"J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer."
Galerie Anne-Sarah Bénichou
26 Mai - 22 Juillet 2018
110,3 x 145,4 cm
Lors de la lecture d’un texte sur les multinationales de type Facebook, l’idée de chaîne alimentaire est venue à l’esprit de Daniel Otero Torres ; les grandes entreprises rachètent celles qui émergent, créant un système de proies et de prédateurs. Ce schéma est ici réduit à un jeu de cercles, où la gamme chromatique prend le relais, amenant la dominance progressive de la couleur noire.
Reprenant la planche des pinsons de Darwin dans la théorie de l’évolution - illustrant les légères variances présentes chez des oiseaux similaires en fonction de leurs pratiques alimentaires -, l’artiste met en avant des jeux de forces, entre puissance, écrasement et adaptation.
A la fin de cette chaîne se tient un couple, extrait d’archives de guérilleros du Salvador. Résistant au grand loup menaçant, les personnages sortent progressivement de leur cercle étroit et oppressant, laissant présager une victoire imminente.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
110,3 x 145,4 cm
Lors de la lecture d’un texte sur les multinationales de type Facebook, l’idée de chaîne alimentaire est venue à l’esprit de Daniel Otero Torres ; les grandes entreprises rachètent celles qui émergent, créant un système de proies et de prédateurs. Ce schéma est ici réduit à un jeu de cercles, où la gamme chromatique prend le relais, amenant la dominance progressive de la couleur noire.
Reprenant la planche des pinsons de Darwin dans la théorie de l’évolution - illustrant les légères variances présentes chez des oiseaux similaires en fonction de leurs pratiques alimentaires -, l’artiste met en avant des jeux de forces, entre puissance, écrasement et adaptation.
A la fin de cette chaîne se tient un couple, extrait d’archives de guérilleros du Salvador. Résistant au grand loup menaçant, les personnages sortent progressivement de leur cercle étroit et oppressant, laissant présager une victoire imminente.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
160 x 86 x 49 cm
Cette oeuvre fait écho à une photographie du grand-père de l'artiste, capitaine de l'artillerie colombienne dans les années 50. À la manière de la végétation faisant revivre un bâtiment en ruine, les plantes permettent ici d'instaurer un dialogue avec le passé de Daniel Otero Torres, qui redessine la cape de son grand père tout en révélant le passage du temps. Dans une profonde ambiguïté, la cape, attirail de l'armée, dialogue avec la délicatesse sensible des fleurs, faisant de cette oeuvre un objet hors norme entre dessin et sculpture, symbole de puissance et de fragilité.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
160 x 86 x 49 cm
Cette oeuvre fait écho à une photographie du grand-père de l'artiste, capitaine de l'artillerie colombienne dans les années 50. À la manière de la végétation faisant revivre un bâtiment en ruine, les plantes permettent ici d'instaurer un dialogue avec le passé de Daniel Otero Torres, qui redessine la cape de son grand père tout en révélant le passage du temps. Dans une profonde ambiguïté, la cape, attirail de l'armée, dialogue avec la délicatesse sensible des fleurs, faisant de cette oeuvre un objet hors norme entre dessin et sculpture, symbole de puissance et de fragilité.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Dimensions variables
"Il s'étendra jusqu'à engloutir entièrement Mercure, Vénus et la Terre. Plus tard il s'effondrera à nouveau sur lui-même, laissant derrière lui une bonne partie des gaz le composant, pour former une naine blanche entourée d'une nébuleuse planétaire. les êtres vivants seront consumés puis les océans littéralement vaporisés. Ainsi, la fin de l'Homme devrait arriver bien avant la fin de la Terre elle-même, probablement dans environ 500 millions d'années, seulement. Progressivement, les températures sur notre planète deviendront insoutenables : les créatures terrestres chercheront refuge dans l'eau. Seules celles qui peuvent s'adapter au milieu aquatique survivront."
Exposition:
"J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Carte "species", perles, anneaux métalliques, colle acrylique
11,5 x 6 x 4 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Perles en verre, anneaux métalliques, améthyste, pétales de pavot, stickers fluorescents, feuilles d'amarante, kombucha, impressions offset, colle acrylique, peinture acrylique et latex
28,5 x 22,5 x 15 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Perles en verre, anneaux métalliques, paillettes, impressions offset, pièce de puzzle, orchidée séchée, feuille de capucine, fleur de bougainvillier, fleur de lavande, faux ongles, colle acrylique, peinture acrylique et latex
23 x 17,5 x 17 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer, Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Perles, coquilles d'oeuf, paillettes, noyau de pêche, colle acrylique, peinture acrylique, impressions offset
42,3 x 41,5 x 25 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Perles, coquilles d'oeuf, paillettes, noyau de pêche, colle acrylique, peinture acrylique, impressions offset
42,3 x 41,5 x 25 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Lichen, perles en verre, fleur d'amarante, perles en verre, anneaux métallique, colle acrylique
27 x 13 x 4 cm chaque
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
40,5 x 40,5 x 6 cm
Perles en verre, billes de verre, billes d'argile, noyaux de cerises, noyaux de prunes, noyaux d'abricots, kombucha, datura, pétale de pavot, fougères, oeuf en plastique, trilobite en plastique, collier pendentif, dent de requin, faux ongles, orgonite, impressions offset, colle acrylique, peinture acrylique et latex.
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Coquilles d'oeufs, faux ongles, orchidée séchée, feuilles d'or, paillettes, collier pendentif, perles en verre, anneaux métalliques, impressions offset, colle acrylique, peinture acrylique et latex
17,5 x 11, 5 x 6 cm
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
"J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Lampe, perles, coquilles d'oeuf, coquilles d'oursins, coquilles d'escargots, noyaux de cerises, feuilles d'or, stickers fluorescents, graines d'acacia, pétales de pavot, noyau de pêche, noyau de prune, allumette, corille, larmes de Job, paillettes, abeille en plastique, anneaux métalliques, billes d'argile, impressions offset, orchidée séchée, colle acr
31 x 32,5 x 11 cm
Lampe, perles, coquilles d'oeuf, coquilles d'oursins, coquilles d'escargots, noyaux de cerises, feuilles d'or, stickers fluorescents, graines d'acacia, pétales de pavot, noyau de pêche, noyau de prune, allumette, corille, larmes de Job, paillettes, abeille en plastique, anneaux métalliques, billes d'argile, impressions offset, orchidée séchée, colle acrylique, peinture acrylique et latex
La série Species tire son nom d'un film de science-fiction, dans lequel une jeune femme extraterrestre s'unit avec des hommes dans le seul but d'engendrer une progéniture monstrueuse et invasive.
C'est cette idée de séduction et de contamination qui plait particulièrement à Mimosa Echard. En utilisant uniquement des matériaux présents dans son atelier - plantes, paillettes, colliers, pages du magazine « Star Light », etc -, l'artiste fait également référence aux sculptures de Bruce Conner, où les choses se mélangent jusqu'à un état de contradiction suscitant l'étrangeté. Par l'usage de matériaux genrés, l'artiste réalise des objets hybrides, à la fois séduisants et sensiblement effrayants.
Exposition:
"J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
5'20''
Composition: Corentine Brafine avec la voix de Bronwyn Katz
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Dimensions variables (environ 221,5 x 127,5 x 35,5 cm)
Une déflagration est une explosion dont la vitesse de propagation est inférieure à la vitesse du son. Il s'agit de l'ensemble des phénomènes consécutifs au passage rapide d'un front de réaction, le plus souvent d'un front de flamme, au travers d'un mélange de combustible et de comburant. Dans un mélange homogène d'air et de gaz ou vapeur combustible, une flamme se propage à une vitesse constante, assez rapide mais qui reste de l'ordre de grandeur de celle de phénomènes familiers. Elle est souvent de l'ordre de quelques décimètres à quelques mètres par seconde, donc comparable à celle d'un marcheur ou d'un coureur. C'est ce qui se passe lors de l'inflammation rapide du mélange de gaz et d'air au-dessus d'un bec de cuisinière ou dans un four. Si la masse de gaz est faible, le phénomène est sans conséquence ; si la masse est importante, une explosion peut se produire. La flamme d'un brûleur est une déflagration se propageant à une vitesse constante, dans un sens opposé à celui du flux gazeux. Dans une déflagration, les gaz brûlés se déplacent dans le sens opposé à celui de la flamme, à une vitesse subsonique. Dans de nombreux cas, la propagation d'une flamme dans un mélange gazeux explosif de composition convenable peut s'accélérer brutalement et se transformer en une détonation.
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Dimensions variables ( environ 296 x 123 x 77 cm)
« S'entretenir avec les hommes »
« Il a la tête, le col, le ventre, et le dessus du dos, de couleur de feu : ses ailes sont mêlées de plumes, jaunes, de couleur d'azur, et de rouge cramoisi : sa queue est toute rouge, et longue d'un pied et demi... »
« Il a le port grave et assuré, et tant s'en faut qu'il s'étonne pour plusieurs coups de fusil sur l'arbre où il est branché ; qu'au contraire il regarde et conduit de l'oeil ses compagnons, qui tombent morts à terre, sans s'en ébranler aucunement ; si bien qu'on en tire quelquefois cinq ou six sur le même arbre, sans qu'ils fassent mine de s'envoler. »
« Ils observent sur le soir les arbres où il s'en perche le plus grand nombre, et quand la nuit est venue, ils portent aux environs de l'arbre des charbons allumés, sur lesquels ils mettent de la gomme avec du piment vert, cela fait une fumée épaisse qui étourdit de telle sorte ces pauvres oiseaux qu'ils tombent à terre comme s'ils étaient ivres ou à demi-morts. Ils les prennent alors, leur lient les pieds et les ailes, et les font revenir en leur jetant de l'eau sur la tête. Quand les arbres sont trop hauts pour que la fumée puisse y arriver et faire l'effet qu'ils prétendent, ils accommodent des couis au bout de quelques grands roseaux ou de quelques perches, ils y mettent du feu, de la gomme et du piment, ils les approchent le plus qu'ils peuvent des oiseaux et les enivrent encore plus facilement... »
« Pour les apprivoiser et les rendre traitables, ils ne font que les laisser jeûner pendant quelque temps : et quand ils jugent qu'ils ont faim, ils leur présentent à manger ; s'ils mordent et qu'ils se montrent trop revêches, ils leur soufflent la fumée du tabac au bec, ce qui les étourdit de telle manière qu'ils oublient presque aussitôt leur naturel sauvage ; ils s'accoutument à voir les hommes, à s'en laisser toucher, et deviennent en peu de temps tout à fait privés, ils leur apprennent même à parler. »
« Tourlouroux »
Jean-Baptiste Du Tertre et Jean-Baptiste Labat
Exposition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
34,5 x 7 x 4,5 cm
Exhibition:
- "J'allai ce soir fumer une cigarette sur le sable au bord de la mer", Galerie Anne-Sarah Bénichou, Paris, France, 2018
Vernissage le samedi 26 mai de 15h à 19h
Performance/ goûter le dimanche 27 mai à 16h
"Satellite, soleil, plumeau de roseau. Réseau, on s'est dit par Whatsapp qu'on ferait une expo de copains. Let's talk tomorrow!"
A l'occasion de la 5ème édition du Paris Gallerry Week-End, Anne-Sarah Bénichou invite trois artistes à élaborer une proposition autour de la forme et du récit.
Julien Creuzet, Mimosa Echard, Daniel Otero torres mais également la voix de Bronwyn Katz s'emparent de l'espace de la galerie pour faire dialoguer de nouvelles oeuvres (sculptures, dessins, installations) à partir de la citation de Gauguin qui donne son titre à l'exposition.