2021 = 5
Exposition anniversaire des 5 ans de la galerie
Galerie Anne-Sarah Bénichou
30 Janvier - 20 Mars 2021
18 x 24 cm
signature au dos
Mireille Blanc qui travaille essentiellement à partir de photos de famille a ici demandé à Anne-Sarah de lui en fournir une de sa propre enfance. C'est ainsi le gâteau d'anniversaire de la galeriste qui est représenté dans la toile 5 ans.
146 x 114 cm
titré, daté, signé au dos
Réalisée pour l'exposition l'anniversaire des cinq ans de la galerie, Hespérides nous plonge dans un jardin à la végétation luxuriante, presque kitsch et qui invoque en sous-texte dans l'imaginaire de Yann Lacroix la luxuriance des jardins babyloniens. Alors que certaines zones floues donnent un aspect brumeux et instable à l'ensemble de la scène, l'intensité de la lumière se concentre sur cinq pommes, référence explicite au jardin des Hespérides. A la limite de l'artificialité, l'artiste interroge, à travers ce paysage utopique, le statut de la représentation picturale en invoquant des références mythologiques et un imaginaire commun qui lui confèrent une dimension intemporelle.
photographie en noir et blanc
Image : 42 x 30 cm
Encadrement : 46,2 x 34, 3 x 2,5 cm
Dans Le Monde entre leurs mains, Chourouk Hriech présente une série de photographies en noir et blanc qui prend comme sujet la jeunesse tatouée. Chaque modèle tient une mappemonde entre ses mains, déployant une gestuelle particulière. Ici, l'artiste cherche à produire un dialogue entre les images imprimées sur le globe, et ces dessins gravés sur la peau, ramenant aux aventures de vie, rêves et ambitions de chaque jeune modèle. Ces représentations du monde leur échappent inévitablement car les figures comme les symboles évoluent selon les époques. Néanmoins, en choisissant de s'affirmer par le biais du tatouage, cette jeunesse défie le temps, l'avenir et le réel. Le chiffre cinq apparaît en fil rouge de ces photographies : cinq continents, cinq doigts? Ainsi, Chourouk Hriech pousse toujours plus loin la pratique du dessin en multipliant les médiums pour en explorer ses potentialités et ses matérialisations.
Image : 60 x 60 cm
Papier : 60 x 60 cm
Seton Smith a réalisé de nombreuses photographies d’intérieurs de musée. Dans le cas de Blue Ground With Stone, il s’agit d’éléments archéologiques en Italie. Très caractéristique de son travail, cette oeuvre prend le parfait contre-pied des habituelles photographies muséales censées mettre en valeur les objets. Ici en effet, en jouant sur le flou de la mise au point et sur une perspective très proche de l’objet photographié, l’artiste produit une image proche d’un monochrome qui coupe les structures habituelles. On ne sait plus ce qui est photographié et l’enjeu principal de l’oeuvre n’est plus tant l’objet lui-même que l’émotion et la sensation qui s’en dégagent. Elle confronte ainsi le spectateur à ses propres représentations et interroge la notion d’espace et d’objet d'art au sein du musée.
36 x 108 cm
Dans Cinq ans, Valérie Mréjen nous plonge dans l'intimité d'une histoire d'amour fictionnelle en cinq actes dont la trame narrative se déroule au fil des détails de cartes postales noir et blanc datant des années 1970. Certains motifs sont repris en rouge par l'artiste, animant le récit et rebondissant sur les quelques mots qui servent de légende à chaque scène. Cette courte fiction plastique renvoie à la thématique de la famille et du passage du temps, propice à la célébration d'un anniversaire, et s'inscrit dans ses recherches sur les cartes postales, leur fonction épistolaire et leur rapport au langage et aux souvenirs.
45 x 55 cm
Signé et daté en bas à droite
Massinissa Selmani propose un dessin regroupant différentes situations absurdes ou impossibles. Les éléments sont assemblés sans cohérence logique, comme si la scène, de par son étrangeté, tentait de dire l'insondable. Cette oeuvre témoigne de l'évolution du travail de Massinissa Selmani, en s'éloignant de ses sources d'inspiration issues de la presse et se laissant voguer au gré de son imagination. L'utilisation de l'aquarelle marque aussi une transformation de la pratique de l'artiste. L'allusion au chiffre 5 y est présente un peu partout en filigrane comme une métaphysique de la forme : 5 marches, 5 lignes, 5 barreaux, etc.
43 x 179 x 20.5 cm
Pour l'exposition anniversaire de la galerie, Laurent Montaron a réalisé un banc, inspiré d'un tabouret dit « chauffe-dos », qu'il avait produit plus tôt à partir d'une seule planche suite à une demande de son fils. Ici, il développe ce mobilier en utilisant cinq plans juxtaposés en hêtre en clin d'oeil aux cinq années d'existence de la galerie. Souvent dans son travail, l'artiste présente des objets qui sortent du strict cadre de l'art, de manière à ce qu'ils puissent se confondre avec des objets annexes peuplant les salles d'expositions. Ici on pourrait penser à un banc d'exposition qui « place » le spectateur et lui propose une posture pour regarder mais qui se trouve finalement être l'oeuvre elle-même.
60 x 44 cm
signé, titré, daté au dos
Dans un esprit proche du surréalisme, Le Sentiment du Pissenlit, peinture acrylique sur bois réalisée spécialement pour les cinq ans de la galerie, s’offre aux spectateurs comme une énigme, un rébus à déchiffrer. Maxime Verdier invoque avec humour l’idée de la cinquième roue du carrosse en s’interrogeant sur la place à donner à l’inutile dans notre société actuelle. En effet, que se passe-t-il lorsque l’on décide de sortir de la finalité pratique ou profitable des choses qui nous entourent ? Lorsque l’on offre une chance à ce qui nous déplait, à ce qui est accessoire ou futile ? Peut-être que l’on ouvre alors une part de rêve, de nouveaux possibles, de nouvelles perspectives. Ce sentiment du pissenlit, c'est celui de la mauvaise herbe, celle qu'on arrache, qu'on jette alors qu'elle garde au fond d'elle-même de nombreuses vertus qui apparaissent lorsqu'on lui offre de l’attention.
21 × 29,7 cm (chaque)
Gegenstände für den geistigen Gebrauch, s'inscrit dans la continuité des Vector sculptures, résultats des réflexions de l'artiste et d'un ami mathématicien sur les philosophies mathématiques dans les années 1970. Théorisé par le penseur de l'art rationnel Max Bill, le titre fait référence à ce qu'on pourrait traduire par "les objets à usage intellectuel". Il s'agit d'une tentative de lier interprétations mathématiques et langage plastique à l'aide de vecteurs qui permettent à l'artiste de créer virtuellement des volumes dans l'espace, en inscrivant ce qu'ils auraient pu être sans pour autant les matérialiser.
120 x 128 cm
Lorsque Marion Baruch a récupéré la chute de tissu qui deviendra l'oeuvre Ponte-Cattedrale, elle a tout de suite pensé à une sorte de forme hybride entre une cathédrale et un pont. En connectant ces deux éléments, l'artiste produit un parallèle entre les formes aléatoires du tissu et l'architecture, qui rappellent toutes les deux des constructions à taille humaine. À la manière des surréalistes, elle conçoit avec humour une architecture composite qui appelle à un monde poétique et imaginaire.
photographie en noir et blanc
Image : 42 x 30 cm
Encadrement : 46,2 x 34, 3 x 2,5 cm
Dans Le Monde entre leurs mains, Chourouk Hriech présente une série de photographies en noir et blanc qui prend comme sujet la jeunesse tatouée. Chaque modèle tient une mappemonde entre ses mains, déployant une gestuelle particulière. Ici, l’artiste cherche à produire un dialogue entre les images imprimées sur le globe, et ces dessins gravés sur la peau, ramenant aux aventures de vie, rêves et ambitions de chaque jeune modèle. Ces représentations du monde leur échappent inévitablement car les figures comme les symboles évoluent selon les époques. Néanmoins, en choisissant de s’affirmer par le biais du tatouage, cette jeunesse défie le temps, l’avenir et le réel. Le chiffre cinq apparaît en fil rouge de ces photographies : cinq continents, cinq doigts… Ainsi, Chourouk Hriech pousse toujours plus loin la pratique du dessin en multipliant les médiums pour en explorer ses potentialités et ses matérialisations.
photographie en noir et blanc
Image : 90 x 75 cm
Encadrement : 96,6 x 70,7 x 3,1 cm
Dans Le Monde entre leurs mains, Chourouk Hriech présente une série de photographies en noir et blanc qui prend comme sujet la jeunesse tatouée. Chaque modèle tient une mappemonde entre ses mains, déployant une gestuelle particulière. Ici, l'artiste cherche à produire un dialogue entre les images imprimées sur le globe, et ces dessins gravés sur la peau, ramenant aux aventures de vie, rêves et ambitions de chaque jeune modèle. Ces représentations du monde leur échappent inévitablement car les figures comme les symboles évoluent selon les époques. Néanmoins, en choisissant de s'affirmer par le biais du tatouage, cette jeunesse défie le temps, l'avenir et le réel. Le chiffre cinq apparaît en fil rouge de ces photographies : cinq continents, cinq doigts? Ainsi, Chourouk Hriech pousse toujours plus loin la pratique du dessin en multipliant les médiums pour en explorer ses potentialités et ses matérialisations.
photographie en noir et blanc
Image : 42 x 30 cm
Encadrement : 46,2 x 34, 3 x 2,5 cm
Dans Le Monde entre leurs mains, Chourouk Hriech présente une série de photographies en noir et blanc qui prend comme sujet la jeunesse tatouée. Chaque modèle tient une mappemonde entre ses mains, déployant une gestuelle particulière. Ici, l'artiste cherche à produire un dialogue entre les images imprimées sur le globe, et ces dessins gravés sur la peau, ramenant aux aventures de vie, rêves et ambitions de chaque jeune modèle. Ces représentations du monde leur échappent inévitablement car les figures comme les symboles évoluent selon les époques. Néanmoins, en choisissant de s'affirmer par le biais du tatouage, cette jeunesse défie le temps, l'avenir et le réel. Le chiffre cinq apparaît en fil rouge de ces photographies : cinq continents, cinq doigts? Ainsi, Chourouk Hriech pousse toujours plus loin la pratique du dessin en multipliant les médiums pour en explorer ses potentialités et ses matérialisations.
photographie en noir et blanc
Image : 42 x 30 cm
Encadrement : 46,2 x 34, 3 x 2,5 cm
Dans Le Monde entre leurs mains, Chourouk Hriech présente une série de photographies en noir et blanc qui prend comme sujet la jeunesse tatouée. Chaque modèle tient une mappemonde entre ses mains, déployant une gestuelle particulière. Ici, l'artiste cherche à produire un dialogue entre les images imprimées sur le globe, et ces dessins gravés sur la peau, ramenant aux aventures de vie, rêves et ambitions de chaque jeune modèle. Ces représentations du monde leur échappent inévitablement car les figures comme les symboles évoluent selon les époques. Néanmoins, en choisissant de s'affirmer par le biais du tatouage, cette jeunesse défie le temps, l'avenir et le réel. Le chiffre cinq apparaît en fil rouge de ces photographies : cinq continents, cinq doigts... Ainsi, Chourouk Hriech pousse toujours plus loin la pratique du dessin en multipliant les médiums pour en explorer ses potentialités et ses matérialisations.
photographie en noir et blanc
Image : 42 x 30 cm
Encadrement : 46,2 x 34, 3 x 2,5 cm
Dans Le Monde entre leurs mains, Chourouk Hriech présente une série de photographies en noir et blanc qui prend comme sujet la jeunesse tatouée. Chaque modèle tient une mappemonde entre ses mains, déployant une gestuelle particulière. Ici, l'artiste cherche à produire un dialogue entre les images imprimées sur le globe, et ces dessins gravés sur la peau, ramenant aux aventures de vie, rêves et ambitions de chaque jeune modèle. Ces représentations du monde leur échappent inévitablement car les figures comme les symboles évoluent selon les époques. Néanmoins, en choisissant de s'affirmer par le biais du tatouage, cette jeunesse défie le temps, l'avenir et le réel. Le chiffre cinq apparaît en fil rouge de ces photographies : cinq continents, cinq doigts... Ainsi, Chourouk Hriech pousse toujours plus loin la pratique du dessin en multipliant les médiums pour en explorer ses potentialités et ses matérialisations.
55 x 39 cm
signé au dos
Dans Ballon, Mireille Blanc s’intéresse à la picturalité de la matière aluminium de ce ballon géant qui procure au spectateur une impression de déjà vu et renvoie à d’agréables souvenirs de fêtes d’anniversaire. Le sujet est ici représenté pour lui-même, magnifié par le flash de l’appareil photo. Mais les taches d’eau et les coups de spray granuleux dévoilent les truchements de la reproduction de l’image photographique en peinture. Entravant la perception du motif, le ballon semble finalement flotter dans une atmosphère vaporeuse et quasiment intemporelle.
35 x 55 cm
Signé au dos
Dans cette oeuvre, Florin Stefan realise une toile rassemblant cinq femmes nues, se perdant dans le bleu intense de la réunion de l'eau, des vagues et du ciel. Hommage aux baigneuses classiques, ce tableau est empreint d'une coupable innocence, à l'image de son titre Réflexions sur le jugement dernier #2 soulignant l'absurdité de l'existence et ses aboutissants dans l'intimité du quotidien.
résine acrylique, gomme laque, chaines
246 x 20 x 14 cm
Pour l'exposition anniversaire de la galerie, Julien Discrit a réalisé une oeuvre qui s'inscrit dans la continuité de son travail sur les mains et la géologie, notamment sa série Pierres. Intitulée Re-member, cette nouvelle série se situe moins dans un jeu sur la roche que sur les thématiques de l'empreinte et du contact. L'origine du mot Re-member provient du vieux français « re-membrer », liaison sémantique entre le souvenir et les parties du corps. Dans cette sculpture, les deux mains tentent de se toucher autour de cette ammonite, sans pour autant y parvenir. Induisant longévité et fidélité, ce fossile créé de toute pièce symbolise l'histoire de l'artiste avec la galerie.
résine acrylique, gomme laque, chaines
246 x 20 x 14 cm
Pour l'exposition anniversaire de la galerie, Julien Discrit a réalisé une oeuvre qui s'inscrit dans la continuité de son travail sur les mains et la géologie, notamment sa série Pierres. Intitulée Re-member, cette nouvelle série se situe moins dans un jeu sur la roche que sur les thématiques de l'empreinte et du contact. L'origine du mot Re-member provient du vieux français « re-membrer », liaison sémantique entre le souvenir et les parties du corps. Dans cette sculpture, les deux mains tentent de se toucher autour de cette ammonite, sans pour autant y parvenir. Induisant longévité et fidélité, ce fossile créé de toute pièce symbolise l'histoire de l'artiste avec la galerie.