Drawing Now Alternative 2021
42 rue du Faubourg Saint-Antoine, 75012
10 - 13 Juin 2021
Encre de Chine sur papier
20,5 x 14 cm
Daté et signé au dos
A l'occasion d'une exposition au Centre d'Art Contemporain en 2018, Chourouk Hriech s'est rendue à Tel Aviv. Comme souvent lors de ses voyages, elle en a ramené une série intitulée Tel Aviv's lines. Ces dessins en noir et blanc sont le fruit de ses découvertes au fil de son exploration de la ville. Les bâtiments flambants neufs côtoient les vieux immeubles délabrés, soulignant la constante métamorphose de la ville. On y retrouve l'architecture méditerranéenne mais aussi l'influence du Bauhaus et les grandes avenues à la californienne dans de fascinants jeux d'ombres et de lumières. Dans ce panorama architectural, Chourouk Hriech fait ressortir le contraste entre les lignes parfois austères des bâtiments et la végétation désordonnée.
Graphite sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à gauche
La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.
Graphite et crayon de couleur sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à gauche
La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.
Graphite et crayon de couleur sur papier
25 x 32,5 cm
Signé en bas à gauche
La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.
Graphite sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à droite
La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.
Graphite et crayon de couleur sur papier
25 cm x 32,5 cm
Signé en bas à droite
La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à droite
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à droite
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
Graphite et mines couleur sur papier
50 x 65 cm
Signé en bas à gauche
Dans la série Amorce dans l'air léger, Massinissa Selmani assemble des éléments pour mettre en scène des situations étranges, voire absurdes, teintées d'une certaine gravité ; elles laissent deviner les signes d'un tragique latent ou les prémices d'une violence insaisissable à venir. Le potentiel fictionnel qui en résulte, construit volontairement de postures ou de fragments d'architecture qui semblent familiers, échappe à la possibilité de les situer ou de les dater. Les éléments ainsi isolés de leur contexte tendent à rendre les situations éternelles.
21 x 29.7 cm
signé, titré, daté au dos
Pour Le gâteau de larmes, Mireille Blanc s'inspire d'une photographie banale d'un repas d'anniversaire qu'elle recadre pour sublimer le motif du gâteau et faire disparaitre les protagonistes de la scène. Le dessert est magnifié par le flash de l'appareil photo et le fusain qui permet des jeux d'ombre et de lumière. La forme sculpturale du gâteau et de son assiette en aluminium, à la limite du kitsch, deviennent ainsi des sujets proprement picturaux.
Graphite sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à gauche
La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.
Graphite et crayon de couleur sur papier
25 cm x 32,5 cm
Signé en bas à droite
La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.
Graphite sur papier
32,5 x 25 cm
Signé en bas à gauche
La série des Coques lourdes est l'occasion pour Massinissa Selmani de dessiner des saynètes où les personnages représentés semblent adopter des postures de repli et de passivité. Ces situations évoquent alors diverses formes de violence et de menace qui restent, comme toujours chez l'artiste, largement indéterminées. Maniant humour et gravité, Massinissa Selmani divulgue un réel entre poétique et politique.
Encre de Chine sur papier
22 x 18 cm
Daté et signé au dos
A l'occasion d'une exposition au Centre d'Art Contemporain en 2018, Chourouk Hriech s'est rendue à Tel Aviv. Comme souvent lors de ses voyages, elle en a ramené une série intitulée Tel Aviv's lines. Ces dessins en noir et blanc sont le fruit de ses découvertes au fil de son exploration de la ville. Les bâtiments flambants neufs côtoient les vieux immeubles délabrés, soulignant la constante métamorphose de la ville. On y retrouve l'architecture méditerranéenne mais aussi l'influence du Bauhaus et les grandes avenues à la californienne dans de fascinants jeux d'ombres et de lumières. Dans ce panorama architectural, Chourouk Hriech fait ressortir le contraste entre les lignes parfois austères des bâtiments et la végétation désordonnée.
Dessin au feutre sur papier
65 x 50 cm
Oeuvre signée au dos
Grandmas est une série de dessins inspirés d'étiquettes de produits dont la marque se rapporte à un membre de la famille. C'est lors d'une résidence en Californie, que Valérie Mréjen a commencé à collectionner ces étiquettes : grand-mères, oncles, tantes, c'est toute une "famille recomposée" que l'on retrouve dans ces dessins nostalgiques, comme autant de chaleureux fantômes.
Dessin au feutre sur papier
65 x 50 cm
Oeuvre signée au dos
Grandmas est une série de dessins inspirés d'étiquettes de produits dont la marque se rapporte à un membre de la famille. C'est lors d'une résidence en Californie, que Valérie Mréjen a commencé à collectionner ces étiquettes: grand-mères, oncles, tantes, c'est toute une "famille recomposée" que l'on retrouve dans ces dessins nostalgiques, comme autant de chaleureux fantômes.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l'œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
42 x 59,4 cm
signé au dos en bas à droite
Dans cette série, Valérie Mréjen a agrandi des détails de cartes postales issues des Archives de la ville de Vienne. À partir de ces vues avec un ou plusieurs personnages, elle propose de courts récits de fiction qui s'inspirent des images en repensant leurs contextes, tantôt amusants, sensibles ou désenchantés. Créant un lien entre image et récit, Valérie Mréjen redonne vie à ces cartes postales, rappelant leur fonction première, celle de support d'échanges épistolaires.
42 x 59,4 cm
signé au dos en bas à droite
Dans cette série, Valérie Mréjen a agrandi des détails de cartes postales issues des Archives de la ville de Vienne. À partir de ces vues avec un ou plusieurs personnages, elle propose de courts récits de fiction qui s'inspirent des images en repensant leurs contextes, tantôt amusants, sensibles ou désenchantés. Créant un lien entre image et récit, Valérie Mréjen redonne vie à ces cartes postales, rappelant leur fonction première, celle de support d'échanges épistolaires.
50 x 65 cm
Signé, titré, daté au dos
Dans ces dessins, Chourouk Hriech représente des lieux où se mêlent des éléments architecturaux et végétaux appelant à une grande sérénité, comme des endroits idylliques du quotidien. Comme souvent dans sa pratique elle mêle des éléments réels desquels elle s'inspire lors d'un voyage et des éléments imaginaires et fantasmés. Dans ces intérieurs dessinés en noir et blanc, chaque ouverture sur le dehors laisse apparaître des paysages profonds, composés d'une nature verdoyante. Ainsi, elle superpose des architectures urbaines, ici inspirées de Madrid (une salle du Palais de l'Alcazar, une ruelle encombrée,...), et des horizons bucoliques impossibles. De cette manière, elle installe un jeu dans la perspective qui invite à une ouverture, un possible, une nouvelle façon de concevoir l'espace pour aller vers un monde rêvé.
21 x 14,5 cm
Daté et signé au dos
Comme souvent dans l’œuvre de Chourouk Hriech, le voyage est à l'origine de la pratique. Dans cette série, le séjour de l'artiste en Thaïlande, plus qu'une inspiration, en est le thème central. Ses dessins se rapprochent d'un carnet de voyage : avec un trait rapide comme dans un croquis, l'artiste dégage l'essentiel de ses sujets. Elle dépeint des aperçus éphémères de bâtiments, ruelles ou objets qui ont attiré son attention.
42 x 29,7 cm
signé, titré, daté au dos
Grand rideau (1) est un dessin issu d'une photographie d'un rideau au motifs en dentelle. À travers un processus de transformation de l'image, qui l'amène à jouer sur les rapports d'échelle et à se focaliser sur les détails et permet l'apparition d'une nouvelle réalité dans l'effacement du sujet premier. L'utilisation du fusain permet de renforcer l'abstraction en diluant les motifs dans l'oeuvre, ce qui contribue d'autant plus à faire perdre les repères du regardeur.
42 x 29,7 cm
Dans Hot dog, Mireille Blanc dessine au fusain un pain vidé de son contenu en adoptant une vue plongeante sur son sujet. L'artiste s'amuse avec nos repères mémoriels en choisissant un titre qui dévoile la nature de l'aliment pourtant absent dans son dessin. Par le choix du cadrage, elle renforce cette idée d'étrangeté et brouille les repères du regardeur.
42 x 29,7 cm
Dans Poisson, Mireille Blanc dessine un bibelot, sûrement une lampe au design kitsch, presque repoussant. À partir d'un cliché de cet objet, l'artiste joue sur la réflexion en utilisant le noir et blanc pour accentuer le détournement du sujet. Ce faisant, elle intègre des détails de construction de l'image comme ce bout de scotch au milieu du dessin, témoignant du processus d'abstraction effectué par l'artiste.
70 x 55 cm
signé, titré, date
Dans ce dessin, Chourouk Hriech crée un monde flottant, proche d'un paysage japonais, où se mélangent des figures florales, bestiaires et géométriques dans un travail conjuguant l'ornement à une forme de technique proche de la peinture rupestre. Suggérant l'envol d'oiseaux sans les représenter vraiment, elle conçoit une continuité entre le tissu d'un kimono et les ailes déployées de l'animal.
70 x 55 cm
signé, titré, daté
Dans ce dessin, Chourouk Hriech crée un monde flottant, proche d'un paysage japonais, où se mélangent des figures florales, bestiaires et géométriques dans un travail conjuguant l'ornement à une forme de technique proche de la peinture rupestre. Suggérant l'envol d'oiseaux sans les représenter vraiment, elle conçoit une continuité entre le tissu d'un kimono et les ailes déployées de l'animal.
29,7 x 42 cm
Dans Eclipse (3), Mireille Blanc s'inspire d'un album-photo dont la moitié des photographie a été retirée, point de départ d'un ensemble d'œuvres depuis 2009. L'artiste s'interroge ici sur la place laissée par le vide qui dérobe le souvenir et rend compte de la part mémorielle qui traverse son travail. Le spectateur est libre d'y mettre l'image qu'il souhaite et de combler cette absence avec ses propres souvenirs.
42 x 29,7 cm
Sweat jaune est un dessin en noir et blanc représentant, en son centre, un motif indéterminé, perturbé par les plis du vêtement sur lequel il figure. Le sweat-shirt étant porté, le tissu est en mouvement et ce qui tend vers la perte du sujet et joue sur l'indétermination de l'objet traité.
65 x 50 cm
Fruits d'anniversaire s'inscrit dans la continuité d'un travail de l'artiste sur le motif des gâteaux. Dans ce grand format, l'usage du calque lui permet de reproduire minutieusement tous les détails de l'image source. Le fusain renforce les jeux d'ombre et de lumière des bougies. La forme des pommes ainsi que le mélange des matières évoquées apportent une certaine sensualité à la scène. Les lignes ondulantes de la nappe font écho à des œuvres d'art optique qui brouillent la perception visuelle du spectateur.
Pour l'édition 2021 de Drawing Now, la galerie Anne-Sarah Bénichou présentera une exposition collective réunissant trois artistes femmes de la galerie -Chourouk Hriech, Valérie Mréjen et Mireille Blanc- autour du dessin en noir et blanc, et un focus sur l'artiste Massinissa Selmani.
Dans le projet collectif, à partir d'un traitement en noir et blanc du dessin, chacune des artistes s'emparera de la technique pour l'adapter à son mode de production et d'expression. Chourouk Hriech choisit l'encre de Chine pour créer des paysages imaginaires à partir de motifs urbains et quotidiens dans lesquels elle repense l'espace comme un désir de résistance et d'utopie. Valérie Mréjen interprète le noir et blanc autour de l'écriture à partir d'un détournement de slogans publicitaires et de collages émanent d'anciens annuaires. Mireille Blanc enfin, s'intéresse à l'importance des détails des objets et réinterprète notre vision des détails du quotidien à travers l'utilisation du fusain.
Pour le focus consacré à Massinissa Selmani, la galerie présentera des oeuvres récentes. L'artiste élabore une pratique réflexive sur le dessin en associant des images de presse à un processus narratif et fictionnel où il détourne avec subtilité, humour et délicatesse la perception de l'image.