discrit, Pierre Huyghe, Claude Lévêque, Laurent Montaron, Valérie Mréjen, Melik Ohanian, Thu Van Tran ainsi que le duo Jingfang Hao et Lingjie Wang.
« C'est là que parfois le temps s'assoupit comme la roue du compteur quand la dernière ampoule s'éteint. C'est là qu'on commence à voir, dans le noir. Dans le noir qui est aube et midi et soir et nuit d'un ciel vide, d'une terre fixe. Dans le noir qui éclaire l'esprit. C'est là que le peintre peut tranquillement cligner de l'oeil. » Samuel Beckett, Le Monde et le pantalon.