BAD + Bordeaux 2022
Stand R+1 34
Hangar 14, Quai des Chartrons, Bordeaux
7 - 10 Juillet 2022
4 parties - 300 x 320 cm (environ), dimensions variables
©Noah Stolz
Il est rare que Marion Baruch réalise des fleurs, car elle n'aime pas particulièrement leur motif bucolique. À l'origine, La vitesse des fleurs devait représenter des cerfs-volants. Cependant, l'artiste n'était pas très convaincue par cette idée. Ainsi, en les accrochant, elle a découvert que ces chutes de tissu se comportaient comme des fleurs qui, sans réellement bouger, gardent tout de même un côté mouvant, éphémère et aérien. Venant accentuer l'aspect fugitif de ces plantes, le titre ajoute cette notion de fragilité et de vie, de croissance et d'évolution.
35 x 27 cm
Titré, signé et daté au dos
50 x 38 cm
Titré, daté, signé au dos
38 x 27 cm
Signé, titré, daté au dos
32 x 23 cm
Titré, daté, signé au dos
60 x 44 cm
Titré, daté, signé au dos en haut à droite
Dans Fleur 1, Mireille Blanc s'intéresse au motif de la fleur pour le travailler de manière détournée. En partant de l'envers d'un canevas représentant une rose, elle déforme d'autant plus l'image et met en avant ce travail de transformation dans sa peinture. De cette manière, l'artiste crée une œuvre laissant entrevoir une nouvelle réalité, avec la présence de traces noirs et blanches qui brouillent le sujet initial.
50 x 40 cm
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d'empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
55 x 46 cm
La série Aftertouch s'inscrit dans la continuité du travail de Julien Discrit sur les formes auto-générées. L'artiste utilise un processus d'empreinte qui lui permet d'obtenir ces formes aléatoires. Ces arborescences, ou "dendrites", rappellent des formes discernables dans de nombreux phénomènes physiques et naturels tels que les réseaux neuronaux, sanguins, végétaux ou encore géographiques comme dans l'érosion et les réseaux hydrographiques. Ces motifs étaient déjà présents dans d'autres séries de l'artiste telles que les États inversés et les Mille Mississippi. Le titre Aftertouch évoque à la fois littéralement le procédé utilisé, puisque les formes sont auto-générées après contact. Mais il fait également référence au son, "l'aftertouch" étant un effet qui joue sur la sensibilité d'expression de la touche d'un clavier électronique pour créer une variation de note.
Pierre reconstituée, roche
10 x 15 x 13 cm
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
pierre reconstituée
12 x 10 cm x 13 cm
©Augustin Dupuid
Avec cette série, Julien Discrit poursuit et croise deux réflexions qui sont au coeur de son travail: l'une sur les pierres, les minéraux, les cristaux, et l'autre sur les rapports d'échelle, spatiaux, géologiques et temporels de l'homme dans son environnement. Comme de futurs fossiles, ces sculptures de mains d'homme tenant des roches fixent un geste presque archaïque de préhension. En un instantané, elles proposent un « devenir pierre » qui se joue à la fois des matériaux - organique et minéral mêlés l'un à l'autre en un autre encore formé de pierre reconstituée - mais aussi des pratiques artistiques et historiques au sens où il s'agit d'inventer une esthétique contemporaine à partir d'une ruine archéologique artificielle. Il révèle ainsi les formes esthétiques déjà données dans notre environnement comme ces pierres qui sont en elles-mêmes des formes sculpturales finies.
Encre acrylique sur toile en coton
130 x 85 cm
Signé, titré, daté au dos
La série Composantes spectrales s'inscrit dans la continuité du travail de l'artiste sur la diffraction de la lumière par l'atmosphère terrestre par l'utilisation du point et de la couleur. Elle constitue une évolution dans ses recherches de représentation de la lumière. L'échelle de chaque particule y est comme agrandie afin de mieux décrire ce phénomène de diffusion et laisse apparaitre toutes les couleurs que notre oeil est incapable de percevoir.
125 x 150 cm
Titré, daté et signé au dos
© Nicolas Brasseur
Dans cette série, Yann Lacroix dépeint un univers ancestral, rêvé et fantasmé, d'où surgissent des silhouettes fantomatiques de chevaliers et de forteresses entourés de végétation. Ils deviennent autant de motifs historiques d'un temps révolu, ressuscités par une réinterprétation de la peinture d'histoire en proie à l'onirisme et l'imaginaire.
146 x 114 cm
Titrée, datée, signée au dos
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien…), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d'une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
32 x 24 cm
signé, titré, daté au dos
22 x 27 cm
Titré, signé et daté au dos
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien…), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d'une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
22 x 27 cm
Titré, daté et signé au dos
27 x 35 cm
Signé, daté, titré au dos
270 x 220 cm
À partir de ses souvenirs (images glanées sur Internet, séjours à l'étranger, environnement quotidien…), Yann Lacroix peint des paysages volontairement composites, habités de végétation exotique, de serres tropicales et de piscines, constitués de leur propre artificialité et vides de présence humaine mais dont la trace d'une histoire passée ou possible amène sensualité et vie : une réflexion sur les hétérotopies qui s'articule par le biais de ces lieux à la fois fantasmés et emprunts d'une poésie du quotidien comme des allégories de la peinture même.
42 x 40 x 25 cm
Peau de terre fait partie d'une série de faïences qui s'inspire de la symbolique du pot en Inde. Matrices à la teinte diaprée, les "peaux" de terre de Juliette Minchin pourraient rendre hommage aux ancêtres. Les plis et sillons des membranes d'argile qui s'affaissent évoquent un changement d'état. Comme la mue rosée d'un organisme animal, ces peaux laiteuses contiennent le souvenir d'une forme passée dont l'aspect évoque des êtres au stade embryonnaire. Les orifices nous invitent à deviner l'intérieur du corps, le contenant de la structure. En Inde, dans un rite de fertilité nommé "La danse des pots", le pot représente la femme et le monde aquatique. Chez les Sora, le pot d'argile devient "pot-esprit": pour rendre hommage aux divinités, il est constamment rechargé en liquide et nourriture, et ainsi habité le temps du rituel.
56 x 43 x 35 cm
©Bonjour Garçon
Peau de terre fait partie d'une série de faïences qui s'inspire de la symbolique du pot en Inde. Matrices à la teinte diaprée, les "peaux" de terre de Juliette Minchin pourraient rendre hommage aux ancêtres. Les plis et sillons des membranes d'argile qui s'affaissent évoquent un changement d'état. Comme la mue rosée d'un organisme animal, ces peaux laiteuses contiennent le souvenir d'une forme passée dont l'aspect évoque des êtres au stade embryonnaire. Les orifices nous invitent à deviner l'intérieur du corps, le contenant de la structure. En Inde, dans un rite de fertilité nommé "La danse des pots", le pot représente la femme et le monde aquatique. Chez les Sora, le pot d'argile devient "pot-esprit": pour rendre hommage aux divinités, il est constamment rechargé en liquide et nourriture, et ainsi habité le temps du rituel.
38 x 28 cm
38 x 28 cm
38 x 28 cm
Papier : 34,4 x 50,6 cm (chaque)
Seton Smith a réalisé cette série de photographies dans l'Ohio à Hopewell, un lieu historique dans lequel se trouvent des tumulus vestiges de la tribu Indienne Adena. Subsistent aujourd'hui de cet ancien site spirituel et funéraire des formes sculpturales qui émergent du paysage. Fonctionnant en série sous forme de diptyques, de triptyque ou d'une image seule, ces photographies, où les lignes et l'horizon servant de repères, permettent à Seton Smith d'évoquer subtilement la mémoire et sa confrontation en tant qu'artiste à la fragilité des civilisations et à l'évanescence de notre passage sur terre.