Voyage dans le dessin
28 Janvier - 24 Février 2023
46 x 60 cm
Signé en bas à droite
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à droite
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
65 x 97,5 cm
Signé en bas à gauche
La série Prélude de l'élan visible a été réalisée d'une seule traite par l'artiste, qui, marqué par les récits de violences et d'arrestations qui ont eu lieu récemment, a voulu retranscrire cet usage de la force physique et institutionnelle démesurée. Massinissa Selmani ne vise pas ici à décrire une action ou un événement précis, mais plutôt une situation où se joue la violence de l'autorité face à sa remise en cause par le biais de diverses formes de contestation (résistances, opinions, déboulonnages de statues, etc.). Il offre ainsi une lecture subjective de la violence physique dite « légitime » en se concentrant plus sur leur part structurelle et insondable que conjoncturelle.
24,5 x 25,5 x 19,5 cm
Crayon de couleur sur photocopie, Graphite et crayons de couleur sur papier calque, adhésif
50 x 38,5 cm
signé en bas à droite
La série Après l'ordinaire s'ancre dans l'imaginaire médiatique des manifestations et émeutes qui ont fait l'actualité ces derniers mois. À partir de carcasses de voitures lambda et des voitures de police brûlées ou renversées qu'il prélève dans la presse, Massinissa Selmani donne à voir des ruines de la violence qu'il réinterprète en les associant à des éléments incongrus (trophée de chasse, rochers...). Ces derniers semblent désamorcer cette violence, formant ainsi des territoires de conflit teintés d'une banalité mystique, voir inquiétante. De plus, à travers l'intrusion d'éléments géométriques formels et la multiplication des points de vue dans ces cinq variations, l'artiste poursuit sa réflexion sur les images altérées et la documentation par le dessin.
Crayon de couleur sur photocopie, Graphite et crayons de couleur sur papier calque, adhésif
50 x 38,5 cm
signé en bas à droite
La série Après l'ordinaire s'ancre dans l'imaginaire médiatique des manifestations et émeutes qui ont fait l'actualité ces derniers mois. À partir de carcasses de voitures lambda et des voitures de police brûlées ou renversées qu'il prélève dans la presse, Massinissa Selmani donne à voir des ruines de la violence qu'il réinterprète en les associant à des éléments incongrus (trophée de chasse, rochers...). Ces derniers semblent désamorcer cette violence, formant ainsi des territoires de conflit teintés d'une banalité mystique, voir inquiétante. De plus, à travers l'intrusion d'éléments géométriques formels et la multiplication des points de vue dans ces cinq variations, l'artiste poursuit sa réflexion sur les images altérées et la documentation par le dessin.
22 x 22 cm
signé au dos en bas à droite
S'inspirant de poèmes de Jean Sénac, Massinissa Selmani tente de saisir le rythme si particulier de l'écriture de l'auteur en utilisant l'aquarelle pour dessiner des fragments qui viennent faire écho avec le langage. Les phrases sont parfois laissées telles quelles, parfois inventées, modifiées ou augmentées, tout en préservant et soulignant l'impertinence et l'absurde de la plume du poète révolutionnaire. Loin de l'illustration, Massinissa Selmani se focalise principalement sur le rythme formel et graphique pour développer une poésie du dessin qui lui est chère.
Encre de chine sur papier
29,5 x 42 cm
La série « Byblos » a été produite à l'occasion de l'exposition collective « Voyages immobiles », à La Poste du Louvre à Paris en 2021, sous le commissariat de Jérôme Sans. L'ensemble de dessins à l'encre de Chine évoque une cartographie onirique et une flânerie nomade ou imaginaire dans les mondes fantasmés de Byblos au Liban, une des plus vieilles villes du monde à être continuellement habitée. La série est conçue à partir d'histoires et d'images, dans une réécriture d'un environnement fantasmé à l'aune du regard de l'artiste lorsqu'elle découvrit le site antique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Encre de chine sur papier
29,5 x 42 cm
La série « Byblos » a été produite à l'occasion de l'exposition collective « Voyages immobiles », à La Poste du Louvre à Paris en 2021, sous le commissariat de Jérôme Sans. L'ensemble de dessins à l'encre de Chine évoque une cartographie onirique et une flânerie nomade ou imaginaire dans les mondes fantasmés de Byblos au Liban, une des plus vieilles villes du monde à être continuellement habitée. La série est conçue à partir d'histoires et d'images, dans une réécriture d'un environnement fantasmé à l'aune du regard de l'artiste lorsqu'elle découvrit le site antique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Encre de chine sur papier
29,5 x 42 cm
La série « Byblos » a été produite à l'occasion de l'exposition collective « Voyages immobiles », à La Poste du Louvre à Paris en 2021, sous le commissariat de Jérôme Sans. L'ensemble de dessins à l'encre de Chine évoque une cartographie onirique et une flânerie nomade ou imaginaire dans les mondes fantasmés de Byblos au Liban, une des plus vieilles villes du monde à être continuellement habitée. La série est conçue à partir d'histoires et d'images, dans une réécriture d'un environnement fantasmé à l'aune du regard de l'artiste lorsqu'elle découvrit le site antique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Encre de chine sur papier
29,5 x 42 cm
La série « Byblos » a été produite à l'occasion de l'exposition collective « Voyages immobiles », à La Poste du Louvre à Paris en 2021, sous le commissariat de Jérôme Sans. L'ensemble de dessins à l'encre de Chine évoque une cartographie onirique et une flânerie nomade ou imaginaire dans les mondes fantasmés de Byblos au Liban, une des plus vieilles villes du monde à être continuellement habitée. La série est conçue à partir d'histoires et d'images, dans une réécriture d'un environnement fantasmé à l'aune du regard de l'artiste lorsqu'elle découvrit le site antique inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Encre de chine sur papier
75 x 105 cm
Encre de chine sur papier
75 x 105 cm
-
Encre de chine sur papier
75 x 105 cm
147 x 110 cm
Cette oeuvre s'inscrit dans la continuité de la série des Pensées ou des Chants d'oiseaux ; des formes autogénérées, faites de traces et de cheminements rendent l'intervention artistique dépendante de facteurs aléatoires. Réalisée à partir du frottage de planches de parquet à la mine de plomb, elle vient sublimer les nervures du bois et les galeries creusées par les insectes, composant autant de motifs évoquant un dessin ou bien une forme d'écriture mystérieuse.
55 x 65 cm
33 x 27,5 cm